« Une bavure policière sur un sans-papiers, à Courbevoie ? | 70 années se sont écoulées » |
Fiesta !
Aujourd'hui est un jour de fête, un anniversaire, si ce n'est que la première concernée est ailleurs, injoignable depuis hier, « internée » à 500 km d'ici, en Alsace. Ce n'est pas la seule contrainte de cette « solution pour Justine », un « projet » imaginé par d'autres qui prétendront avoir toujours été très soucieux de notre « relation père-enfant » ainsi que de l'enfant elle-même, bien sûr. Je « collabore » comme je peux...
Mais je ne vais pas en faire un drame sans quoi des lecteurs de la Croix seraient là pour me rappeler qu'ils ont eu vent de situations bien plus affreuses, par exemple d'enfants, dans des « haltes-garderies » d'Eric Besson. C'est la fête, et à cette occasion, je vais siffler la marseillaise sur cet air que nous suggérait Siné, à la fin-octobre 2008.
Je note que, d'après le Figaro du jour, une milliardaire pourrait avoir déchainé des passions.
France Soir n° 20200 sur la Croix du 3
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LEMONDE.FR | 26.10.09 | 20h42, extrait
En réclamant l'ouverture d'un "grand débat" sur l'identité nationale, M. Besson obéit d'ailleurs à la feuille de route du président de la République. En effet, un mois et demi avant les élections européennes du 7 juin, Nicolas Sarkozy lui avait adressé une lettre. "Nous devons être fiers d'avoir restauré en France un discours assumé sur l'identité nationale et républicaine", écrivait alors Nicolas Sarkozy à son nouveau ministre, l'invitant à "poursuivre ce travail, ouvert et sans tabou, de réaffirmation de ce que signifie d''être français'".
Dimanche, Eric Besson a notamment évoqué son intention de donner "chaque année aux jeunes Français l'occasion de chanter La Marseillaise". En octobre 2008, Nicolas Sarkozy avait affiché son attachement à l'hymne national. Celle-ci avait été huée par des supporteurs tunisiens lors d'un match amical de football entre la France et la Tunisie au stade de France. Le lendemain, le président de la République convoquait la ministre des sports Roselyne Bachelot, son secrétaire d'Etat Bernard Laporte et le président de la Fédération française de football, Jean-Pierre Escalettes.
Le gouvernement avait alors réagi à l'unisson, demandant à l'avenir l'arrêt d'un match en cas d'hymne sifflé. Le ministre de l'intérieur, Michèle Alliot-Marie, avait pour sa part demandé au préfet de saisir la justice de tels délits. Et le parquet de Bobigny avait ouvert une enquête préliminaire pour "outrages à l'hymne national".