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Enfants confisqués au Japon : le calvaire des parents français
A la première vidéo que je repère, par CNews, suite à cette journée « enfants disparus et accompagnement des proches » organisée par Droit d'Enfance ou le 116 000, je commence à sourire. Une femme témoigne, parle d'une fugue... puis surtout, un grand-père témoigne, nous parle d'enfants « soutirés » par une mère Japonaise. C'est la règle, au japon, dure, lapidaire, radicale, bien connue depuis un moment déjà. « Mon fils n'a plus d'accès à ses enfants, ne sait pas où ils se trouvent, ne sait pas comment ils vont, les autorités Japonaises acceptent cette situation » :
Ces situations exotiques peuvent donc manifestement être facilement entendues par le 116 000, nos travailleurs sociaux et nos ministères. Des situations qui pointent ici du doigt les Nippons, ces saletés qui n'appliquent d'aucune façon les standards que nous, Français, approuvons. On en lit plus sur lepetitjournal.com dans sa rubrique Expat-Politique :
C'est tout à fait similaire à la politique et aux pratiques qui étaient en vigueur à Nanterre, en France, ces années passées. « Accepte ce qu'exigent les tantes maternelles de ta fille, la garde de ton ainée, abandonne leur enfin cette gamine. Arrête de te plaindre des travailleurs sociaux. Arrête de solliciter les autorités pour ce qui se passe à la MECS de Taverny, et pour ce que font ces travailleurs là. Arrête d'écrire partout et de tout exposer. Supprime ton blog. Accepte que ta fille disparaisse chez ces tantes. Accepte de ne plus avoir le droit de communiquer avec elle, d'aucune façon, et de ne plus en avoir la moindre nouvelle. Cesse d'interpeller les journalistes. Arrête de faire appel et de contester nos jugements. N'autorise surtout pas la diffusion du reportage Faits divers, le mag, sur France 2. » Le résultat là et tout ce qui a ensuite encore suivi a été documenté en long et en large, dans ce blog, où je n'ai jamais rien supprimé. Mais c'est moins Nippon, ce que je décris est davantage d'inspiration soviétique. Ces derniers, les soviétiques ou ces autres saloperies, avaient recours à la psychiatrie pour discréditer quiconque s'opposait de trop. Si ce n'était pas Soviétique, c'était un franc mix Sino-Soviétique, entre manipulations de toutes natures et recours à la psychiatrie, tout ce que l'occident décriait dans les années 60 à 80.
Les abus de la psychiatrie, depuis 1838, tout le monde pourrait connaitre ; un bon avis, d'où qu'il vienne et quel qu’il soit, basta, « pas de contestations ! » Sur les pratiques Chinoises dont ont pu s'inspirer les juges de Nanterre, la cour d'appel de Versailles et les travailleurs sociaux de l'OSE France, lire Bulle n° 40 de 1993, par Prévensecte, sur le lavage de cerveau ; « Quel qu'en soit le cadre, la réforme de la pensée a deux éléments de base la confession (étaler au grand jour le "mal" passé et présent) et ré-éducation - le remodelage à l'image de l'homme communiste. » Ne pas manquer de lire aussi l'expert, Richard Josefsberg, Internat et séparations, auteur, ouvrage et théorie largement promus chez les travailleurs sociaux. Françoise Sironi, Bourreaux et victimes : Psychologie de la torture, certainement un bon complément de lecture également. A côté de quoi, ces Nippons d'aujourd'hui me paraissent de loin moins barbares ou sauvages. Le procédé Japonais s'étale sur 5 minutes, le temps de faire les valises ; ensuite, cause toujours. Le Processus Français s'étend sur plusieurs années ; avec bien sûr toujours la possibilité de faire appel.
Je ne pense pas que ce que je pourrais raconter et décrire soit audible par Droit d'Enfance, des travailleurs sociaux.
9 commentaires
C'est exactement comme à Nanterre @gouvernementFR @justice_gouv pour faire plaisir, dont au pasteur de #uhrwiller
— Bruno Kant (@bkant) May 25, 2019
Au Japon, de nombreux parents kidnappent leurs enfants en toute impunité https://t.co/yskZTBw1hN via @lesinrocks
Exactement comme à Nanterre lorsque le juge Anne Valentini trône et s'agrippe à son siège, l'enfant devient meuble ou objet
— Bruno Kant (@bkant) May 25, 2019
“L'enfant est considéré comme la propriété du foyer” https://t.co/yskZTBw1hN
Pendant ce temps, les #edcuspé vont réfléchir à comment influencer l'idée qu'on se fait de la Ddass https://t.co/qKSMcCXvBp #AssisesProtectionEnfance #propaganda pic.twitter.com/N8uByOmQvz
— Bruno Kant (@bkant) May 26, 2019
"Un documentaire qui sera diffusé lundi par France 3 met en lumière..." que partout, les #educspé et les juges pourraient être hostiles à la presse et à Internet? https://t.co/mF8TJQBeg0 pic.twitter.com/07vuDufo78
— Bruno Kant (@bkant) May 26, 2019
D'un débat #jugendamt #educspé https://t.co/mF8TJQBeg0 pic.twitter.com/oMQlB2SWff
— Bruno Kant (@bkant) May 26, 2019
Le Jugendamt en 4 minutes https://t.co/316kQycE1g
— Olivier Karrer (@OlivierKarrer) August 15, 2018
https://t.co/ccNfOahtkQ 2018 vs Donzelot, 1977, et toujours d'actualité. Qui peut faire appel? "Les spécialistes! Eux seuls peuvent arguer..." pic.twitter.com/lKgMNyWika
— Bruno Kant (@bkant) May 26, 2019
Ne jamais coucher:
— Bruno Kant (@bkant) May 27, 2019
- ni avec une Japonaise
- ni avec une Allemande
- ni avec une Anglaise
- ...
Envoyé spécial. Japon, les enfants kidnappés - 21 mars 2019 (France 2) https://t.co/PBJZwN0Tek via @YouTube
Ah... On va pas pouvoir voir le docu sur ces difficultés transfrontalières. C'est diffusé sur France 3 Lorraine seulement. A la place, on pourra regarde Amours au pluriel (juste des histoires, si ça fait des enfants :-) https://t.co/JEtBCtJln0 pic.twitter.com/mbsnYyGuUh
— Bruno Kant (@bkant) May 27, 2019
"Déchirures de familles", le replay, c'est caché par là: https://t.co/GYreJG0gsc "Lors d'un divorce qui implique un parent allemand, la justice lui accorde toujours la garde des enfants"
— Bruno Kant (@bkant) May 28, 2019