« Sécu : le coup de sang [même pas avéré] de Nadine Morano à l'Assemblée | Re: Résistance: manifs etc » |
Les « vociférations » de Nadine, Madame la Ministre
NDLR : Ben alors, Nadine, tu t'es lâchée, toi aussi, et sous les caméras ? Rho... c'est pas bien, t'assume mal !
Colère de Nadine Morano à l'Assemblée
envoyé par LePostfr. - L'info internationale vidéo.
3 commentaires
Commentaire de: bk [Membre]
Le sujet de friction ? Une mesure du budget de la Sécu pour 2011 qui reporte le versement de la prestation d'accueil du jeune enfant (Paje) au mois suivant la naissance, alors qu'elle peut aujourd'hui être percue le mois précédent. Une économie de 64 millions d'euros pour la Caisse nationale d'allocations familiales. « Comme pour toutes les autres prestations, le versement se fera le mois suivant le fait générateur », a dit Nadine Morano, soulignant qu'elle n'avait eu « aucune remontée négative des associations familiales ».
Extrait de source http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/020901626552.htm
Extrait de source http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/020901626552.htm
02.11.10 @ 08:35
Commentaire de: bk [Membre]
"Pédophiles": le dérapage de Sarkozy
lefigaro.fr, 23/11/2010 | Mise à jour : 13:20
C’est un nouveau dérapage verbal du président de la République auquel ont assisté des journalistes vendredi dernier à Lisbonne, en marge du sommet de l’Otan. Alors qu’ils lui posaient des questions lors d’un entretien off* sur son éventuelle implication dans l’affaire Karachi, Nicolas Sarkozy a adopté une curieuse posture : il les a traités de « pédophiles ». Selon les différents témoignages de journalistes recueillis par Mediapart et confirmés par lejdd.fr, lexpress.fr ou encore l’AFP, il semblerait que le président cherchait de manière très maladroite à montrer qu’il est facile de lancer des accusations sans fondement.
Au deuxième journaliste qui lui demandait en salle de presse s’il avait donné son aval en 1994 à la création de deux sociétés au Luxembourg, le président de la République aurait rétorqué, selon le journaliste du Journal du Dimanche Bruno Jeudy: «Mais écoutez, on est dans un monde de fous. Il n’y en a pas un seul parmi vous qui croit que je vais organiser des commissions et des rétro-commissions sur des sous-marins au Pakistan? C’est incroyable et ça devient un sujet à la télévision. Et vous, j’ai rien du tout contre vous. Il semblerait que vous soyez pédophile... Qui me l’a dit? J’en ai l’intime conviction. Les services. De source orale. Pouvez-vous vous justifier? Et ça devient ’je ne suis pas pédophile’. Mais attends. Faut être sérieux quand même. Soit vous avez quelque chose et dans ce cas là j’y réponds bien volontiers. Soit vous avez rien et parlez-moi de choses intéressantes...»
«Du off, rien que du off»
Nicolas Sarkozy se voit alors rappler par son conseiller presse Franck Louvrier qu’il doit aller dîner. Un journaliste en profite alors pour demander si, avec ses confrères, ils ne lui ont pas coupé l’appétit. «Mais non, c’est sans rancune, hein, le pédophile», aurait alors répondu le président avant d’accepter encore quelques questions sur l’Irlande. Ultime provocation, Nicolas Sarkozy aurait lancé à la cantonade avant de quitter la salle de presse : «Amis pédophiles, à demain !».
Après son départ, l’entourage de Nicolas Sarkozy, inquiet de cette gênante altercation, serait venu rappeler aux journalistes présents que «c’était du off, rien que du off». L’Elysée a d’ailleurs démenti en bloc ces propos et a demandé que les enregistrements automatiques de la salle de presse soient effacés, rapporte lexpress.fr.
Le journaliste du Monde Arnaud Leparmentier, qui était présent, explique sur son blog pourquoi il a décidé de ne rien publier dans son journal sur l’épisode : «Il a parlé, comme il le fait toujours, y compris dans ses conférences de presse, en prenant à partie les journalistes qui le questionnaient. Rien de neuf ni de caché pour le lecteur. Sur le fond, non plus, le briefing n’apportait rien de nouveau. Le Monde est entré dans cette réunion en en acceptant les règles fixées d’avance. Nous nous sommes fixé pour ligne de conduite de toujours publier les informations et faits précis communiqués par le président, même en “off”: dans le cas d’espèce, il n’y avait pas d’information.»
