« Pour certains, l'ère serait à la décroissance | Voilà le dégel et, sous peu, les régionales » |
Je m'interroge
Je me suis souvent interrogé au cours de ces dernières années. Je viens de passer commande de Figures du parquet, un chapitre traiterait du modèle iranien. Je comprendrais peut-être un peu mieux pourquoi Clotilde Reiss est encore retenue ailleurs. Sur la toile, je viens de lire des choses « pas imaginables chez nous ». D'ici quelques temps, la France pourrait libérer ou expulser Vakili Rad ? Mais je pense que les français ont d'autres soucis, par exemple, leurs impôts locaux, leurs factures de chauffage et leurs retraites, l'encadrement, le suivi et, peut-être, l'enfermement des irresponsables aussi.
Iran
Le prisonnier Ali Vakili Rad fixé sur son sort le 9 mars
L'Express, publié le 10/02/2010 à 18:35 - mis à jour le 10/02/2010 à 19:04, extraits
L'assassin de Shapour Bakhtiar devra encore attendre pour savoir si sa demande de libération conditionnelle est acceptée. Le parquet s'y est déclaré favorable. [...] Lors de l'audience, qui s'est tenue ce mercredi à la centrale de Poissy (Yvelines), le parquet a donné un avis favorable à la libération du détenu. Celui-ci a effectué les 18 ans de peine incompressible que lui avait infligés la cour d'assises. Le représentant du ministère public s'est appuyé sur un arrêt de la cour d'appel de juillet 2009. [...] Le document soulignait les garanties exceptionnelles de réinsertion présentées par l'Iranien. [...] Un arrêté d'expulsion du territoire français de l'Iranien devrait être signé par le ministère de l'Intérieur dans les semaines qui viennent. Si le 9 mars, le tribunal décide la libération conditionnelle de l'Iranien, il sera aussitôt conduit jusqu'à l'aéroport et expulsé vers Téhéran.
D'après le Figaro du week-end, sa page 10, le mystère demeure toujours à Pont-Saint-Maxence ? Nous espérions que ces profileurs, de savants « psychologues », allaient au moins très rapidement retrouver la clio. Je constate que nous devrons encore patienter un peu. Selon ce Figaro, à Pont-Saint-Maxence, le voisinage pourrait être très inquiet. Le ministre de l'Intérieur a-t-il envisagé d'en discuter avec le ministre de la Justice ? Je pense que MAM a les moyens de rassurer tout le monde, elle pourrait faire saisir ou détacher quelques juges pour enfants et des travailleurs sociaux. Je ne suis pas sûr qu'ils seraient les plus aptes à faire progresser l'instruction ou les investigations. Par contre, certains de ceux que j'ai pu connaitre étaient particulièrement doués pour lire le passé, dépeindre le présent puis écrire l'avenir.
Je vais encore conserver quelques feuilles et hebdomadaires qui étaient en kiosque, ce week-end. Puis comme depuis quelques semaines déjà, je vais impatiemment attendre mercredi, pour la parution du Canard et du Nouveau Détective.
Depuis quelques jours, je repense à diverses choses « jugées » ou supputées l'être, des décisions rendues par Nanterre, Paris, Versailles ainsi que par Strasbourg, le tribunal administratif, etc. La décision rendue par Strasbourg finissait rapidement par me satisfaire, mais à mon avis, comme elle tend à compromettre l'institution judiciaire, il y a eu un couac, elle doit être de celles que Nanterre et Versailles refuseront toujours au dossier « d'assistance éducative » de mon aînée. Je m'aperçois surtout, qu'étrangement, dans mes affaires « privées », il m'est impossible d'obtenir des expertises après des instructions, qu'elles soient l'oeuvre d'un juge pour enfant ou même d'un juge d'instruction. Le premier pourrait à tous moments modifier ses décisions. Ils sont chacun susceptibles d'être ressaisis, moyennant des éléments « nouveaux » ? Le premier m'a surtout paru être très friand de ragots, de calomnies et de mensonges. Les motivations d'une ordonnance de non-lieu rendue par le second me font penser que l'instruction aurait pu fouiller un peu plus suite au décès subit de la mère de mon ainée, quelques heures après son admission aux urgences ; par le passé, j'avais pu discuter en présence d'experts, avec des représentants de Hospitalor, une clinique privée, mais il n'y aura donc certainement aucune suite.
En une du Figaro du 13 et 14 février
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Sixième renvoi pour l'Iranien Majid Kakavand dont les USA réclament l'extradition
AP | 17.02.2010 | 15:54
L'Iranien Majid Kakavand devra rester encore un peu en France. La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris a décidé mercredi de renvoyer son affaire d'extradition vers les Etats-Unis pour la sixième fois. La prochaine audience est prévue le 31 mars.
Cette fois-ci, la cour a demandé un complément d'informations comprenant un avis technique de la Direction générale de l'armement (DGA) du ministère de la Défense avec une aide technique de différents ministères.
Le dossier Kakavand est assez complexe pour la justice française.