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Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège
Je ne vais pas attendre la fin mai, une audience à Versailles, puis d'avoir lu l'ultime lettre de cachet que rendra ensuite la cour d'appel. J'ai tranquillement rédigé et vais faire parvenir une lettre ouverte au juge pour enfant de Nanterre. Je suppose que le juge Thierry Baranger, « clinicien judiciaire », est toujours saisi du dossier de ma fille aînée.
Quelques uns de mes lecteurs pourraient encore être scandalisés par ce que j'envoie maintenant à ce magistrat du siège. Je leurs répondrais comme je pourrais répondre à un Mégel, à un Supéri ou leurs soutiens, ces derniers acquiesceraient très certainement : des pros de la Dass ne devraient pas sodomiser les gosses, ce n'est ni merveilleux, ni éducatif.
Ce qui suit est à peine différent des conclusions que je déposais en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles. J'informais ou éclairais alors très bien ces professionnels : « Après avoir plaidé, M. KANT ne se lèvera plus jamais devant aucune Cour ni aucun juge français. » J'assume, tandis que ces cafards se défilent tous ou restent retranchés en chambre dite du conseil. En janvier dernier, je pensais qu'il allait y avoir un changement ; mais je n'ai alors été convié qu'à prendre un thé dans l'entresol du palais de justice de Paris... je venais de commettre une offense au chef de l'Etat français.
Je pourrais lui en écrire ou lui en communiquer plus, éclairer mieux le juge pour enfant. Mais il n'y a pas urgence ni aucun impératif ou nécessité, la quille ou la fin de ce « placement provisoire », c'est en fin 2011. Je n'ai plus qu'à imprimer cette lettre et ses pièces jointes, en deux exemplaires ; dans les prochains jours, je m'arrêterais à la Poste.
Madame Muller a également publié un petit bilan de ses affaires en cours, dans son blog SOS Parents Abusés ou Villages de Marly : Serait-ce de l'acharnement ? Avec d'autres, je continue à la soutenir dans ses démarches, je l'aide à résister ainsi qu'à agir un peu. Cette autre histoire et pratiques « professionnelles » présentent d'étranges similitudes avec les pratiques de l'OSE France et celles de l'ARSEA. Quant aux récents discours de Laurence Ferrari, ils me rappellent beaucoup ceux qui ont été promus par Enfance et Partage, en novembre 2007. Peut-on parler d'impostures ?
Mais ces derniers temps, en attendant des audiences ou d'autres conférences et sorties, je préfère me distraire. Je me suis détaché du flot de l'actualité pour me consacrer à plus utile mais également à beaucoup plus futile aussi. Depuis quelques jours, je regarde souvent pousser mes plantes en me demandant comment exploiter des vieilleries russes.
Lettre ouverte
Monsieur le juge pour enfant,
Par le passé, Madame Carole Bulow, le corbeau de cette histoire, avait affirmé que j'aurais un jour acquis une maison « à Rambouillet », d'une manière douteuse, voire ignoble (pièce n°9). A l'époque, les juges du secteur courraient déjà comme de beaux lévriers après un leurre. Aujourd'hui et malgré mes multiples remarques, je pense que cette correspondance de ce corbeau figure toujours à votre dossier, parmi de nombreuses correspondances et avis ou rapports de nature et aux fonds assez similaires : calomnieux et diffamatoires, à mon encontre. Je pense aussi qu'aujourd'hui, de grands naïfs et des magistrats - dont vous même - courent toujours.
Il y a peu, le juge des tutelles rendait une lettre de cachet (pièce n° 1) en faveur de l'étude de Maître Charles Halter. J'ai fait appel de cette décision ; la cour d'appel a convoqué pour le 25 mai prochain. Je me plaindrais alors de l'inexistence du contradictoire chez le juge des tutelles. Je critiquerais encore une fois le travail de l'étude de Maître Charles Halter. Je sais cependant que cette démarche est vaine ; je connais aujourd'hui très bien les coutumes et les usages de la magistrature de ce pays. La Cour soutiendra le juge des tutelles et blanchira l'étude de Maître Charles Halter, notaire.
Je ne sais pas si vous avez pu lire les conclusions écrites que j'ai déposé, en décembre dernier, à la cour d'appel de Versailles ; si elles vous intéressent, vous les trouverez facilement sur Internet. En octobre 2008, le juge pour enfant Xavier Serrier, un indéboullonable ou, selon votre jargon, un inamovible, sautait de son siège (pièce n° 6) ; j'avais engagé une procédure de prise à partie contre ce magistrat professionnel ; vous pouvez avoir oublié ou vous pourriez tout simplement nier ce passé, tout ce qui s'est tramé depuis, comme certains de vos compères pairs qui trônent à Versailles. Depuis octobre 2008, vous avez eu de nombreuses opportunités de me lire. Vous m'avez aussi reçu et entendu. Vous avez également lu, reçu et entendu ma compagne.
