Mot(s) clef: histoire violence
Une affaire « de femmes »
Le Meurtre du député Benbara, de source telleestmatele.com
Un document réalisé par Vincent de Cointet, "Le Meurtre du député Benbara", au sommaire de l'émission "Faites entrer l'accusé" diffusée mardi 11 mars 2008 à 22 heures 25 sur France 2.
Le cadavre de Kamel Benbara, député algérien porté disparu depuis trois semaines, est retrouvé dans le coffre de sa voiture, avenue Hoche, le 29 janvier 2003. Au début, les policiers du 36 quai des Orfèvres sont sur une piste politique. Mais les enquêteurs vont découvrir une vie privée pas banale : un homme, deux femmes, deux vies parallèles, deux maisons et des enfants dans chaque foyer… Une vie de mensonges permanents et maladifs qui sera fatale à Benbara.
Faites entrer l'accusé relate la disparition médiatisée du député algérien, survenue trois semaines avant la visite d'un premier ministre algérien à Paris.
Saïd Naïli, son dernier ami à l'avoir vu vivant, retrace avec Christophe Hondelatte les premiers jours d'angoisse et la découverte du secret de Kamel Benbara : sa double vie. Marié légitimement près de Saint-Etienne, Benbara s'était uni religieusement à une conseillère municipale de Nanterre, Louiza Benakli. Ensemble, ils ont eu une petite fille, puis Louiza est morte sous les balles de Richard Durn, en 2002.
Une fois le corps du député découvert, les policiers ont l'assurance qu'il ne s'agit pas de l'oeuvre de professionnels. De plus, un cheveu contenant l'ADN des Benakli est retrouvé dans la main du défunt. L'enquête s'oriente alors vers la belle famille illégitime de Benbara.
Bernard Kraska, policier de la Brigade Criminelle, raconte à Christophe Hondelatte les aveux que lui fait un jeune neveu de Louiza : ce sont Ouardia, soeur de Louiza, et Sekoura, sa mère, qui ont tué Benbara et l'ont déposé avenue Hoche. Ensuite, Ouardia fait le récit de cette soirée aux policiers : Kamel Benbara est venu prendre des nouvelles de Sekoura, s'ensuit une dispute car Sekoura a vu Kamel avec une autre femme dans le pavillon de Louiza. Kamel s'emporte, puis bouscule Sekoura. Alors, Ouardia panique, saisit une poêle en fonte et frappe Kamel, jusqu'à la mort…
Dans un entretien avec Christophe Hondelatte, Tassadit, la soeur de Ouardia, revient sur la double vie de Benbara que personne ne soupçonnait au moment du meurtre et qui éclaire, à postériori, le comportement fuyant de celui-ci. Elle livre également le récit des tragédies familiales, dont la mort de Louiza est le point d'orgue. Après la mort de l'enfant chérie, la famille Benakli n'est que désolation.
L'affaire Benbara trouve son épilogue lors d'un procès singulier où le fantôme de Richard Durn s'est substitué à celui de Benbara, et c'est parfois le procès de la tuerie de Nanterre qui s'est tenu. Ou bien le procès de Benbara lui-même, jugé pour sa double vie.Avant que les vraies victimes, la femme légitime et la famille de Benbara, ne reprennent leurs droits de justiciables et que les accusées soient condamnées.
Durn, affaire classée. L’enquête sur le suicide du meurtrier de Nanterre a été classée par la justice.
L'humanité, le 8 avril 2002, extrait
Le procureur de la République de Paris, Jean-Pierre Dintilhac, a indiqué que "le complément d’enquête judiciaire, dont les conclusions ont été déposées au parquet de Paris, le 5 avril, pas plus que le contenu du premier rapport remis le 2 avril, ne permettent de déceler l’existence d’une faute pénale en lien avec le décès de Richard Durn". La seconde enquête, administrative, portant notamment sur les conditions matérielles de sa garde à vue, a conclu à des "erreurs d’appréciation", comme l’absence de verrouillage du Velux par lequel s’est défenestré Durn, qui ne justifient toutefois pas de procédures disciplinaires, ont indiqué samedi les ministres de la Justice, Marylise Lebranchu, et de l’Intérieur, Daniel Vaillant. Stéfania Durn, la mère du tueur, a immédiatement annoncé son intention de déposer plainte afin que soient recherchées les causes de la mort de son fils.
Algérie. Neuf ans et un an et demi de prison pour le meurtre d'un député
Gazette du Maroc, 10 Octobre 2005
Resterait le sacrilège secret et qui n'aurait été vu par personne
La politique comparée
de Montesquieu, Rousseau et Voltaire
Par Emile Faguet (1847-1916)
Dans l'extrait qui suit, Emile Faguet se réfère à une lettre de Frédéric II, roi de Prusse, aux oeuvres complètes de Voltaire.
Conte de noël, « le paradis des neuneus »
NDLR : Mots clefs sur google « maltraitance institutionnelle coup de pied au cul », on tombe sur un article de la lettre à Lulu. « Conte de Noël. Le paradis des neuneus. Ça se passe à deux heures de solex de chez nous ! Un centre de rebut des handicapés mentaux passe à l'an 2000 en tentant de refaire une santé à sa réputation. »
Plus de détails sur ce forum ou ce site web dédié au procès Mindin. Ce procès n'a jamais eu lieu pour cause de vice de procédure.
Taverny, le chateau de Vaucelles, c'est à 20 minutes de Paris par l'autoroute et les voies rapides. Extrait d'une emission radio qui a fait l'objet d'un procès pour diffamation, le conte pourrait être reécrit et être intitulé « Hanoukka à l'OSE ». Extrait du site consacré au procès Mindin...
- bien 35'17
- Maltraitance, je pensais que le procureur était compétent. J'en ai parlé à la DASS a dit que ce n'était pas son problème, qu'elle avait d'autres chats à fouetter. J'en ai parlé au Conseil Général qui m'a dit aussi qu'il n'était pas compétent, que le directeur était maître après Dieu
- Texto ?
- oui
L'Australie présente ses excuses
A lire sur letemps.ch
« Une Australie Blanche et Pure »
SYNOPSIS • Entre 1910 et 1970 plus de 100 000 enfants aborigènes ont été enlevés à leurs parents pour être confiés à des familles blanches qui les ont adoptés. Des centaines d’entre eux ont été abusés. D’autres se sont suicidés.
AUSTRALIE • La "génération volée" obtient réparation
Un article de Courrier International
Actualités : asie >> 6 août 2007
Un Aborigène enlevé à sa mère à l'âge de 1 an dans le cadre de la politique d'assimilation forcée menée dans les années 1950 vient de recevoir 525 000 dollars (330 000 euros) à titre de dédommagement. C'est la première fois que la justice australienne indemnise une victime de la "génération volée".
Une dizaine d'années après la publication du rapport "Bringing them Home", qui a fait connaître au grand public la tragédie des enfants aborigènes volés, la Cour suprême d'Australie-Méridionale est la première juridiction du pays à reconnaître aux victimes un droit à l'indemnisation. Cette décision de justice historique stipule que Bruce Trevorrow, 50 ans, a été victime de traitements illégaux et soumis à une détention abusive en étant retiré à sa famille et placé dans une famille blanche en 1957, alors qu'il n'avait que 13 mois.