*La règle tacite du off veut que les propos tenus lors de ces entretiens ne soient pas reproduits dans la presse.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/11/23/97001-20101123FILWWW00472-sarkozy-aux-journalistes-pedophiles.php
lefigaro.fr, 23/11/2010 | Mise à jour : 13:20
C’est un nouveau dérapage verbal du président de la République auquel ont assisté des journalistes vendredi dernier à Lisbonne, en marge du sommet de l’Otan. Alors qu’ils lui posaient des questions lors d’un entretien off* sur son éventuelle implication dans l’affaire Karachi, Nicolas Sarkozy a adopté une curieuse posture : il les a traités de « pédophiles ». Selon les différents témoignages de journalistes recueillis par Mediapart et confirmés par lejdd.fr, lexpress.fr ou encore l’AFP, il semblerait que le président cherchait de manière très maladroite à montrer qu’il est facile de lancer des accusations sans fondement.
Au deuxième journaliste qui lui demandait en salle de presse s’il avait donné son aval en 1994 à la création de deux sociétés au Luxembourg, le président de la République aurait rétorqué, selon le journaliste du Journal du Dimanche Bruno Jeudy: «Mais écoutez, on est dans un monde de fous. Il n’y en a pas un seul parmi vous qui croit que je vais organiser des commissions et des rétro-commissions sur des sous-marins au Pakistan? C’est incroyable et ça devient un sujet à la télévision. Et vous, j’ai rien du tout contre vous. Il semblerait que vous soyez pédophile... Qui me l’a dit? J’en ai l’intime conviction. Les services. De source orale. Pouvez-vous vous justifier? Et ça devient ’je ne suis pas pédophile’. Mais attends. Faut être sérieux quand même. Soit vous avez quelque chose et dans ce cas là j’y réponds bien volontiers. Soit vous avez rien et parlez-moi de choses intéressantes...»
«Du off, rien que du off»
Nicolas Sarkozy se voit alors rappler par son conseiller presse Franck Louvrier qu’il doit aller dîner. Un journaliste en profite alors pour demander si, avec ses confrères, ils ne lui ont pas coupé l’appétit. «Mais non, c’est sans rancune, hein, le pédophile», aurait alors répondu le président avant d’accepter encore quelques questions sur l’Irlande. Ultime provocation, Nicolas Sarkozy aurait lancé à la cantonade avant de quitter la salle de presse : «Amis pédophiles, à demain !».
Après son départ, l’entourage de Nicolas Sarkozy, inquiet de cette gênante altercation, serait venu rappeler aux journalistes présents que «c’était du off, rien que du off». L’Elysée a d’ailleurs démenti en bloc ces propos et a demandé que les enregistrements automatiques de la salle de presse soient effacés, rapporte lexpress.fr.
Le journaliste du Monde Arnaud Leparmentier, qui était présent, explique sur son blog pourquoi il a décidé de ne rien publier dans son journal sur l’épisode : «Il a parlé, comme il le fait toujours, y compris dans ses conférences de presse, en prenant à partie les journalistes qui le questionnaient. Rien de neuf ni de caché pour le lecteur. Sur le fond, non plus, le briefing n’apportait rien de nouveau. Le Monde est entré dans cette réunion en en acceptant les règles fixées d’avance. Nous nous sommes fixé pour ligne de conduite de toujours publier les informations et faits précis communiqués par le président, même en “off”: dans le cas d’espèce, il n’y avait pas d’information.»
*La règle tacite du off veut que les propos tenus lors de ces entretiens ne soient pas reproduits dans la presse.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/11/23/97001-20101123FILWWW00472-sarkozy-aux-journalistes-pedophiles.php
23.11.10 @ 14:17
Commentaire de: bk [Membre]
De source http://www.leparisien.fr/politique/le-bras-d-honneur-de-gerard-longuet-sur-public-senat-31-10-2012-2282063.php
31.10.12 @ 21:53