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Un rapt et séquestration de mineur, une ou deux disparitions forcées ?
Il va falloir que j'y réfléchisse un peu plus. En tous cas, du point de vue de l'ONU, le sujet pourrait être sérieux. Faire disparaitre les gens, c'est mal ? Un sujet susceptible d'être aujourd'hui sérieux pour la France également :
Journée internationale des victimes de disparition forcée (30 août 2020)
De source www.diplomatie.gouv.fr, extrait pris ce jour :
Le 30 août, la communauté internationale commémore la journée internationale des victimes de disparition forcée.
À l’occasion de cette journée, l’Argentine et la France rappellent leur ferme attachement à la lutte contre l’impunité en matière de disparitions forcées et leurs pensées vont aux victimes et à leurs familles. Ces graves violations des droits de l’Homme sont inacceptables et doivent être condamnées par la communauté internationale.
Considérée comme l’un des traités fondamentaux dans le domaine des droits de l’Homme, la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées (2006) offre d’importantes mesures de prévention et a permis le renforcement de la coopération pénale et de l’entraide judiciaire.
Une disparition, un rapt de mineur, j'en ai souvent parlé par le passé déjà. Et ça faisait énormément chier les juges ainsi que le parquet. Ces gens là - péjoratif - ne supportaient pas grand chose, ni d'ailleurs que j'agisse dans leurs tribunaux :
« Attendu que M. KANT est bien trop bavard » (c) Xavier Serrier, juin 2008
Absolument tout devient ainsi prétexte à vous débouter, sans qu'il n'y ait jamais le moindre débat sérieux sur le fond. Mais ça paraitra légal, juste, parfaitement motivé, surtout si dans la foulée, une première présidence saisie en référé refusait de suspendre le jugement ainsi rendu, bâclait aussi vite fait la procédure de prise à partie, puis que plus tard, un collège de la cour de confirmation d'appel confirmait, réconfortant ou soutenant davantage le même magistrat du siège...
Je doute que tous ces faits soient prescrits. Et il faut que j'y réfléchisse plus. Car j'avais moi-même fini détenu, enfermé cinq longues semaines, séquestré, après ou pour avoir pu discuter avec des journalistes du Parisien... Leur parler était inadmissible ? Disparu en service psychiatrique, qui n'avait finalement rien trouvé d'anormal chez moi, sinon que je protestais encore, me plaignant de ce qui avait été infligé à ma famille, à mes enfants, à moi même. C'est plutôt en Chine ou dans ces autres contrées éloignées et régulièrement taxées de totalitaires qu'on fini « traité » pour avoir bavardé :
Moi ou mes discours, « dangereux pour l'ordre public » ?
La proküratura a déposé son avis ? Ha ha, notre bienfaiteur !
Mes discours ? Et ce que je publie ? « Est-ce une raison suffisante pour l’enfermer ? »
Evidemment, nous diront la magistrature, leurs camarades, comparses et compagnons !
Mars/avril 2013, aucun des faits dont je me plaignais n'étaient prescrits. J'en parle à des journalistes du Parisien et puis la préfecture de Paris me fait disparaitre en psychiatrie... A moins que j'y ai été poussé par le commissaire, en tous cas, je suis passé par la case I3P. « Ce que vous racontez est calomnieux », m'envoyait ensuite un psychiatre, à Paul Giraud ; et alors ? Pourraient à nouveau suivre les questions à la con ou d'usage. « Aviez vous un avocat, avez vous fait appel, déposé une plainte ? Qu'est-ce que vous avez fait, la correctionnelle, c'en est où ? » Vers la fin août, j'ai essayé de prendre un rendez-vous au commissariat du coin, pour un dépôt de plainte, mais c'est tombé à l'eau :
Purée, quelle époque, tendue. Depuis tout ce temps, je me demande encore si en juin 2008, Xavier Serrier rendait un jugement dans l'intérêt de la mineure, séquestrée, disparue, ou sachant la procédure de prise à partie contre lui-même bien engagée, pour présenter ultérieurement sa décision à la cour de cassation, pour sa propre défense. « Il a relevé que les raisons qui avaient conduit au placement de la mineure demeuraient, que son retour chez son père mettrait gravement en péril son équilibre psychologique et qu’il appartiendrait à ce dernier de modifier son attitude et son discours... »
D'un arrêt du 22 mai 2009, « collaborer » avec les kapos de l'ARSEA Alsace m'était inaccessible
Selon Xavier Serrier, il aurait fallu que je change de discours pour susciter chez ma fille l’envie de me rencontrer… Mais à cette période, comme depuis l’été 2005, je n’avais aucun droit de visite ni d’ailleurs de droits de communication avec mon ainée, de quelque nature que ce soit (courrier, email, electronique…). Ni jamais la moindre nouvelle de mon ainée, ni aucune sur sa santé, sa scolarité, etc. Et pour le parquet de Nanterre, un substitut s’était exceptionnellement présenté à l’audience de mai 2008, il aurait fallu que j’interdise à France 2 de diffuser un reportage que des journalistes étaient en train de filmer. Pour autant, ce substitut me disait alors que : « pour le moment, la diffamation, ça va. » Passé cette audience, fin mai 2008, provoquée par la sommation de juger, puis la diffusion de Faits Divers, le Mag, début juin 2008, très vite, nous avions pu régulièrement discuter avec elle, au téléphone, à l’insu de tous, dont de ces « professionnels ».
