« Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège | Après les injures publiques, de nouvelles dénonciations calomnieuses ? » |
Des observations
Versailles souhaite recevoir mes « éventuelles » observations avant le 4 prochain, pour l'audience du 25 mai. J'en ai quelques unes à formuler, je souhaite par exemple « dire » ou « expliquer » que le juge des tutelles ne convoque plus d'audiences et ne me lit probablement même plus, depuis plusieurs années. J'attends ensuite d'entendre des magistrats marteler ou m'écrire que ce genre de décision est aussi réputé contradictoire et également parfaitement motivé ; la deuxième chambre de la cour d'appel de Versailles va très probablement s'en charger, en chambre dite du conseil, une sorte d'étouffoir pour affaires scandaleuses, un espace où trônent des mythographes.
Ajout du 2 mai, tard le soir... J'ajoute une petite phrase, ci-dessous, en italique. Un PDF ; je n'ai plus qu'à les déposer. Je vais être impatient d'entendre le ministère public, Messieurs X et Y, assistants de notaire ; le premier me boude et je ne connais pas les deux autres, des assistants, je n'ai toujours échangé qu'avec Maître Charles Halter.
Ajout du 3 mai au matin... « C/ le Ministère Public » en premier, ça a le mérite d'être un peu plus clair ; il n'est pas neutre dans ces affaires qui concernent ma fille Justine. Est il complaisant ou simplement insouciant ?
L'étude de Maître Charles Halter, notaire, à Saint-Avold (57), s'occupe depuis plusieurs années déjà du traitement de la succession de M. Kurt BULOW, le grand-père maternel de la mineure Justine KANT. Le traitement de cette succession ne progresse pas ou très difficilement.
M. Bruno KANT est l'administrateur légal des biens de sa fille Justine KANT.
En 2004, Madame Carole BULOW, Assistante Sociale de la Dass (en Moselle), corbeau et tante maternelle de Justine KANT a écrit au juge pour enfant de Nanterre (dans le 9-2), « dénonçant » M. KANT. Suite à cela, le juge des tutelles d'Antony (dans le 9-2) a été saisi. M. KANT a du fournir des explications au juge des tutelles.
Début 2005, M. KANT a été accusé d'avoir commis des diligences auprès de l'étude de Maitre Charles HALTER. M. KANT a fourni des explications suite à quoi le juge des tutelles a formulé une plainte auprès de la chambre des notaires.
En 2005, en marge du traitement de la succession de M. Kurt BULOW, le juge des tutelles a suggéré à M. KANT de déposer des plaintes, il venait de s'apercevoir qu'un inventaire d'une autre succession ne pouvait pas être établi et que « inconnu » était intervenu sur des comptes bancaires de la mineure, Justine KANT, ainsi que sur les comptes bancaires de sa mère décédée, Mademoiselle Sonja BULOW. M. KANT a porté plainte auprès du procureur près le TGI de Nanterre. Diverses plaintes de M. KANT sont toutes restées sans suites connues. L'une des plaintes de M. KANT a été « classée d'office » par le parquet financier de Nanterre.
Fin 2005, Maître Charles Halter ayant pu progresser un peu et fournir enfin un inventaire de la succession de M. Kurt BULOW, le juge des tutelles autorisait finalement M. KANT à accepter cette succession, pour le compte de sa fille mineure Justine KANT. Mais peu après cela, il s'est avéré que l'inventaire de la succession de M. Kurt BULOW établi par l'étude de Maître Charles HALTER était non conforme à la réalité juridique (pièce n° 1). Depuis, le juge des tutelles ainsi que Maître Charles HALTER prient encore et systématiquement M. KANT d'accepter cette succession pour le compte de sa fille Justine KANT, même si son inventaire est toujours non conforme à la réalité juridique.
