« Mireille Millet, « pas contente » non plus | Encore un sketch » |
Les juges
J'ai cru lire un courrier qui s'inspirait de Schoppenhauer... Le juge tranche ou, lorsqu'un discours devient trop gênant, il déclare très discrètement un parti fou. Pas mal, le reportage de Karl Zero. A lire, Le bréviaire du chaos.
La mère qui a poignardé le juge Noris, à Metz, est sortie de psychiatrie, un avocat a pu faire le nécessaire. Aura-t-elle un jour droit à un procès digne de ce nom ou sera-t-elle présentée à une cour particulière ? Pourquoi la justice me refuse-t-elle un procès public alors que j'en réclame un, fallait-il que j'use de violence pour être entendu ?
J'aime bien Coupat dans le Monde du 26, on pourrait penser à du Messtavic : « quand on ne parvient plus à contenir ce qui déborde... » Les uns enfermés, d'autres « placés » à la Dass, par la « justice », quelque uns déclarés fous ou retenus pendant des années par les FARC, le Hezbollah ou à Guantanamo : à chacun sa case.
Coupat au trou pour un livre qu'il affirme ne pas avoir écrit, et il s'exprime dans le Monde, ça fait bizarre. Moi, je suis dehors, on va dire libre, même si je suis souvent préoccupé, comme d'autres parents d'enfants disparus ou raflés. Je lis, je propage et j'écris ce que je veux - sauf à ma fille ainée Justine avec qui je ne dois avoir aucun contact, des juges et des « experts » s'y opposent depuis plusieurs années, soit disant dans l'intérêt de l'enfant.
« La loi, il faut la respecter... » C'est pourtant ce que je fais. Qu'est-ce qu'il faut de plus aux juges ?
La Croix du 26
Le Monde du 26
METZ (AFP), 6 juin 2007, extrait - La femme de 35 ans qui a poignardé mardi un juge dans son bureau de Metz, a reconnu mercredi qu'elle "voulait tuer" ce magistrat "qui lui prenait son enfant".
Au lendemain de cet acte qui illustre aux yeux des syndicats de magistrats la nécessité d'un renforcement de la sécurité dans les tribunaux, l'Union syndicale des magistrats a appelé tous les juges de France à cesser le travail lundi.
"Elle a reconnu qu'elle voulait le tuer", a indiqué sous le couvert de l'anonymat à l'AFP une source proche de l'enquête dans la capitale lorraine. "Toute sa haine s'était cristallisée sur ce juge qui lui prenait son enfant", a-t-on ajouté de même source, sans préciser si le geste était prémédité.
Le procureur de Metz, Joël Guitton, s'est refusé à tout commentaire.
Fatiah B., décrite comme une femme ayant de "graves problèmes psychologiques", a porté plusieurs coups de couteau au juge pour enfants Jacques Noris, 62 ans, qui venait de prolonger le placement de son fils James, âgé de trois ans.
SÉCURITÉ DANS LES TRIBUNAUX
J'ai pas voulu vous tuer, monsieur le juge
mercredi 28 mai 2008, 20h34 | leparisien.fr
2 commentaires
Voir le communiqué de presse du 23 mars 2009 de l’UNASEA, FN3S, UNIOPSS:
« Conflits familiaux : l’intérêt de l’enfant au moins offrant ! »
Puisque la facturation des enquêtes sociales passe de 1300 € à 500€.
Avec en plus, un désengagement de l’Etat qui renonce à garantir la protection de tous les enfants et
de la cellule familiale, au profit d’une normalisation administrative et financière impossible.
Puis il y a ce projet de loi de Nadine Morano réformant l'adoption. (2 pétitions à signer sur les sites :
« Le fil d’ariane France assos » et « la justice de l’arbitraire »)
Le France manque d’enfant à offrir à l’adoption.
Nos enfants seront de plus en plus des proies de ces institutions : « ASE» et « JAF ou tribunal des enfants ».
Toutes les familles et les enfants peuvent être victime de ces institutions au rabais.
L'affaire Outreau, ce n'est rien d'autre que la résultante des déviances de cette institution : A.S.E et là, ils étaient plusieurs familles inculpées face à un juge.
L’abbé Wiel, que j'ai entendu lors d'une de ces conférences, disait qu'entre le début de l'affaire et l'instant où ce dossier se retrouva sur le bureau du juge Burgaud, il s'est passé 18 mois.
Lisez le seul article que j'ai lu sous le nom : " l'aide sociale à l'enfance dans la tourmente" "l'autre fiasco
d'Outreau" du nouvel obs, fait par Sophie des Deserts en 2006. Elle y parle d’une enquête sociale menée par les "Tatas"
Mme P... (nom ad hoc), AS du conseil général qui fit l’enquête sociale en 1996, se laissa manipuler et subjuguer :
- par une famille dont la respectabilité était liée qu'à des signes extérieurs de fausses bienveillances.
- une municipalité qui a délaissé cette enfant et cette citoyenne seule face à quartier entier.
Ce fut une enquête sociale à charge exclusivement faite de fausses accusations pour de basses raisons de vengeances.