En mars dernier, je vous informais que ma fille Justine semble souffrir de vertiges, depuis de nombreuses années maintenant (pièce n° 7). Selon votre correspondance du 22 mars 2010 (pièce n° 2), vous paraissez m'avoir compris. Cependant, selon cette même correspondance, je constate que vous avez simplement transmis aux gorets de l'ARSEA. Eu égard aux informations que je vous communiquais, je suis surpris que vous ne leurs ayez pas réclamé une note d'information. Mais par le passé, alors que Justine était placée dans un établissement de l'OSE France, le juge pour enfant de Nanterre et Versailles n'en auraient pas fait beaucoup plus (pièce n°10).
Dans votre correspondance du 22 mars 2010, vous me suggériez de contacter l'ARSEA afin, probablement, de leurs parler de ces problèmes de santé dont se plaint ou parle parfois ma fille Justine. Entre juin 2008 et septembre 2009, j'ai bien essayé de discuter avec les gorets de l'ARSEA. Depuis, je n'ai plus aucun contact avec ces professionnels. Eux-même ne me sollicitent ni ne m'informent jamais. Je n'ai plus l'intention d'échanger quoi que ce soit avec ces gens là. Je ne me fais cependant aucun soucis pour ma fille Justine. Le pasteur d'Urhwiller, la soeur du corbeau, tiers digne de confiance, son avocat ou cafard, Maître Delphine Roughol, ainsi que vous-même, bourreau juge pour enfant, veillez aux intérêts supérieurs de mon aînée. D'autre part, selon la cour d'appel de Versailles, ma fille Justine est aujourd'hui en âge de se faire entendre, de préciser son point de vue et ses opinions. D'ici quelques temps, même si je ne « collabore » pas, vous pourrez donc confirmer ou infirmer les problèmes de santé dont parle ou se plaint parfois Justine.
La mère de Justine est décédée en 1999. Dans une correspondance du 3 décembre 2009 (pièce n° 5), vous me rappeliez que je suis toujours détenteur exclusif de l'autorité parentale sur ma fille aînée Justine - j'adore le cynisme et l'hypocrisie, surtout celui de professionnels de la justice ou de la Dass, n'hésitez pas à m'en renvoyer de pareilles. Dans les faits dont vous ignorez peut-être tout, ce sont d'autres que moi qui exercent l'autorité parentale sur ma fille Justine, depuis 2004 au moins. A l'occasion, vous pourriez envisager de me déchoir pour ne plus m'accorder qu'un simple droit très occasionnel et approximatif de surveillance sur ma fille aînée, ce serait plus conforme à ce que je peux encore exercer - car j'apprécierais aussi, parfois, un peu plus de franchise, d'honnêteté et de sincérité de la part de la magistrature de ce pays.
En février dernier, selon France Soir (pièce n° 3), Jean-Marie Bockel, secrétaire d'Etat à la justice, a « enfin insisté sur le soutien à l'exercice de l'autorité parentale, en constatant que les mesures prises à Mulhouse avaient eu des résultats `' en demie teinte ", certains parents étant `' totalement déconnectés " . » La chancellerie elle-même pourrait déjà s'être fait une raison : mener des expérimentations ou confier des missions à l'ARSEA, ce n'est peut être pas la panacée. Mais vous êtes indépendant ; vous pouvez encore vous obstiner ou persister et vous référer toujours à ce que des gorets vous rapporteront ainsi qu'à ce que le pasteur d'Uhrwiller vous expliquera. Vous pouvez bien évidemment faire suivre également la présente aux services concernés de l'ARSEA, en Alsace, soit ceux d'Ostwald, dirigés par Monsieur Thomas Resch ; mais je pense qu'ils n'en feront pas grand chose.
Vous pouvez savoir que, depuis 2005, mes paroles et écrits en public comme sur Internet ont fait l'objet de très nombreuses critiques ou complaintes en chambre du conseil, à huis-clos. Fin mai 2008, le ministère public en la personne du substitut Laeticia Felicis, le pasteur d'Uhrwiller et le juge pour enfant Xavier Serrier m'avaient supplié de supprimer mon blog ; en 2009, la cour d'appel de Versailles confirmait en tous points ; en janvier 2010, la cour d'appel de Versailles confirmait à nouveau. Mon blog est toujours en ligne ; récemment, deux huissiers de justice ont matérialisé tout son contenu (pièce n° 4). Pour le moment, je n'ai nullement l'intention de faire disparaitre un jour mon blog d'Internet. La présente lettre ouverte à votre attention est publié dans un billet dont le titre est le suivant : « Lettre ouverte au complice ou pédocriminel du siège ».