La plainte « classés d'office » par le parquet de Nanterre avait été dépouillée de ses éléments matériels, par un OPJ. En 2006, M. KANT s'en était encore plaint, auprès de Monsieur Nicolas Sarkozy, Ministre de l'Intérieur. Selon le cabinet de ce Ministre, un « examen approprié » pouvait suivre (pièce n° 3) ; malgré des relances auprès du cabinet de ce ministre, M. KANT n'a jamais eu connaissance du résultat de ces investigations.
En mars 2007, après avoir reçu une correspondance de la part de l'étude de Maître Charles HALTER, sans le moindre échange ni aucun débat contradictoire, le juge des tutelles a prêté des « carrences » à M. KANT et a désigné un administrateur ad'hoc pour faire progresser le traitement de la succession de M. Kurt BULOW. Le juge des tutelles a alors désigné un assistant de Maître Charles HALTER.
Fin septembre 2009, M. KANT a écrit au juge des tutelles, en lui communiquant une décision de la cour de cassation (pièce n° 3). M. KANT a le sentiment que cette correspondance a été purement et simplement ignorée par le juge des tutelles. En effet, le jugement de mars 2010 rendu par le juge des tutelles ne fait aucune référence à cette correspondance pourtant reçue le 23 septembre 2009, par le greffe du juge des tutelles.
En mars 2010, après avoir reçu une nouvelle correspondance de la part de l'étude de Maître Charles HALTER, encore une fois sans le moindre échange ni aucun débat contradictoire, le juge des tutelles a désigné un autre administrateur ad'hoc pour faire progresser le traitement de la succession de M. Kurt BULOW. Le juge des tutelles a alors désigné un autre assistant de Maître Charles HALTER.
Depuis mars 2007, il appartiendrait à l'étude de Maître Charles Halter de traiter convenablement la succession de M. Kurt BULOW, avec le concours de la famille maternelle de Justine KANT. En janvier 2010, malgré les contestations et les critiques formulées par M. KANT, la cour d'appel de Versailles rendait un arrêt selon lequel aucun reproche ne peut être fait aux membres de la famille maternelle de Justine KANT, surtout pas à Madame Isabelle CLEMENTZ née BULOW, pasteur d'Uhrwiller et soeur du corbeau, Madame Carole BULOW. Depuis mars 2007, M. Bruno KANT n'a plus aucune responsabilité dans le traitement de la succession de M. Kurt BULOW ; en effet, des assistants de Maître Charles HALTER ont été désignés administrateurs ad'hoc dans le cadre de cette succession.
Mais en mars 2010, Maître Charles HALTER priait encore une fois M. Bruno KANT d'accepter la succession de M. Kurt BULOW, pour le compte de la mineure Justine KANT (pièce n° 4). Or, d'une part, l'inventaire de cette succession est toujours non conforme à la réalité juridique tandis que, d'autre part, un assistant de Maître Charles HALTER est administrateur ad'hoc dans le strict cadre du traitement de la succession de M. Kurt BULOW.
Ce 25 mai 2010, pour ce traitement de la succession de M. Kurt BULOW, M. Bruno KANT demandera que soit désigné un autre administrateur ad'hoc qui ne soit pas un assistant de Maître Charles HALTER.
Ces observations ainsi que leurs pièces jointes sont publiées sur Internet. Ce 25 mai 2010, auprès de la cour, M. Bruno KANT critiquera principalement des décisions du juge des tutelles, surtout celle du 15 mars 2010, objet de cet appel, diverses décisions du ministère public, le travail du ministère de l'intérieur, entre 2006 et 2007, ainsi que le travail de l'étude de Maître Charles HALTER, depuis 2005 au moins. M. Bruno KANT réclamera alors également une audience publique. En chambre du conseil, les magistrats de Versailles trichent et trompent.
