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La France « virile », conférence-débat, notes
A propos des tondues, en 45 : « c'est qu'un moment, les cheveux repoussent ».
Sara Choukroun, de l'OSE France, le 3 mai 2005 : « lors de votre prochaine visite, il ne paraîtra plus ».
Il y a bien eu un 8 mars 2008
Dans une vidéo de « la barbe », ma banderole apparait après celle des « jeunes chercheuses féministes en lutte », au cours de la marche de la République vers la place de la fontaine des innocents.
Plus tard, place de la fontaine des innocents...
De la photothèque du mouvement social
Rencontre débat : « Dénoncer ou se taire ? »
Samedi 15 Mars 2008 de 14h00 à 17h00
Rencontre débat avec des écrivains israéliens présents à Paris à l’occasion du Salon du Livre. Ces écrivains présenteront leur travail et se poseront la question du "Statut de l’intellectuel dans la culture israélienne : DENONCER OU SE TAIRE"
Avec la participation de :
- Amira Hass, journaliste
- Yael Lerer, éditrice
- Amnon Raz Krakotzkine, historien
- Michel Warschawski,écrivain, fondateur de l’Alternative Information Center
- Jamal Zahalka, député du parlement israélien
Cette rencontre est soutenue par la chaire du Moyen Orient / Méditerranée de Sciences Po.
Institut d’Etudes Politiques de Paris (Sciences Po)
27 rue Saint-Guillaume
Métro Saint-Germain des Près, Rue du Bac, Sevres-Babylone
Inscription obligatoire par mail : inscription15mars@gmail.com
Entrée sur présentation d’une pièce d’identité.
De source AFPS
Y a-t-il eu un 8 mars 2008 ?
A en croire les JT, la journée internationale [des droits] des femmes du 8 mars 2008 n'aurait été consacrée qu'à Ingrid Betancourt ainsi qu'à des femmes « d'exception », reçues à l'Elysée ou dont les portraits ont été accrochés au Panthéon. Cependant, de nombreuses personnes ont défilé dans Paris et se sont rassemblées place de la fontaine des innocents. Ma banderole était bien en vue durant toute l'après-midi.
De source Act-Up, « marche féministe » du 8 mars
Vers un éventuel drame social ?
J'ai participé à la manifestation des avoués contre le rapport Attali, l'accueil de ma banderole était plutôt mitigé. Un avoué m'a dit que cette banderole pouvait porter préjudice à leur mouvement tandis qu'au su de l'histoire de Justine, un autre m'a recommandé de foutre le bordel.
La manifestation est partie du Conseil d'Etat en direction de Matignon. J'ai marché aux côtés des avoués de la cour d'appel de Versailles et de leur personnel. Je compte sur les bruits de couloirs et les très nombreuses photos qui ont été prises.
Un avoué m'a dit qu'il ne partageait pas mon sentiment, que la justice n'est pas corrompue. Je n'ai pas répondu, ma banderole est bien assez précise et claire. D'autre part, la jurisprudence du CSM est truffée des turpitudes de magistrats intègres et vertueux.
Rue des Saints Pères, de la galerie de Laurent où
ma banderole apparait sur de nombreuses photos
La France « virile » : des femmes tondues à la Libération
CAEN (AP), 3 juin 2006, extrait - Pour la première fois, près de 150 enfants nés de père allemand et de mère française pendant la Seconde guerre mondiale se sont réunis samedi à Caen (Calvados) pour l'assemblée de l'Amicale nationale des enfants de la guerre (Ameg).
"C'est très émouvant de nous retrouver tous ici. C'est la première fois que nous nous voyons", lance Jeanine Nivoix-Sevestre, la présidente de l'amicale créée l'an passé. Née en 1941 d'une mère française et d'un père soldat allemand, elle se bat depuis plusieurs années pour retrouver des enfants comme elle.
"Nous conversons depuis plus d'un an par e-mail ou par téléphone, mais nous ne nous étions jamais vus", explique-t-elle. "Aujourd'hui nous sommes 150, mais il paraît qu'en France nous sommes plus de 200.000 enfants nés de ces amours interdites".
"Toute notre vie n'a été qu'insultes, menaces, brimades, mais chacun vivait muré dans son silence", ajoute Josiane Kruger, une autre de ses enfants nés durant la Seconde guerre mondiale.
Jeudi 13 mars 2008 à 19H30, à Paris,
Conférence-débat avec Fabrice Virgili, Chargé de recherche, Irice-cnrs - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
La France « virile ». Des femmes tondues à la Libération
Présentation de la conférence :
« La France sera virile ou morte », a-t-on dit en 1944. Virile, elle le fut, et les tontes des femmes accusées de collaboration en témoignent. Sur cet épisode de notre histoire qui, aujourd’hui encore, continue de susciter un malaise, on croyait tout savoir : ayant couché avec l’ennemi, des femmes avaient été violemment punies, dans un très court laps de temps, par des foules vengeresses et des résistants de la dernière heure.
La recherche menée par Fabrice Virgili révèle notamment que la moitié seulement de ces femmes avaient eu des relations sexuelles avec les Allemands ; que les tontes n’eurent rien d’éphémère, puisqu’elles s’étalèrent de 1943 à 1946 - deux dates qui impliquent que, parmi les tondeurs, il y eut aussi des résistants et que les autorités, après la Libération, « couvrirent » cette pratique ; et que vingt mille personnes environ furent touchées, de tous âges et de toutes professions, dans la France entière.
Que s’est-il réellement passé ? Pourquoi des femmes ? Et quel sens donner à cet événement ?
