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« Silence ! », me lançaient donc les juges et les psychiatres
Je rappelle à nouveau ma bio Twitter : « D'après un psychiatre et plusieurs vrais magistrats, je n'aurais pas conscience des troubles que je crée autour de moi. Je décline toute responsabilité. » Ainsi que ce qu'avaient soutenu les juges :
« Attendu que M. KANT est bien trop bavard » (c) Xavier Serrier, juin 2008
Mes récents envois à la place Vendôme, au Ministre, ainsi que à l’Elysée, au Président de la République, semblent avancer, arriver. Par les lettres RAR 87000632170722J et 87000632167612P. « Votre envoi a été remis en lot au destinataire. Nous attendons la confirmation de sa réception », m’affiche la Poste, son service de suivi.
Sur Twitter, pas mal me connaissent, et m'ignorent, je pense ; je peux être prolixe. Et il m’arrive d’y mentionner du monde. Peu y importent pour moi les réactions, ou les silences, et même les « blocages ». Prolixe, et il m’arrive d’arroser...
Comme je viens de rédiger cette synthèse en 4 pages PDF, j’en ai profité, pour faire aussi un signalement au Défenseur des Droits. Pour faire également un signalement à l’ONU, ils ont un guichet à ces fins, un « Working Group on Enforced or Involuntary Disappearances (WGEID) » ; pour ce signalement, à l'ONU, j’ai coché les cases Disparition et Torture.
Je crois que dans leur trou, à Ostwald (57), et depuis leur hauteur, les travailleurs sociaux de l’ARSEA Alsace n’avaient ni suivi ni compris grand-chose de ce qui s’était passé. Entre début 2008 et l’été 2009, nous avions pu renouer avec mon ainée, malgré tous les vents qui soufflaient, s’opposant farouchement à toutes relations père-enfant, de quelque nature que ce soit, y compris par correspondance. Renouer n'avait été possible qu'en utilisant des procédures, même des voies de recours, des voies dites de justice... pour avoir des droits, dont de sorties libres, de visite, et même d'hébergement.
Un petit mot de mon ainée, reçu vers la fin 2008
« Magistrat, juste une carrière de bourreau », en disait Laurent Leguevaque
J'ai le très net sentiment qu'en 2011, ces mêmes travailleurs sociaux ainsi que les juges de la cour d’appel n’avaient toujours rien capté, ni du passé, ni de ce qu’il se tramait encore. L’enfant « ne souhaite pas revoir son père disant attendre de lui une réponse affective et non uniquement judiciaire et procédurière ; » ? La « réponse affective » avait été possible, particulièrement au cours de l’été 2009, lorsque suite à des procédures et procédés exceptionnels, nous avions enfin pu passer un été en famille, tranquilles. Passé 2009, et alors que j'allais encore devoir faire face à des butés, des bornés, des limités, des obstinations bienfaitrices, je ne faisais plus que finir de matérialiser ce que ces gens avaient construit, notamment avec mes réponses « judiciaires et procédurières », pour en garder des traces écrites officielles.
Je crois que rarement des travailleurs sociaux ainsi que des juges auront été autant dérangés, chahutés de cette façon :