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Au château, on savoure la fin de la pensée unique
Le G 20 « n'a pas été un sommet comme les autres », affirmait avec, avec conviction, Henri Guaino à l'occasion d'une rencontre avec Challenges. « En général, les conclusions sont rédigées à l'avance. Les discussions portent plutôt sur la place des virgules et le choix des adverbes », s'est-il amusé. Je savoure également un changement nettement perceptible depuis janvier dernier. Et comme je le lançais à Justine, début mars, je suis de moins en moins fou.
« A l'arrivée, ceux qui payent la facture ne sont pas ceux qui sont à l'origine du désastre », peut-on encore lire dans cet interview de Henri Guaino paru dans Challenges du 9. « Comment accepter que ceux qui ont provoqué la crise partent avec l'argent et que ceux qui n'ont eu d'autre choix que de subir se retrouvent sur le carreau ? Cette situation alimente les rancoeurs, les violences et les dérapages », s'inquiétait-il.
En 2008, une annonce du PDG de Ryanair avait fait grand bruit. Le Canard du 8 nous relate les « heures chaudes » du personnel d'Air France, ce 30 mars, en compagnie d'un passager qui pourrait s'être trompé au moment de sa réservation. Le passager a été « hospitalisé », je pense qu'il va avoir beaucoup de mal à « déplacer les lignes ».
Obama annonce des temps difficiles aux Américains
LEMONDE.FR | 14.04.09 | 19h35 • Mis à jour le 14.04.09 | 19h56, extrait
Quelques "lueurs d'espoir" dans un ciel économique qui reste obstinément gris. C'est ce que le président américain Barack Obama a prédit à ses compatriotes pour l'année 2009, mardi 14 avril, dans un grand discours de défense et d'explication de sa politique économique prononcé à Washington. "Les temps continuent à être durs, cela ne fait aucun doute. Nous ne sommes pas tirés d'affaire, en aucun cas", a-t-il prévenu, annonçant que la fin d'année serait difficile, avec de nouvelles suppressions d'emplois et saisies immobilières.
Au château, on savoure la fin de la pensée unique, Challenges n° 163 du 9 avril
et le Canard du 8, Pas sans papiers mais sans gêne
Actualités Challenges, Strategie, 18.09.2008, extrait
L'esbroufe est parme anticrise de Ryanair
Son patron le claironne : la compagnie low-cost sera l'une des rares en Europe à survivre à la flambée pétrolière. Sur son plan de vol : promotions tape-à-l'oeil, mégacommande d'avions et grosses acquisitions.
[...] Grands projets
Autre idée, émise le 17 juin a Dûsseldorf par Michael O'Leary lui-même : lancer des vols transatlantiques avec, grande première, une classe affaires. Mais cette idée reste très floue, et a surtout servi à Michael O'Leary à faire parler de lui : en pleine conférence de presse, il indiqua que les passagers bénéficieraient sur ces vols de services appelés «Bed and blowjobs». Succès médiatique immédiat, blowjob signifiant «services particuliers», mais aussi... «fellation».
Michael O'Leary ne doute pas de l'excellence du modèle low-cost, au point de prédire que Ryanair fera partie en Europe - avec deux à quatre de ses concurrentes, «dont easyJet» - des seules compagnies à survivre à la crise du pétrole, si celui-ci continue à tourner autour des 100 dollars le baril. «Ryanair passera le cap : avec 2 milliards d'euros de trésorerie brute, le bilan est sain, la compagnie solide», assure Yann Derocles.