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NDLR : On se souviendra également que, parfois, seul des prononcés, des enregistrements, des écrits ou des décisions de justice feront foi... ça vaudra principalement pour nos élus et nos élites.
Copé dément s'être entretenu avec l'Obs
AFP Mis à jour le 01/11/2011 à 21:29 | publié le 01/11/2011 à 20:57
Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP, a affirmé qu'avec François Fillon, avec qui il entretient des relations notoirement tendues, "il n'y a jamais de réciprocité", dans une interview au Nouvel Observateur.
Aussitôt cet entretien publié sur le site de l'hebdomadaire, Jean-François Copé a "démenti formellement" ses "propos "prêtés à l'endroit du Premier ministre". Il a dénoncé "la façon", "fallacieuse et même scandaleuse", dont ceux-ci "sont présentés et retranscrits". Il a affirmé ne pas avoir "accordé d'interview" à la journaliste Carole Barjon et l'a accusée d'avoir "reconstitué une fausse interview" à partir d'une "conversation informelle de quelques minutes". Pour lui, cette "fausse interview vise à créer une opposition entre le Premier ministre et lui-même sur Paris qui n'est absolument pas le reflet de la réalité".
Contactée par l'AFP, Carole Barjon a affirmé "que les propos retranscrits étaient 'on'", c'est-à-dire que Jean-François Copé savait, selon elle, qu'ils allaient être publiés, "puisqu'à un moment il a précisé au sujet d'une personnalité de l'UMP que ça, c'était 'off' (non publiable, ndlr)". Dans un communiqué, Jean-François Copé a tenu ensuite "à réaffirmer son soutien total et indéfectible au président de la République, au Premier ministre et à la politique qu'ils conduisent".
Infos > Politique
Copé relance les hostilités avec Fillon
Par Fabienne Cosnay avec agences
Publié le 1 novembre 2011 à 22h54
Mis à jour le 1 novembre 2011 à 23h09, Europe 1, extrait
Aussitôt l'interview publiée, Jean-François Copé a tenté d'éteindre le feu, et "démenti formellement" ses "propos". Le secrétaire général de l'UMP a assuré ne pas avoir "accordé d'interview" à la journaliste Carole Barjon l'accusant d'avoir "reconstitué une fausse interview" à partir d'une "conversation informelle de quelques minutes". "Cette "fausse interview vise à créer une opposition entre le Premier ministre et moi-même sur Paris qui n'est absolument pas le reflet de la réalité", a ajouté le député-maire de Meaux, qui a publié un communiqué pour "réaffirmer son soutien total et indéfectible au président de la République, au Premier ministre et à la politique qu'ils conduisent".
Contactée par l'AFP, la journaliste, auteur de l'article, s'est défendue, affirmant que ces propos étaient bien 'on' (publiable, ndlr) et que Jean-François Copé savait qu'ils allaient être publiés. Par qui François Fillon sera le plus convaincu ?
9 commentaires
Lefigaro.fr Mis à jour le 02/11/2011 à 09:30 | publié le 02/11/2011 à 09:00
Interrogé aujourd'hui sur le contenu de son interview publiée dans le Nouvel Obs, Jean-François Copé a regretté que des propos tenus à "bâtons rompus" aient été retranscrits. Dans cet entretien, le secrétaire général de l'UMP n'est pas tendre avec François Fillon.
Jean-François Copé a tout de même affirmé son soutien au premier ministre dans ses ambitions électorales parisiennes et a a appelé la majorité à l'unité. Il ne s'est en revanche pas prononcé sur la question de la circonscription qui sera attribuée à Rachida Dati.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/02/97001-20111102FILWWW00332-cope-soutiendra-filon-a-paris.php
De source http://www.francesoir.fr/actualite/faits-divers/operation-seins-nus-devant-domicile-dsk-152622.html
[...] Aussitôt cet entretien publié, Copé a accusé le Nouvel Obs d'avoir «reconstitué une fausse interview» à partir d'une «conversation informelle de quelques minutes», dans le but de «créer une opposition» entre le premier ministre et lui-même sur Paris, ce qui «n'est absolument pas le reflet de la réalité». Le patron de l'UMP a ensuite réaffirmé dans un communiqué son «soutien total et indéfectible au président de la République, au premier ministre et à la politique qu'ils conduisent».
À Matignon, l'entourage de François Fillon n'a souhaité faire aucun commentaire. L'hebdomadaire, lui, a maintenu que le secrétaire général avait bien tenu les propos rapportés sur son site.
Extraits de source http://www.lefigaro.fr/politique/2011/11/02/01002-20111102ARTFIG00407-cope-dement-ses-attaques-contre-fillon.php
De source http://www.lexpress.fr/actualite/politique/cope-nie-puis-admet-avoir-attaque-fillon_1046843.html
Le Bureau national (direction) du PS a confirmé aujourd'hui la mise en retrait du Parti de Jean-Noël Guérini et lui a demandé de démissionner de la présidence du conseil général des Bouches-du-Rhône, a annoncé le porte-parole du parti, Benoît Hamon.
"Le BN a demandé la mise en retrait (de M. Guérini) et d'en tirer toutes les conséquences en terme d'exécutif, de présidence et de participation au groupe socialiste au Sénat et au conseil général", a indiqué M. Hamon, porte-parole du PS, à l'issue de la réunion.
La direction du parti, a affirmé à l'AFP François Lamy, conseiller politique de Martine Aubry, a rappelé le respect "de la présomption d'innocence" de M. Guérini, mis en examen notamment pour prise illégale d'intérêts et association de malfaiteurs dans une affaire de marchés publics présumés frauduleux impliquant son frère Alexandre. Cette mise en examen, toutefois, "pouvait porter atteinte à l'image du Parti socialiste", a poursuivi M. Lamy.
Il a souligné que la mise en retrait de la présidence du Conseil général de M. Guérini n'était "pas possible juridiquement" comme l'a dit le Conseil d'Etat. "Donc", a-t-il ajouté, "nous avons demandé la démission de la présidence du conseil général à M. Guérini". "Cela a été acté à l'unanimité", a-t-il noté.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/02/97001-20111102FILWWW00609-la-direction-du-parti-socialiste-demande-a-jean-noel-guerini-de-demissionner.php
AFP Mis à jour le 02/11/2011 à 21:29 | publié le 02/11/2011 à 21:22
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/02/97001-20111102FILWWW00635-guerini-refuse-de-demissionner.php
La jeune femme s'exprime donc à la télévision suite au classement sans suite par le parquet de Paris à la suite de sa plainte à l'encontre de l'homme politique. Comme on peut le voir dans cet extrait en avant-première, elle parle sans retenue et évoque le mépris qu'elle a envers son agresseur.
A son avis, DSK méprise "le peuple", et pense qu'on "l'emmerde avec ces histoires de cul" !
Extrait de source http://tele.premiere.fr/News-Videos/VIDEO-Une-semaine-d-enfer-un-extrait-en-avant-premiere-de-l-interview-de-Tristane-Banon-2984390
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