L'essentiel figurant déjà au dossier du juge des tutelles, très bien informé, M. KANT ne communique que peu de pièces à la cour :
1) Une correspondance de Me Charles HALTER au juge des tutelles du 5 juin 2006,
2) Une correspondance du 18 juillet 2006 du ministère de l'Intérieur,
3) Une décision du 17 décembre 2008 rendue par la cour de cassation,
4) Une correspondance de Me Charles HALTER du 2 mars 2010
Les pièces n° 1 et 3 devraient déjà figurer au dossier du juge des tutelles. La pièce n° 2 ne devrait pas figurer au dossier du juge des tutelles, ce juge était déjà informé qu'un OPJ avait dépouillé une plainte de M. KANT de ses éléments matériels.
La pièce n° 3 semble être un document « sensible », personne ne s'aventure à la commenter publiquement, pas même l'Elysée. Pourtant, M. KANT a plusieurs fois sollicité Monsieur Nicolas Sarkozy, aujourd'hui Président de la République Française.
La pièce n° 4 du 2 mars 2010 est bien évidemment un élément « nouveau », elle n'a probablement pas été communiquée au juge des tutelles. Cependant, selon M. KANT, si le juge des tutelles le lisait mieux ou entendait encore de temps en temps M. KANT, ce juge aurait pu percevoir que l'étude de Maître Charles HALTER fait un peu n'importe quoi, depuis plusieurs années déjà, et, ce 15 mars 2010, ce même juge aurait très certainement pu rendre une décision un peu différente.
Plaise à la cour...
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Jérôme Kerviel publie un livre sur son histoire
Mots clés : justice, Jérôme Kerviel, Société générale
Par Paul-Henri Du Limbert
Le Figaro, 01/05/2010 | Mise à jour : 10:57, extrait
L'ancien trader reconnaît ses erreurs mais entend démontrer que sa hiérarchie savait.
«Je décris de l'intérieur la réalité des salles de marchés, le monde des traders, et le cynisme d'un système qui tire profit de ceux qui travaillent pour lui, quitte à les lâcher en cas de défaillance. Je souhaite que ce livre interpelle l'opinion publique sur la réalité des pratiques bancaires, qu'elle y découvre le témoignage d'un homme qui reconnaît ses fautes mais refuse de payer pour un système financier devenu fou», écrit Kerviel.
Mots clés : justice, trader, Jérôme Kerviel, Société générale
Par Pauline Fréour
Le Figaro, 02/05/2010 | Mise à jour : 16:54, extrait
L'ancien trader, qui vit aujourd'hui «modestement» de son travail dans une société informatique où il est payé «2 300 euros par mois», estime en effet que de nombreuses personnes des milieux financiers ou universitaires l' «assurent de leur soutien mais refusent de témoigner parce qu'elles ont peur de représailles ou de perdre leur emploi». «Le milieu de la finance est très fermé, elles ne peuvent pas dire ouvertement que ce que raconte la Société générale ne tient pas debout. (...) Je lance aujourd'hui un appel aux bonnes volontés», poursuit-il. Jérôme Kerviel estime en outre que «le contradictoire n'a pas été respecté pendant l'instruction» et se dit «impatient» de pouvoir s'expliquer publiquement sur le dossier. Les juges Renaud van Ruymbeke et Françoise Desset l'ont renvoyé seul devant le tribunal, jugeant que le jeune homme avait outrepassé le mandat confié par la banque en prenant des positions hors normes -jusqu'à 50 milliards d'euros - sur les marchés financiers.
De source http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/05/02/01016-20100502ARTFIG00086-kerviel-appelle-ses-anciens-collegues-a-temoigner-.php
AFP, 03/05/2010 | Mise à jour : 06:53, extrait
Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux a affirmé, dans un entretien à France-Soir de lundi, que dans "un Etat républicain, il n'y a pas de zones de non-droit", après les nouveaux caillassages de bus à Tremblay-en-France. "Nous sécuriserons les lieux autant de temps qu'il le faudra pour que s'applique la loi de la République", a-t-il indiqué. "Nous ne céderons pas aux malfrats un pouce de terrain", a ajouté le ministre de l'Intérieur.