« Les kapos de l'ARSEA seraient-ils outrés ? | Pourvoi n° 04-17.663 : rejet » |
Le pasteur est propre
Cette « justice » ne manque pas de culot. A ces pitres et bouffons : ksss, kss, osez enfin répondre en public.
De l'arrêt du 22 mai 2009
Serait-ce le moment de lire ou de relire 2001, l’odyssée du placement familial ou l’illusion du retour ?
Ma compagne est une professionnelle du spectacle vivant et je suis ingénieur. Nous sommes aptes à élever nos enfants, la cour d'appel de Versailles l'admettait elle-même, en 2006. Par le passé, Justine accompagnait souvent ma compagne au théâtre ainsi qu'à des répétitions... de spectacles et pièces pour enfants. Seule Justine « bénéficie » de ces mesures d'« assistance éducative ». La petite est à la maison depuis toujours, elle se porte très bien.
Evidemment, chez nous, à la ville, tout près de Paris, le théâtre, ce n'est pas à l'église, à la campagne. Ca peut déplaire à la « justice », nous sommes des laïques, des goys, des infra-citoyens. Seul les autres sont de « bonne » foi ? Je crois que la « justice » qui martèle « des opinions psychiatriques » attend que nous nous « convertissions ».
Ma mère est morte il y a 3 ans. Page 4 du même arrêt, un autre vilain lapsus ou une très fâcheuse coquille ? Alors que Justine était à l'OSE et que sa maman est décédée en 1999, on peut lire que, en 2004, « la médiatisation des rapports mère/fille organisée par le service gardien avait eu des effets bénéfiques mais pas au point de justifier un retour de Justine au domicile du père... » Bien lire « en 2004 », « la médiatisation des rapports mère/fille ».
Sur le net, on peut lire que « s'il est un sujet qui sépare [protestants et catholiques], c'est bien celui de l'approche de la mort et de l'accès à un éventuel au-delà. » Récemment, dans le Parisien, on pouvait lire que « nous ne réagissons pas tous de la même manière après la perte d’un proche. » Mais s'il fallait absolument plaire au pasteur...
Les magistrats de mon secteur auraient-ils contraint le droit pour « gagner » contre le père « biologique » ? On dit qu'ils sont indépendants ou encore, qu'ils n'en font qu'à leur tête. De toute façon, ils ne sont jamais responsables de rien et, au pire, ils affirmeront qu'ils ont été trompés.
Alfred Jarry
La Chanson du décervelage, le refrain et les choeurs
Voyez, voyez la machin’ tourner,
Voyez, voyez la cervell’ sauter,
Voyez, voyez les Rentiers trembler ;
(Chœurs) : Hourra, cornes-au-cul, vive le Père Ubu !