Actu de dernière heure, des hypocrites communiquent
Ce 8 mars 2008 sera pour moi une opportunité de rencontrer à nouveau la Ligue des Droits de l'Homme. Il semblerait que cette ligue n'a que faire de la situation d'enfants placés et d'enfants en danger, d'enfants kidnappés et séquestrés par « les services », je pourrais à nouveau aborder ces sujets avec quelques uns de leurs membres.
Un communiqué de la LDH-France
> 29 février 2008 - Journée internationale de luttes des femmes pour leurs droits
Rassemblement le 8 mars à 15h00 Fontaine des Innocents - Paris/les-Halles
Le 8 mars 2008 se situe dans un contexte politique très inquiétant de remise en cause des droits des femmes et de leurs acquis, partout, en Europe et dans le monde. Les revendications concernant les droits des femmes participent des droits humains fondamentaux sans lesquels aucune société ne peut être considérée comme juste, égalitaire et démocratique. Comme chaque année à cette date, nous rendrons visible la force de notre solidarité avec toutes les femmes de France et des autres pays dans lesquels elles sont en butte aux discriminations et aux violences.
Premières signatures : Marche Mondiale des Femmes France, Collectif National Droits des Femmes, CADAC, Collectif féministe 'Ruptures', Ligue des droits de l'Homme (LDH), Femmes Solidaires, Chiennes de Garde, La Meute, Encore Féministes, Coordination Femmes Egalité, Coordination Lesbiennes en France, ACTIT, Comité des Femmes Kurde a Paris, UFCS...... Parti Communiste Francais.....
Penser (panser) la protection de l'enfance
S’il arrive que des violences au sein d’institutions soient révélées, elles restent mal connues. L’organisation, le mode de fonctionnement et un contrôle de la qualité de la prise en charge peuvent garantir la protection des usagers.
Les maltraitances institutionnelles
Par Michèle Créoff, ADSP n° 31, juin 2000
Le programme complet
A l'occasion de la journée des droits de l'homme
Sur le parvis des droits de l'homme
Au parc Itshak Rabin
Manifestation à Paris, contre la réforme de la carte judiciaire
Manifestation nationale à Paris, contre la réforme de la carte judiciaire telle qu'imposée par Rachida Dati. Au cours du JT il apparait une grande banderole « Justine, disparue » - « Justice corrompue ».
Manifestation de la justice, à Paris
Place Vendôme, « manifestation contre les violences faites aux... »
D'une vidéo sur Yahoo!
Rassemblement à Paris, place Vendôme
A Paris, quelques centaines de personnes ont réclamé une loi-cadre contre la violence faite aux femmes
Ce rassemblement, place Vendôme, était organisé à l'appel du Collectif national pour les droits des femmes (CNDF) qui fédère 140 associations féministes, syndicats et partis de gauche.
De source France 2, le 24/11/07
« Une vrai manif de droite »
Une vidéo de latelelibre.fr
Conférence-débat : « La France et les droits de l’enfant »
Mercredi 21 novembre 2007 à 20h
Maison des Associations de Malakoff
28 rue Victor Hugo, Malakoff
Métro Plateau de Vanves - Malakoff
Dans le cadre de la 10e édition de la Semaine internationale de la solidarité, la Ligue des droits de l’Homme (LDH) organise une conférence-débat : "La France et les droits de l’enfant" le mercredi 21 novembre 2007 de 20 h à 22 h 30 à la Maison de la vie associative de Malakoff (28 rue Victor Hugo - Métro Malakoff Plateau de Vanves).
Avec la participation de :
- Françoise Dumont, secrétaire générale adjointe de la Ligue des droits de l’Homme,
- Alain Doustalet, Réseau éducation sans frontières des Hauts-de-Seine
- Christine Eymard, pédopsychiatre psychanalyste
- Joëlle Aguerri, maire adjoint à l’Enfance et à la Jeunesse de Malakoff
Conférence-débat animée par Karine Métayer, cadre associatif
Seront notamment abordés :
- Enfants en danger / enfants dangereux, au regard de l'ordonnance de 1945
- Quelle solidarité avec les enfants de parents sans-papiers ?
- Prévention et protection de l'enfant en souffrance
- Politique de la ville en matière d’éducation et de prévention de la délinquance
Section LDH Malakoff-Bagneux-Montrouge-Châtillon
Maison de la vie associative - 28 rue Victor Hugo - 92240 Malakoff
Journée mondiale des droits de l'enfant
A l'UNESCO, journée d'étude
« éthique et protection de l'enfance »
« Refuser de voir et entendre, refuser de savoir et agir : complicité »
Une image du 20h de France 2, on pourrait me faire remarquer qu'elle est ridicule mais ma pancarte était bien en vue, dans une foule d'environ 400 personnes. Juste à côté de « Refuser de voir et entendre, refuser de savoir et agir : complicité », « Justine, 14 ans, otage de Nanterre ».
Une image du 20h de France 2
« Justine, 14 ans, otage de Nanterre »
PARIS (AP) - Réuni sous le slogan "Stop aux violences faites aux femmes", un collectif d'associations a organisé dimanche après-midi un rassemblement sur le parvis de l'hôtel de Ville de Paris, en présence notamment de Nadine Trintignant, pour "attirer l'attention sur les femmes violentées victimes de l'indifférence".
Derrière les pancartes "Violences contre les femmes: tolérance zéro" et "Refuser de voir et entendre, refuser de savoir et agir complicité", une vingtaine de personnalités ont lu entre 14h et 16h des textes de victimes, d'auteurs et d'artistes dont Carole Bouquet, Patrick Timsit, Guy Bedos, Jacques Higelin, Bernie Bonvoisin, Zoé Valdès et Maria de Medeiros.