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Nantes : traîné au tribunal pour un PV injustifié
NDLR : Philippe Leroux pourra toujours faire ensuite appel, ou plutôt, cassation, etc... car, bien sûr, en France, les voies de recours ou de justice, ça existe, un magistrat au moins devrait pouvoir confirmer
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Nantes : traîné au tribunal pour un PV injustifié
Le Parisien | Carole Guéchi | Publié le 17.10.2012, 11h00, extrait
« J’ai été condamné pour une infraction au stationnement commise à Paris en avril 2011, alors que c’est en juin que j’ai acheté la voiture mise en cause! » Après plus d’un an de procédure administrative et judiciaire pour prouver sa bonne foi, Philippe Leroux, domicilié à Nantes (Loire-Atlantique), tentera aujourd’hui d’obtenir la relaxe devant le tribunal de proximité de la rue de Cambrai à Paris (XIXe).
Il ne viendra pas seul : pendant qu’il passera en jugement, plusieurs dizaines de personnes se masseront devant le bâtiment, répondant à l’appel lancé par l’Association nationale de défense des victimes d’injustices (Andévi), qui le soutient dans son combat. Pour son président, Daniel Merlet, l’histoire de Philippe et de son épouse, Marie-Line, illustre les failles d’une administration qui « ne veut pas voir ni reconnaître ses erreurs ».
Il fera aujourd’hui 800 km dans l’espoir d’une relaxe
Chaque jour, des automobilistes sont poursuivis pour des infractions au Code de la route qu’ils n’ont pas commises. Parmi les victimes de PV injustifiés, l’administration range les conducteurs abusés par des escrocs qui roulent avec de fausses plaques minéralogiques (correspondant à leurs propres plaques) mais aussi des automobilistes pris dans la nasse de situations ubuesques : bugs informatiques, homonymies, procédures à l’encontre de personnes décédées… Des histoires « aberrantes » et « de plus en plus nombreuses », remarque Daniel Merlet.
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Elle dort un mois avec son mari mort
AFP Publié le 17/10/2012 à 16:06
Un octogénaire, mort depuis plus d'un mois, a été retrouvé en état de décomposition sur son lit par un infirmier à Aix-les-Bains (Savoie), a-t-on appris cet après-midi auprès de la police confirmant une information de l'Essor savoyard. Son épouse et son fils, atteints de troubles psychiatriques, pensaient qu'il était "endormi". "On lui a apporté à manger, mais il dormait", a déclaré aux enquêteurs le fils de la victime, âgé de 42 ans, qui vivait avec ses parents dans un quartier pavillonnaire d'Aix-les-Bains, a rapporté la police de Chambéry.
"L'odeur d'un cadavre en décomposition est insoutenable, et pourtant l'épouse dormait dans la même pièce que son mari décédé," a souligné la même source. Le fils et sa mère, qui souffrent de psychoses "assez importantes", ont été admis dans un hôpital psychiatrique.
"L'autopsie a révélé que la mort, d'origine naturelle, remonte à environ un mois à un mois et demi", a précisé une source policière, alors que les premiers éléments avaient laissé penser qu'il était décédé depuis environ deux semaines.
Le corps a été découvert samedi dernier par un infirmier qui prodiguait des soins au fils toutes les deux semaines. "Lors de sa dernière visite, le soignant ne serait pas allé dans la chambre, ce qui explique la découverte tardive", a précisé une autre source policière. "Ces gens vivaient en vase clos, ils étaient très renfermés sur eux-mêmes", a-t-elle ajouté.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/17/97001-20121017FILWWW00530-elle-dort-un-mois-avec-son-mari-mort.php