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NDLR : Patience, il reviendra peut-être. Une fois moins à l'isolement, moins contenu, il m'arrivait aussi de sortir de Paul Giraud, par la porte ouverte, malgré une interdiction stricte. Pour des cigarettes, des revues, ou pour une bierre, au café, plus loin. En 2013, ce n'étaient pas tout à fait 5 semaines perdues, je découvrais ces milieux, de l'intérieur.
Île-de-France: un individu dangereux en cavale
Flash Actu
Par LeFigaro.fr
Mis à jour le 30/07/2015 à 08:48
Publié le 30/07/2015 à 08:37
Incarcéré pour viol, un évadé hospitalisé à l'hôpital psychiatrique de Melun, en Seine-et-Marne depuis vendredi est activement recherché par la police.
L'individu était toujours en cavale mercredi soir après s'être évadé d'une chambre "sécurisée" par une fenêtre de l'établissement, dans la nuit de samedi à dimanche. Le détenu souffrant de troubles bipolaires "purgeait notamment une peine pour viol", selon une source policière, confirmant une information de La République de Seine-et-Marne.
Selon le journal, le fugitif "est susceptible de ne plus prendre son traitement, ce qui pourrait accroître sa dangerosité". Le directeur de l'établissement a cependant confirmé l'évasion et affirmé que lui-même et son équipe "travaillent pour que cela ne se reproduise pas", indique aujourd'hui Le Parisien.
Selon une source proche de l'enquête, l'homme se serait enfui pieds et torse nus, habillé de pantalons de pyjama. Des recherches sont menées par la police judiciaire de Melun, notamment avec le renforts de chiens policiers. Mais ceux-ci ont perdu la trace du fugitif "à 5 km de l'hôpital, à hauteur de l'autoroute A5, à Saint-Germain-Laxis, près de la ligne TGV".
Incarcéré depuis 2005 à Melun a, selon les premiers témoignages, entre 30 et 40 ans. Hospitalisé depuis vendredi après avoir été vu par le psychiatre, il a déjà effectué plusieurs séjours au Centre Constance Pascal.
5 commentaires
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CHINE • Censurez cette série que les Chinois ne sauraient voir
Décrivant la vie quotidienne de jeunes citadins prêts à tout pour obtenir un logement, un feuilleton populaire vient d’être déprogrammé. Une décision qui soulève bien des questions.
Qiao Zhifeng | Nanfang Dushibao | 01.01.2010, extrait
Ce serait à la suite d’une réclamation de promoteurs immobiliers que la diffusion de la série télévisée Bicoque a été suspendue. Le 18 novembre, après avoir diffusé dix épisodes de la série sur une période de cinq jours, la télévision de Pékin a en effet décidé de mettre brutalement un terme à la diffusion de ce programme. Li Jingsheng, chargé des séries télévisées à l’Administration nationale de la radio, du film et de la télévision, reproche à la série de “faire de l’audience avec un scénario truffé de plaisanteries graveleuses et critiquant les fonctionnaires”. Selon lui, ce mauvais goût aurait une influence néfaste sur la société. Au dire d’un responsable de la chaîne, Bicoque aurait donné une image “exécrable” des promoteurs immobiliers, incitant ces derniers à mobiliser leurs “relations” pour obtenir l’arrêt de la diffusion de la série. “Aujourd’hui, les promoteurs immobiliers sont bien plus puissants que vous ne l’imaginez !” affirme Li Jingsheng.
Bicoque est sans conteste l’une des séries les plus controversées de ces dernières années. L’arrêt de sa diffusion n’a fait qu’accroître sa notoriété. Certaines personnes ont passé la série au crible pour tenter d’y retrouver la trace de faits réels, d’autres se sont montrées très sensibles à la façon dont la série expose ouvertement les problèmes de la vie quotidienne et s’intéresse à ceux que l’on appelle désormais les “esclaves du logement” [condamnés à voir une grande partie de leur salaire engloutie par des crédits exorbitants]. Pourtant, à mon avis, il y a peu de chances que la suspension de la série soit liée à la mobilisation des promoteurs immobiliers. Il ne s’agit là que d’une rumeur.
Toutes les critiques émises à l’égard de cette série, selon lesquelles elle donnerait notamment “une image exécrable des promoteurs immobiliers”, ne tiennent pas la route. La société ayant depuis longtemps son opinion sur le sujet [du fait des vagues d’expropriations forcées assorties de scandales de corruption], avons-nous besoin d’une série télévisée pour pousser la calomnie ?
La petite Typhaine inhumée dans le Nord
AFP, 28/12/2009 | Mise à jour : 19:18
Les obsèques religieuses de la petite Typhaine, décédée en juin des suites de maltraitances présumées de sa mère et de son beau-père, ont été célébrées cet après-midi à Mons-en-Baroeul, près de Lille.