Le but des fausses accusations étant de manipuler des tiers qui détiennent une autorité, afin de faire discréditer, de priver d'une jouissance, quelqu'un que l'on veut neutraliser, voire nuire en le vidant de ce qui le qualifie comme enfant, citoyenne, propriétaire, mère, infirmière, locataire.
S'en prendre à un enfant pour régler un différent avec sa maman, c'est la pire des lâchetés.
Bien que venant
- d'une famille au dessus de tout soupçon: la famille P.../F...
- d'une mairie communiste. Feu Mr G... eut la double casquette: maire et conseiller général!
Devant tous les juges depuis 1996, je traîne cette discréditation et cette disqualification.
Le 13 novembre 2008, le juge des enfants, le juge S... ne l’a bien dit clairement :
«n’ayez aucun espoir de recours! Pas même à la cour européenne»
Puis mon fils a 14ans, la moindre procédure durera 2ans et plus, si appel !
Gaspar aura 18ans avant toutes fins de procédure. Ce serait de l’argent investi inutilement.
Le juge Burgaud avait sur son bureau un dossier chaud/brûlant. Pouvez t-il instruire autrement ?
Et tant que l'on parlera du juge Burgaud sur toutes les coutures,
On ne parlera pas de l'enquête sociale et de ses fonctionnaires en dessous de tout, imbus de leur statut puisque reconnu« professionnels de l’enfance » par le conseil général.
Tant que l'on parlera de moi comme d'une "auto biographie: - de mauvaise citoyenne" - d'une mauvaise mère"
- d'une mauvaise infirmière"
La Famille P.../F... ainsi que la mairie se protégeront de leurs exactions inhumaines envers un enfant.
Elles ont, toutes les 2, intérêts à ce que l'ASE et le Juge des enfants continuent toujours plus dans cette poussée dans l'opprobre.
Le juge des enfants, le juge S... ne s’en est pas privé le 13 novembre 2008, Ce fut un «one-juge/man-show», si la fonction intrinsèque d’un juge des enfants, c’est « l’intérêt supérieur de l’enfant », son exaltation dans sa litanie des maladies psychiatries dont je serai ( ?) atteinte est hors sujet.
Disqualifié à ce point une mère devant son enfant de 13ans : c’est de la maltraitance ! bien que venant d’un magistrat!
2 réflexions:
- que peut-il se passait dans la tête de mon fils de 13 ans en entendant cette discréditation venant d'un juge sensé le protéger !
- comment sortir mon fils des griffes de ce malveillant!
Que du pire qui ira se surajouter au pire, puisque ensuite, l’ASE et le parquet transforment votre enfant en argent qui va faire vivre les institutions qui les emploient.
Vous savez combien leur rapporte un enfant placé en famille d'accueil! 6000 euros par mois. 1 enfant.
Et il y a 50% de placements abusifs:- 25% pour mauvaise évaluation au départ.
- 25% qui ne devraient pas se prolonger.
Sachant qu'un enfant placé coûte la modique somme de 6000 euros mensuel aux contribuables.
Calculez : si l'on place 3 enfants (donc 18 000 euros mensuel) d’une même famille pour manque de logement et que ce placement dure 3ans : faîtes les calculs 648 000 euros.
VOUS AVEZ BIEN LU 648 000 EUROS.Avec cette somme l'état aurait pu leur offrir un pavillon.
Ne serait-il pas mieux d'aider la famille en lui allouant une somme (géré par un service spécial) par mois pour avoir un logement convenable.
Mais, non, ces 2 institutions préfèrent détruire une famille et laisser ces gens dans la précarité.
L'intérêt supérieur du pompier pyromane, ce n'est pas le feu, mais son intervention face à lui.
Ici, c'est pareille, l'intérêt supérieur de ces institutions, ce n'est pas votre enfant, mais le nombre de dossier qui va alimenter leur budget de fonctionnement.
> sociale à l'enfance dans la tourmente"
Je vois...
Nº2158
SEMAINE DU JEUDI 16 Mars 2006, hebdo.nouvelobs.com
La Ddass... On en parle ici avec autant de colère que de la justice et du petit lieutenant Burgaud. On dit encore « la Ddass », avec tout ce que le sigle charrie d'arbitraire et de casse, alors qu'elle s'appelle Aide sociale à l'Enfance (ASE), depuis plus de vingt ans (cf. encadré). L'ASE est au coeur du ravage d'Outreau. Mais à l'heure où l'on tente de disséquer l'engrenage infernal, elle reste étrangement silencieuse. Les auditions de ses agents devant la commission parlementaire ont lieu à huis clos. La presse est tenue à l'écart. Secret professionnel, dit-on, volonté de préserver le personnel traumatisé. Après trois semaines d'insistance, le président du conseil général du Pas-de-Calais, Dominique Dupilet, a accepté de nous recevoir. Lui qui, comme le ministre de la Justice, a ordonné une enquête interne sur ses services, l'avoue d'emblée : «Si on avait fait correctement notre travail, il n'y aurait probablement pas eu d'affaire Outreau.»