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Affaire DSK : le syndrome Bérégovoy et les pyjamas en papier
NDLR : Encore un naïf, Carreyrou... mais tout de même quelqu'un d'assez généreux, et avec une bonne mémoire. Devrions nous songer à faire emprisonner DSK et à lui remettre un kit anti-suicide, un pyjama en papier ? DSK pourrait aussi, lui-même, songer à se faire épauler par un bon psychiatre en plus de ses avocats. Un psychiatre pourrait également aider DSK dans des moments plus difficiles... On pourrait aussi coller un juge pour enfant au cul de Sinclair et de DSK, quel âge ont leurs enfants, y aurait-il, là, en plus de problèmes de moeurs, du boulot pour des travailleurs sociaux, de bons rééducateurs ? Quand un juge pour enfant est saisi, les syndromes type Bérégovoy, la vie privée, la famille et les enfants, tout le monde s'en contrefout.
L'édito de Gérard Carreyrou
Gérard Carreyrou Par Gérard Carreyrou
France Soir, non daté, extraits
Affaire DSK : Le syndrome Bérégovoy
Depuis l’affaire du Sofitel de New York, je n’ai pas eu la moindre indulgence pour Dominique Strauss-Kahn : il eut la chance de ne pas être jugé, donc il ne fut ni condamné ni innocenté, mais il s’est à tout jamais discrédité pour pouvoir occuper à nouveau la moindre fonction publique ou politique. Même ses défenseurs les plus indécents le reconnaissent aujourd’hui, et la plupart se sont éloignés de lui malgré sa vaine tentative télévisée de préparer un retour en cas de victoire socialiste en 2012. Cela étant dit, et tandis que se développe l’incroyable affaire du Carlton de Lille, il me semble que point trop n’en faut et que nous, les journalistes, devrions faire preuve de retenue et de responsabilité. Il n’y a aucune raison de douter de la justice, qui ira...
[...] Quant à DSK et à son épouse, Anne Sinclair, ils ont droit comme tout le monde au respect de leur vie privée, ainsi que de celle de leurs enfants.
[...] J’ai vécu de près les dernières semaines de la vie de Pierre Bérégovoy : certes, son prêt de 1 million n’avait rien à voir avec des affaires graveleuses. Et cet ancien Premier ministre n’avait rien de commun avec DSK, si ce n’est que ce dernier fut son jeune ministre.
[...] Mais la folie suicidaire, irrépressible, peut saisir parfois celui qui ne voit pas d’autre issue. Ne soyons pas des chiens, la loi de Lynch n’est pas une tradition française.
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Gérard Carreyrou : "Nous assistons au début de la fin de la candidature Fillon 2017" #GrandesVoix pic.twitter.com/iqhE1SQa73
— Les Grandes Voix (@GrandesVoix) 1 février 2017