Dans un billet du 3 avril 2010, je publiais peut-être tout aussi intéressant que la présente, « Un bilan », une synthèse grossière, après sept années « d'assistance éducative ». Je vous en joins l'essentiel (pièce n° 8). Vous remarquerez peut-être qu'avec d'autres, je soutiens une mère qui est elle aussi priée de faire disparaitre son blog ; depuis juin 2009, elle subit de plus en plus de pressions et vient de recevoir une ultime lettre d'intimidation ou de mise en demeure. Un petit procès pourrait suivre à l'occasion duquel elle est susceptible de déterrer de très vieux textes, de 1881, relatifs à la liberté d'expression, ainsi que de plus récents, de juin 2004, relatifs à la confiance dans l'économie numérique.
Vous souhaitant bonne lecture, je vous prie de croire, Monsieur le juge pour enfant, en l’assurance de mes plus respectueuses salutations.
Copie à Madame Michèle Alliot-Marie,
Garde des Vélodromes et Ministre de la Justice
P.S.: Ma soeur trisomique t'emmerde, pas qu'un peu, et elle emmerde tout autant tes pairs et ton ministère public. Si t'es pas content, trouve toi un drapeau français.
Pièces jointes, toutes publiées et commentées, parmi d'autres, sur Internet :
1) Une ordonnance du 15 mars 2010 du juge des tutelles,
2) Une correspondance du 22 mars 2010 de Monsieur Thierry Baranger,
3) Un coupon de presse taillé dans France Soir du 19 février 2010,
4) Un extrait d'un constat d'huissier du 15 mars 2010,
5) Une correspondance du 3 décembre 2009 du juge des enfants,
6) Une correspondance du 28 octobre 2008 du juge des enfants,
7) Une correspondance du 8 mars 2010, au juge pour enfant,
8) « Un bilan », d'un billet du blog http://justice.cloppy.net,
9) Une photo d'une lettre du corbeau, au dossier du juge pour enfant,
10) Une main courante de janvier 2005, un document « confidentiel »
10 commentaires
Politique
Besson : si la polygamie est avérée, «la justice doit être saisie»
Le Parisien | 24.04.2010, 18h38 | Mise à jour : 25.04.2010, 07h27
Dans une interview exclusive au «Parisien» et «Aujourd'hui en France» à paraître ce dimanche, le ministre de l'Immigration et de l'identité nationale rappelle par ailleurs son soutien au chef de l'Etat, qui «reste le meilleur» candidat pour 2012. Le ministre de l'Immigration, Eric Besson, indique dans une interview exclusive au «Parisien» et «Aujourd'hui en France», à paraître ce dimanche, qu'il «va très vite analyser» la lettre de Brice Hortefeux sur le cas du mari de la femme voilée de Nantes. Ce courrier «présente des faits susceptibles de constituer des délits de fraude aux aides sociales et de polygamie (de la part du mari, ndlr)», rappelle Eric Besson. «Si ces faits sont avérés, ils sont insupportables et la justice doit être saisie. Si une condamnation intervient, des sanctions pénales seront prononcées et j'étudierai alors, avec la garde des Sceaux, l'éventuelle déchéance de nationalité de cette personne.»
La suite: http://www.leparisien.fr/politique/besson-si-la-polygamie-est-averee-la-justice-doit-etre-saisie-24-04-2010-898598.php
Politique
L'homme accusé de polygamie se montre peu loquace
Le Parisien | 25.04.2010, 07h00
L’homme sort d’une C4 noire, le visage crispé, encadré de deux malabars. La veille, au cours d’une conférence de presse, L.H., 35 ans, invoquait « le respect des droits de l’homme » pour épauler sa conjointe Anne, verbalisée à Nantes au volant le 2 avril parce qu’elle portait le niqab, ce voile intégral qui ne laisse apparaître que les yeux.
Hier, celui que le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, a désigné comme un possible polygame proche d’une mouvance radicale de l’islam, le Tabligh, n’était guère bavard. Devant la devanture de la boucherie qu’il a ouverte il y a deux mois dans le quartier Pirmil, non loin des bords de Loire, à Nantes (Loire-Atlantique), l’échange avec les journalistes est tendu et bref. « J’ai eu mon avocat au téléphone, je ne parlerai qu’après l’avoir vu, je ne parlerai qu’en sa présence », lâche-t-il avant de disparaître dans le magasin. Difficile, hier, de vérifier la véracité des allégations avancées par Brice Hortefeux dans la lettre où il demande à son homologue à l’Immigration, Eric Besson, d’envisager de déchoir L.H. de sa nationalité française. Avec des conditionnels, le ministre de l’Intérieur indiquait que cet homme était uni à 4 épouses, dont il avait 12 enfants, que chacune portait le voile intégral et bénéficiait de l’allocation parent isolé.
