« Une annonce destinée à « terroriser » ? | Un bilan ? » |
La trouille
Je pense avoir vu juste, dans mon secteur, la magistrature a la trouille, depuis plusieurs années. Je l'avais bien lu dans les attitudes, les propos et le regard du juge Anne Valentini, plus particulièrement au cours de l'audience de juillet 2005. Peu après celle-ci, le juge pour enfant de Nanterre a fait « disparaitre » Justine ainsi qu'un certain nombre d'éléments qui pouvait éventuellement me permettre de me retourner un jour contre les travailleurs sociaux de l'OSE France, le corbeau de l'histoire, jamais inquiété, ainsi que sa soeur, le pasteur d'Uhrwiller, qui a depuis « la garde » de Justine. « Faites appel, usez des voies de recours usuelles », pfff, n'importe quoi.
« J'comprends rien », affirmeront la plupart. Je n'ai plus grand chose à ajouter pour le moment. A mon avis, aujourd'hui, ce serait plutôt à d'autres de s'exprimer et d'avancer quelques explications, des accusations voire des propos diffamatoires auxquels je répondrais très volontiers, en public. Je sors acheter un exemplaire du Parisien.
Faits divers, le mag, juin 2008, du reportage : « En 2003, Bruno est soupçonné par les services sociaux de maltraitance envers sa fille. Mais Bruno a-t-il vraiment maltraité Justine ? Pour le savoir, nous avons posé la question aux services sociaux et à la famille d'accueil de la jeune fille. Ils ont refusé de nous répondre. Le tribunal pour enfant saisit du dossier a refusé lui aussi de nous répondre. Personne ne nous a permis d'approcher Justine qui a aujourd'hui 15 ans. »
PARIS (AFP), extrait - "Je déjeune et je dîne avec qui je veux. Je ne suis pas obligé de ne rencontrer que des magistrats", s'explique le magistrat dans une interview publiée samedi dans Le Parisien. Au cours d'une conversation téléphonique avec l'AFP, samedi matin, il reconnaît s'être expliqué par téléphone avec son supérieur hiérarchique Jean-Amédée Lathoud, mais dément "avoir été interrogé ou convoqué", comme l'écrit le Parisien. M. Lathoud a d'ailleurs tenu à préciser lui-même à l'AFP avoir "demandé des explications verbales par téléphone, confirmées par écrit", à M. Courroye, "dans le cadre de relations hiérarchiques quotidiennes, et non d'une procédure". "Je ne l'ai jamais interrogé ni convoqué", a-t-il ajouté.
« Avis aux bavards »,
une affiche de la période coloniale