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Un Diplôme Universitaire, en Protection de l'Enfance
Mes billets d’octobre ont été pas mal lus, le sont aujourd’hui encore. Il n’y a pas eu de commentaires dans mon blog, s’il en existe, ils sont ailleurs, et discrets. Ni pour le moment la moindre réponse à une petite vingtaine de lettres que j’ai envoyées par la Poste, dont pour informer quelques-uns de l’existence de mes derniers billets ou de mes envois par la Poste. Certains paragraphes y sont fouillés, détaillés, parfois même techniques et s’adressant plutôt à des avocats, à des juristes ; mais de larges pans devraient être très accessibles à des parent ainsi qu’à d’anciens « sauvés » également :
http://justice.cloppy.net/index.php/justice/2021/10/
Les totems et les tabous, ça devrait immédiatement causer fort à l'intégralité de nos cliniciens, théoriciens ou praticiens.
Eventuelle alternative : on est encore dans le champ d'une imposture intellectuelle, Paris-Diderot assumera aussi.
Professeur Totem et Docteur Tabou, Nicole Claveloux, éditions Etre, 2006, page 15
Pour sa part, ce mois passé, l’OSE France rappelait une limite d’inscription, à une formation diplômante, qui était fixée au 30 octobre ; il restait encore des places. Eux proposent de la théorie en salle, des exposés pour les professionnels, « cette formation se veut clinico-théorique », « sous la forme d’un cycle de conférences avec discussions ». Dans mes propres publications d’octobre ainsi qu’autour de celles-ci, j’expose quelle avait été la pratique des professionnels de l’OSE France, dont avec la contribution de Mme Claire Davidson, psychologue, quelque chose de ce genre, de juges, d'une cour d’appel, de Magalie Bodon-Bruzel, une psychiatre, même d'un pasteur, j’en passe.
C’est en 2011 que l’OSE France en partenariat avec l’université de Paris Diderot, leur UFR (Unité de formation et de recherches) de psychanalystes, créait un Diplôme Universitaire de Protection de l’Enfance. Je l’avais en ce temps bien évidemment repéré. Il s’agit peut-être également d’un sujet #tabou ou dont je ne devrais pas me permettre de discuter ?
Quelle place pour la psychanalyse en France ?
Publié le 20 sept. 2019 à 01:13, mis à jour le 27 sept. 2019 à 10:20
Les Echos, par Yann Verdo, extrait...
Quatre-vingts ans après ce cancer tout sauf dénué de sens, que reste-t-il de Freud et de la psychanalyse au pays de Jacques Lacan et de Françoise Dolto - mais aussi d'Arthur Rimbaud dont le « Je est un autre » a précédé, et peut-être préparé le terrain à, cette formule incisive par laquelle Sigmund le Scandaleux résumait l'essentiel de ses découvertes - « Le moi n'est pas maître dans sa propre maison » ? De Vienne, qui en fut le berceau au tournant des xixe et xxe siècles, la psychanalyse a, au cours de ces années, essaimé sur une bonne partie du globe et, surtout, lentement infusé dans les esprits. Même les plus réfractaires au divan ont entendu parler du complexe d'OEdipe et du refoulement.
Ajoutons que, si la psychanalyse a réussi à s'imposer dans le champ intellectuel, ce fut le plus souvent à l'encontre des grandes institutions du savoir qui, dans bien des pays, n'ont jamais reconnu la doctrine de Freud - comme la France où, quatre-vingt-treize ans après la fondation de la Société psychanalytique de Paris avec l'argent de la princesse Marie Bonaparte, la psychanalyse n'a toujours pas, et n'est pas partie pour avoir un jour, droit de cité ni au Collège de France, ni à l'Ecole des hautes études (EHESS).
actualite. 5 : La drogue, l'alcool - L'expérience des marges. Le 20 octobre 1854 naissait à Charleville un certain Arthur Rimbaud, qui allait bientôt, par son génie, révolutionner notre regard sur la poésie et la littérature. Cent cinquante ans après, L'Express rend hommage à l'auteur d'Une saison en enfer. [...] Par Thierry Gandillot et Olivier Le Naire et Jean Teulé, l'Express, le 26/07/2004, extraits [...] A 7 ans, oser écrire «A mort Dieu!» sur un mur d'église et pisser sur l'Univers (le café de la place de la gare, à Charleville). «Je ne sais ce que j'ai là... qui veut monter...» Se sentir devenir poète. «Moi, j'appelle cela du printemps.» Adolescent, avoir lu les aînés, les trouver presque tous à chier.
« Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les cœurs, où tous les vins coulaient. Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. − Et je l'ai trouvée amère. − Et je l'ai injuriée. Je me suis armé contre la justice. Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misère, ô haine c'est à vous que mon trésor a été confié ! Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit toute l’espérance humaine. Sur toute joie pour l’étrangler j’ai fait le bond sourd de la bête féroce. J’ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J’ai appelé les fléaux, pour m’étouffer avec le sable, le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l’air du crime. Et j’ai joué de bons tours à la folie. » • Arthur Rimbaud, Une Saison en Enfer, octobre 1873
Et depuis tout ce temps, je me marre, particulièrement en constatant que Monsieur Richard Josefsberg compte parmi les grands théoriciens de ce monde qui forment des professionnels, dont à la séparation en internat, donc ; lui-même intervenant au module 1, pour ses compétences en « Repérage du dispositif judicaire et administratif ». Par le passé, le droit, même élémentaire, tel qu’en protection de l’enfance ou encore en droit de l’enfant comme de la famille, était un concept qui lui échappait totalement. Si je me fie à l’une de mes conversations téléphoniques récentes, le droit est un concept ou des notions qu’il n’a toujours pas intégrées. Mais son domaine d’expertise est les sciences de l’éducation…