La suite: http://www.leparisien.fr/politique/l-homme-accuse-de-polygamie-se-montre-peu-loquace-25-04-2010-898859.php
Pourquoi Sarkozy lance la guerre de la burqa
L'interdiction totale de la burqa est devenue un marqueur du sarkozysme. Le gouvernement veut conjurer l'extrême droite en répondant aux peurs identitaires de Français.
C'est un tract venu d’Italie, que Brice Hortefeux regarde quand il se demande comment aider son ami Président à retrouver l’opinion. On y voit une caricature, une file d’attente devant une caisse de retraite, où une Gitane, un Chinois, un mollah barbu et un Africain écartent un retraité italien. C’est la propagande de la Ligue du Nord, partenaire de la coalition gouvernementale de Silvio Berlusconi. "On dirait du Le Pen, c’est comme ça qu’ils se maintiennent aux élections", dit Hortefeux, fasciné et atterré par le slogan “léguiste”: "Nous avons arrêté l’invasion"… "Vous imaginez ça chez nous, de la part d’un parti de gouvernement?"
Une tentation? Non, une inquiétude. Mais profonde. Parfois, Hortefeux se demande s’il ne ment pas au peuple en cachant l’origine des casseurs ou des agresseurs de policiers. Etre en décalage avec les peurs des gens, qui montent partout en Europe ? Cela explique aussi le débat sur la burqa et ce qui l’entoure. Quand le ministre le plus proche de Nicolas Sarkozy pointe un musulman intégriste nantais aux quatre femmes intégralement voilées, désormais menacé de perdre sa nationalité française, il ne justifie pas seulement la future loi anti-burqa. Il montre que la tolérance est révolue. C’est une antienne à droite : la République est de retour pour défendre ses valeurs, qu’on se le dise! "Face aux congrégations catholiques, la République avait aussi été ferme en 1905", souligne Gérard Larcher, président du Sénat.
La suite: http://www.lejdd.fr/Societe/Actualite/Pourquoi-Sarkozy-lance-la-guerre-de-la-burqa-188592/
Tribune
Justice | 24 Avril 2010
Bernard-Henri Lévy: "Je suis atterré"
Le philosophe s'insurge contre la décision de la justice américaine qui a rejeté jeudi la demande de jugement par contumace formulée par le cinéaste. "Je suis atterré par la double décision qui vient d’être rendue publique. Je suis atterré par la brutalité de ces juges californiens qui n’ont pas voulu entendre la supplique de Samantha Geimer les adjurant de tourner la page et d’abandonner les poursuites. Je suis atterré par la sottise d’une justice qui semble n’être là, comme l’a d’ailleurs dit l’avocat de Samantha Geimer lui-même, que pour servir les intérêts politiques d’un juge californien en campagne électorale. Je suis effondré de voir que la requête de Roman Polanski demandant à être jugé, oui, mais par contumace, n’ait pas été entendue non plus...
La suite http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Actualite/Bernard-Henri-Levy-Je-suis-atterre-188402/
LeMonde.fr avec AFP | 25.04.10 | 16h30 • Mis à jour le 25.04.10 | 16h36
Publié le 27/04/2010 08:22 - Modifié le 27/04/2010 à 11:08 | Recueilli par D. D.
Lies Hebbadj ironise : "pas des épouses... des maîtresses"
Burqa et polygamie. Humour ? Cynisme ? Provocation ? Lies Hebbadj, compagnon de la jeune femme verbalisée pour conduire avec un niqab a formulé une réponse en forme de pied de nez aux journalistes qui sont venus l'interroger hier sur sa supposée polygamie. Il a tout bonnement affirmé qu'il avait… « des maîtresses ». « À ce que je sache, les maîtresses ne sont pas interdites en France, ni par l'islam. Peut-être par le christianisme, mais pas en France », a dit ce « commerçant discret » de Nantes, qui depuis quelques jours se trouve au cœur d'une tempête médiatique, entre voile intégral et polygamie, ce dont l'accuse Brice Hortefeux. « On n'est pas attaqués judiciairement, on n'a rien à se reprocher », a assuré Lies Hebbadj : « Si on est déchu de sa nationalité pour avoir des maîtresses, il y a beaucoup de Français qui seraient déchus de la nationalité », a-t-il ironisé.
