« Scellés détruits dans l'affaire Borrel : la même justice pour tous ? | Le cas Dieudonné arrive devant la justice européenne » |
Suisse : « Christine Bussat a des fourmis dans les jambes »
Je n'avais pas connaissance de cet article du Temps, daté du 6 courant. Je n'avais remarqué que quelques cris, le week-en passé, sur Twitter, ainsi qu'une communication du PBD (Suisse). Il semblerait donc que le Parti Bourgeois et Démocratique ou le PBD avait déjà pris du plomb dans une aile. Plus loin, sur la toile, dans un billet de ce 11 novembre, nous lisons maintenant : « Christine Bussat et le PBD savent-ils où ils mettent les pieds ? » Au cours de ce week-end, j'avais eu un sentiment assez similaire. La Suisse aurait-elle découvert récemment seulement les anti-#masculinistes, tout de leurs discours et de leurs procédés, ainsi que les effets de leurs pressions ?
Conflits familiaux
Christine Bussat cherche une nouvelle raison de marcher
Laure Lugon Zugravu, le Temps
Publié vendredi 6 novembre 2015 à 16:24, modifié vendredi 6 novembre 2015 à 17:09.
La fondatrice de Marche blanche défend maintenant l’égalité parentale. Attaquée par les mouvements féministes et accueillie diversement par les associations de pères, elle recule sous la pression
Christine Bussat a des fourmis dans les jambes. La passionaria de Marche Blanche, qui a remporté l’initiative contre les pédophiles mais vient d’échouer au Conseil national, n’apprécie pas l’immobilité. Restait à trouver une nouvelle cause à défendre. La Vaudoise, qualifiée par le journal alémanique Blick de «femme de conviction», n’en manque pas. Aussi vient-elle d’opter pour une Marche nationale pour l’égalité parentale. Au motif personnel d’avoir souffert, enfant, de l’absence de son père suite au divorce de ses parents.
Elle a donc approché les associations de défense des papas qui font de ce thème leur combat. Puis elle a pris les devants en annonçant à Nyon Région Télévision sa décision d’organiser cette marche. Pétition à l’appui, celle-ci réclamerait la garde partagée par défaut, la médiation ordonnée en cas de divorce, la refonte des questions fiscales sur la pension alimentaire et des sanctions à l’égard du parent non respectueux du droit de garde de l’ex conjoint.
Quelques jours plus tard, pourtant, le bel enthousiasme a cédé la place au découragement. La suite sur le Temps...