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Les kapos de l'ARSEA seraient-ils outrés ?
Par le passé, la relation père-enfant de Justine avait été beaucoup « travaillée » par quelques professionnels de l'OSE France, on peut encore le lire dans le dernier arrêt de la cour d'appel de Versailles. Aujourd'hui ce sont ceux de l'ARSEA Ostwald qui prétendront oeuvrer dans l'intérêt de Justine. J'ai pour ma part très souvent pu constater que la relation père-enfant ainsi que Justine elle même souffrent beaucoup moins sans la présence ni la contribution d'un tiers perturbateur.
On dit que les mots ont un sens, que certains sont chargés par l'Histoire. Il y a quelques temps, ceux de Péan avaient suscité l'indignation. Dans Le monde selon K., il avait employé le mot cosmopolite.
Le mot collaboration dans cet arrêt récemment rendu par Versailles me pose problème. En 2005, la relation père-enfant de Justine avait été rompue avec la contribution des travailleurs sociaux de l'OSE France. Depuis quelques mois, Justine et nous avons pu renouer.
Ce n'est que depuis que cette affaire est vraiment médiatisée et surtout suite à des actions tout à fait extraordinaires en justice que la relation père-enfant et de Justine avec sa famille (notamment sa petite soeur) ont pu être rétablies. En effet, l'affaire a beaucoup évoluée depuis les sommations de juger, la diffusion d'un petit reportage sur France 2 puis un arrêt motivé rendu en décembre dernier, par la cour de cassation.
Les discours et les pratiques des professionnels de l'ARSEA ne me permettent pas de « collaborer » avec eux. Il apparait cependant bien qu'en leur absence, les « visites » se déroulent convenablement.
De l'arrêt du 22 mai