La suite: http://www.ladepeche.fr/article/2010/04/27/824519-Lies-Hebbadj-ironise-pas-des-epouses-des-maitresses.html
ANTITERRORISME
Coup de filet dans les milieux islamistes
Le Parisien | 27.04.2010, 10h37 | Mise à jour : 12h13, extrait
Cinq islamistes présumés, se livrant à l'apologie du djihad via des sites internet radicaux, ont été interpellés tôt mardi matin, à Marseille (Bouches-du-Rhône), Vannes (Morbihan), Saint-Denis et Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), et Quincy-sous-Sénart (Essonne). Les cinq hommes, tous nés en France, âgés de 25 à 30 ans, ont été interpellés dès 6H00 mardi par la sous-direction antiterroriste (Sdat, de la direction centrale de la police judiciaire), qui agissait dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte par le parquet antiterroriste de Paris. Ils sont soupçonnés d'avoir participé à de nombreux échanges, sur des sites internet, dans le cadre de «forums radicaux», selon les mêmes sources, en faisant l'apologie du djihad auquel ils appelaient également à participer.
Hebbadj accusé de violences
AFP, 28/04/2010 | Mise à jour : 00:03, extrait
Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a assuré aujourd'hui que l'affaire Lies Hebbadj, conjoint de la femme verbalisée pour conduite en niqab, irait "jusqu'à son terme" et fait savoir que le père de cette dernière avait contacté la gendarmerie pour des violences présumées sur sa fille. Une information que la gendarmerie a confirmé à l'agence Reuters, qui précise également que l'homme est accusé par son beau-père d'enfermer ses petits-enfants.
Shalit: manifestation en Israël
AFP, 27/04/2010 | Mise à jour : 20:12
AFP, 28/04/2010 | Mise à jour : 20:58, extrait
Lies Hebbadj, concubin de la femme qui conteste un PV pour avoir porté un niqab au volant, va porter plainte pour diffamation contre les informations contenues sur le blog d'une ancienne compagne, Nina Gomez, a indiqué ce soir son avocat, Me Franck Boëzec.
Seine-et-Marne
MEAUX
Une association musulmane poursuit Liès Hebbadj
Le Parisien | 29.04.2010, 07h00, extraits
L’affaire du conjoint de la conductrice voilée de Nantes rebondit en Seine-et-Marne : l’Association des musulmans de Meaux et de sa région le poursuit en diffamation. [...] Devant l’ordinateur où elle guette avec attention l’évolution de cette affaire, Rachida Benamed ne décolère pas. « C’est un homme dangereux. Il profite de sa soudaine notoriété pour véhiculer une image catastrophique de l’islam. Si la justice ne condamne pas cet homme, ce sont tous les barbus de France qui auront gagné », déplore la musulmane qui soutient le projet de loi contre le port du voile intégral et milite activement pour la réglementation du statut des mosquées.
De source http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/une-association-musulmane-poursuit-lies-hebbadj-29-04-2010-903599.php
France Soir, 29/04/10 à 06h50, extrait
Violent, adepte d’une branche radicale de l’islam, polygame, fraudeur aux aides sociales, autant d’épithètes attribuées dans les médias à Lies Hebbadj, mais pour le moment au conditionnel, tant que l’enquête ouverte mardi par le parquet de Nantes n’est pas close, comme nous l’a rappelé mercredi Me Boëzec, son avocat. « Je souhaite que les droits de mon client, comme celui de la présomption d’innocence, soient respectés. Pour le moment, aucune charge ne tient dans ce dossier. On ne peut pas le déchoir de sa nationalité française parce que le père de sa femme ne voit pas assez ses petits-enfants. Quant aux accusations portées par une ex-épouse sur un blog Internet, elles sont le fruit d’une rupture douloureuse et mal vécue. »
Dans une tribune publiée mercredi dans le journal Le Monde, le ministre Brice Hortefeux s’est dit « prêt à aller jusqu’au bout » : « Je ne céderai pas aux tenants du politiquement correct qui, toujours, préfèrent ne rien dire, ne rien faire, ne rien penser, pour ne prendre aucun risque. »
De source http://www.francesoir.fr/faits-divers/l-epouse-d-hebbadj-aurait-ete-battue
AFP, 06/05/2010 | Mise à jour : 16:28, extrait
La ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie veut soumettre au parlement un "ajout législatif" permettant de punir les outrages au drapeau ou à l'hymne national commis dans le cadre de l'expression artistique, a déclare aujourd'hui au Sénat Eric Besson ministre de l'immigration et de l'identité nationale.