Plus de 200 personnes ont assisté à un service funèbre tenu en l'église Saint-Pierre de Mons en présence notamment du père de l'enfant, François Taton, et de ses grands-parents paternels, qui l'ont partiellement élevée.
Typhaine, cinq ans, dont le corps a été retrouvé le 9 décembre en Belgique, reposait dans un petit cercueil blanc orné de roses blanches et de marguerites. "Que dire devant tant de souffrances ? Ce que nous ressentons n'a pas de mots. Nous sommes devant le mystère de ce qui nous fait du mal, de ce qui t'a fait du mal, Typhaine", a déclaré dans son homélie le Père Ivan Pagniez.
Après avoir affirmé que Typhaine avait disparu le 18 juin dans le centre-ville de Maubeuge (Nord), sa mère et son concubin, Anne-Sophie Faucheur et Nicolas Willot, ont avoué début décembre qu'elle était morte chez eux le soir du 10 juin à Aulnoye-Aymeries (Nord). Selon les auteurs présumés, Typhaine a succombé "sous une douche froide" à une "punition" qui aurait mal tourné. Ils ont été mis en examen pour coups mortels et écroués. Le corps de l'enfant a été retrouvé le 9 décembre dans une forêt de la banlieue de Charleroi à un endroit désigné par son beau-père, qui l'avait lui-même enterrée. Les causes exactes de son décès ne sont toujours pas connues.
Un projet de loi sur l’anonymat des blogueurs suscite l’inquiétude
ZDNet France. Publié le 25 mai 2010
Tags: Blog, Législation
[...] Cela pour « protéger les éventuelles victimes de propos inexacts, mensongers ou diffamations qui sont, hélas, de plus en plus souvent colportés sur la toile ». Rien de moins.
Concrètement, il demande à ce que chaque blogueur français indique sur son site « des éléments précis permettant de l'identifier », notamment les nom, prénom, numéro de téléphone ou adresse.
[...] Dans une lettre ouverte publiée chez PC INpact, le responsable juridique d'Overblog, Nicolas Poirier, estime que la législation en place est suffisante au regard des obligations des blogueurs vis-à-vis de leurs hébergeurs fixée par la loi pour la Confiance dans l'Economie Numérique (LCEN) de 2004.
Mais selon Jean-Louis Masson, la LCEN aurait été écrite à une époque où les blogs n'étaient « qu'un phénomène marginal sur le réseau Internet ». La loi oblige néanmoins chaque blogueur à fournir ses informations personnelles à son hébergeur et à répondre rapidement à ses requêtes en cas de diffamation ou dénigrement.
De source http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39751905,00.htm
Un blogueur doit-il rester anonyme ?
LEMONDE | 27.05.10 | 15h12 • Mis à jour le 27.05.10 | 15h13, extrait
De nombreuses procédures n'aboutissent pas à cause de cette opacité. Me Bigot ne serait pas hostile à une législation plus contraignante : "Il convient de mettre un semblant d'Etat de droit sur le Web. C'est tellement facile de se retrancher derrière l'anonymat..." Cependant, l'avocat pointe un risque de "harcèlement judiciaire" des blogueurs : "La levée de l'anonymat rendrait les plaintes plus faciles. Or si une entreprise de presse a les moyens de faire face à des procès, c'est beaucoup plus onéreux pour un blogueur isolé."
De source http://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/05/27/un-blogueur-doit-il-rester-anonyme_1363856_651865.html
NOR: JUSX9903625J
126 2. Pseudonyme.
Le pseudonyme est « un nom de fantaisie librement choisi par une personne pour masquer au public sa personnalité véritable dans l'exercice d'une activité particulière » (Civ. 1re, 23 février 1965, J.C.P. 1965, II, 14255, note Nepveu). Il en est ainsi notamment en matière littéraire ou artistique, ou encore dans un but de clandestinité en temps de guerre. Il ne doit pas figurer dans les actes de l'état civil
Il est rappelé que la mention du pseudonyme sur la carte nationale d'identité, les documents administratifs ou le passeport, par exemple, ne constitue qu'une tolérance de l'administration qui peut toujours la refuser alors même que l'intéressé se prévaudrait d'un acte de notoriété.
De source http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000647915&fastPos=1&fastReqId=2100612692&categorieLien=id&oldAction=rechTexte
Racisme: #Twitter ne veut pas communiquer ses données sans feu vert des USA lemonde.fr/technologies/a… Commode. On tweete donc tous incognito.
— Bruno Kant (@bkant) Janvier 8, 2013