« Sur la route encore | Un naufrage annoncé, un de plus » |
Que s’est-il passé ?
Dès la fin 2002 et plus encore début 2003, je percevais que la Dass - plus pompeusement, l'Aide Sociale à l'Enfance - du coin travaillait n’importe comment. Des « professionnels » souhaitaient alors imposer un « placement durable », ils m'ont même très fortement suggéré de « délaisser » Justine. Ce n’était pas du tout cela que nous souhaitions pour elle. Nous avions de réelles difficultés, je ne les ai jamais nié, mais nous souhaitions surtout avoir la paix ; ma cadette venait au monde !
A la mi-2003, Nanterre a été saisi. Sous le flot des calomnies et de la diffamation « éducative », j’ai rapidement déprimé. Les effets de telles « pratiques » sont connus. J’aurai alors souhaité que Nanterre travaille avec nous et non contre nous, contre notre famille. A l’époque, vers la fin 2003, après une bonne dépression et encore soutenu, je suis allé voir le juge pour enfant. C'était une erreur, Justine a été « placée », « très provisoirement »…
Dès début 2004, j’ai perçu qu’il y avait sans aucun doute possible baleine sous gravillon. Il restait à l’établir alors que les juges, ça ne voit souvent pas très bien. J’ai toujours informé les juges du coin, puis j’ai fini par me méfier d’eux et ne plus tout leurs dire. Ils en ont toujours su assez et auraient pu prendre d’autres décisions que celle de « placer durablement » ou de « donner » Justine à ses deux tantes maternelles, le pasteur et le corbeau de l'histoire. Depuis, les juges du coin en ont toujours appris assez, ils auraient pu se ressaisir bien avant l'intervention du « nouveau » juge pour enfant.
Voilà bientôt la fin 2009. Je me suis plaint très officiellement, dès la mi 2003. En 2004, je me plaignais encore. En 2005, l’Elysée me répondait déjà. En retour je recevais souvent de belles formules type. Depuis 2007, l’Elysee et sa chancellerie ne me répondent plus. En 2008, j’ai incrusté durablement des magistrats professionnels dans Légifrance. Ca jure, mais ça n’émeut pas outre mesure ? Ca peut surtout faire très peur. Depuis octobre dernier, dans les forums, plus grand monde ne me répond. Par endroits, sur la toile, je suis sensuré. J’en tire des conclusions que je ne partagerais pas pour le moment.
Aujourd'hui, la justice du coin a pu s'appercevoir qu’elle est confrontée à une sorte de stratège fou et non à un simple « justiciable parano », un « pas content » qu’elle pourrait aisément écraser ou faire disparaitre, par exemple, en UMD (d'où on peut toujours se sauver). J’avais pourtant prévenu et je lui souhaite maintenant bon courage. En 2005, à la cour d’appel, j’étais encore assisté. En 2006, à la cour d’appel, j’avais déjà plusieurs livres avec moi. L’un a brûlé l’année dernière ; il m'avait semblé parfaitement inutile, inexploitable avec ces juges. En 2006, un autre livre que j'apportais aurait pu éveiller l’attention des juges ; ils l’ont simplement qualifié d’ouvrage à scandale(s).
Ma compagne vient de m’informer que je suis convoqué ce 11 décembre, à la cour d’appel de Versailles. Elle-même n’a pas été convoquée, à moins que la Poste ne soit encore une fois en panne ? J'attends aussi une éventuelle réponse du « nouveau » juge pour enfant, nous venons de lui écrire, suite à ces vacances d'été, en famille.
Ce sont les juges qui choisissent, MAM vient encore de nous le confirmer récemment. En me lisant, des juges et de vrais professionnels pourraient se fâcher tout rouge. Qu'ils aillent secouer leurs pairs.
2008, la loterie et le chapeau
2 commentaires
et les juges n'y echappent pas : ils ne sont là que pour amuser le petit peuple , les gros poissons leur font trop peur .