Ce fumeux « péril psychologique », j'y ai jamais cru ; d'ailleurs après ce juge, Xavier Serrier, un autre est arrivé au siège, et sans que j'ai eu à changer, ni d'attitude, ni de discours, d'aucune façon de personnalité, puis contre l'avis de certains encore, notamment les travailleurs sociaux, après m'être rapproché de mon ainée, nous avions pu passer un été en famille. Quelques six semaines tranquilles ; puis tout s'était à nouveau gâté, envenimé... On ne lute pas si facilement ni indéfiniment, tout seul ou quasi, contre des tiers, des travailleurs sociaux, des magistrats et des autorités obstinées, déterminés à vous faire passer pour un abruti, défaillant, maltraitant, qui a sa place en psychiatrie, et même en UMD, chez les extrêmement dangereux, à exclure, un danger pour l'une de mes filles, celle qu'ils prétendaient « sauver ».
La « psychiatrie », la psychiatrisation ou des palabres de cette nature, sans que je ne puisse me défendre décemment, une offense en soi, on en reparlera peut-être à l'occasion. Ma mère avait longuement présidé une AFAEI... Mais on peut également en rire, ça ne me pose aucun problème. J'ai moi-même souvent rit en lisant et en relisant une page du DSM-IV-TR cas cliniques, American Psychiatric Association, paru en 2008. Ah, ces Chinois, et les Soviets, ces saletés
Le juge Xavier Serrier qui m’estimait également carencé, malcomprenant s’agissant de droit, « des notions qui vous dépassent », devrait avoir lui-même gardé un excellent souvenir de cette époque, du printemps à la fin 2008. Depuis, ainsi que après une nomination l'administration centrale du ministère de la justice, il a été promu à la cour de cassation, pour son expertise aujourd'hui certaine en statut de la magistrature, ces intouchables :
L'arrêt ensuite rendu est publié sur Légifrance, de rejet, mais motivé
« Vu l'article 700 du code de procédure civile, rejette la demande ; »
Un petit mot de mon ainée, reçu vers la fin 2008
« Magistrat, juste une carrière de bourreau », en disait Laurent Leguevaque
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8 commentaires
Encore quelques ajouts... #educspé #avocat #Disparitions #Ddass @E_DupondM Qui ne devrait pas laisser indifférent? Relire aussi ma bio Twitter. https://t.co/a1ZdBpo34b pic.twitter.com/5olcFUgphI
— Bruno Kant (@bkant) October 9, 2021
"La #disparition forcée est nécessairement commise par des agents de l’État ou sous l’autorité de l’État et, que l’on soit en haut ou en bas de la hiérarchie, le simple fait d’être au courant et de n’avoir rien fait pour l’empêcher est considéré comme de la complicité." https://t.co/kdUYbLAtJB
— Bruno Kant (@bkant) October 9, 2021
Ah, j'y suis, je réalise. #Ddass #journaliste "Je cause pas aux cas soc, aux cra-cra." https://t.co/hE3GqJlFbt
— Bruno Kant (@bkant) October 9, 2021
Bloqué par la #journaliste mais c'est tout à fait normal, je crois. Il y a les cas soc, le cracra, et les héros. #Ddass https://t.co/pfokCZWUjW pic.twitter.com/1SZFBwJY3K
— Bruno Kant (@bkant) October 9, 2021
Comment les #educspé ou ces héros feraient-ils leur métier alors, s'ils devaient aussi écouter les parents? #Ddass https://t.co/kdZp7bcbhu
— Bruno Kant (@bkant) October 9, 2021
Cas soc et cracra selon la #journaliste et même pour tous les #journalistes? Je suis ingénieur, et de mon point de vue, les cas et le cracra se situaient plutôt du côté de la #Ddass avec des #educspé et même des magistrats pour le moins louches. pic.twitter.com/MtJe3yqW5U
— Bruno Kant (@bkant) October 9, 2021
On attend de lire la suite, une famille inconnue de la police et des services sociaux, parfaite sous tous rapports, selon les voisins. https://t.co/5HfwdC4L7b
— Bruno Kant (@bkant) October 9, 2021
Le tweet est repris par au moins trois journalistes. pic.twitter.com/RQACsC1rtG
— Vincent Glad (@vincentglad) October 8, 2021
Attendez, mais on a vraiment besoin de faire des articles sur ce truc avec les jeux d’enfants en forme de sexes ? genre y a des gens qui prennent ça au sérieux ? https://t.co/cqtpXbNCNY
— Dandu. (@DandumontP) October 8, 2021
Aujourd'hui, je me suis planté en répondant à un tweet qui présentait un toboggan particulier... Je voulais être ironique mais l'info était un fake. Mes plus plates excuses pour ce tweet. pic.twitter.com/Q8pAMMNrSu
— Albert Zennou (@AlbertZennou) October 8, 2021
Diffamation publique envers un corps constitué : retour sur l’exigence de délibération préalable de l’assemblée gé... https://t.co/XFUUYJ1ggu
— Bruno Kant (@bkant) October 10, 2021
Tristane Banon: «Beaucoup m’ont accusée d’être une affabulatrice» L'affaire DSK, 10 ans déjà! Et en 2007 @T_Ardisson: «J’adore. Tu es arrivée en col roulé et tu repars en string.» Il y a un siècle, avant #metooo par @julie_rambal @Lillustre https://t.co/AdABAsORN5
— Catherine Frammery (@cframmery) May 6, 2021
Quelque chose part. pic.twitter.com/xfwJY3VcUY
— Bruno Kant (@bkant) October 10, 2021