« La Cour : « les résultats d'une psychothérapie se font attendre » | Ohé, du château ! » |
Délibéré dans deux jours
Je me demande encore pour quelles raisons la cour d'appel aura cette fois-ci mis autant de temps à préparer puis à rendre son délibéré : plus de deux mois. Probablement du fait de l'encombrement des rôles ou de vacances.
J'ai eu de très grandes difficultés pour avoir d'abord une audience chez le juge pour enfant de Nanterre puis ensuite, une audience à la cour d'appel où j'ai exigé que Justine puisse être entendue en personne.
J'avais préparé des conclusions pour janvier dernier... puis de nouvelles, pour février ; il y a eu renvois. Arrivé début mars, j'ai déposé les conclusions de février que je n'ai pas reprises ; j'ai simplement ajouté la mention suivante, ce qui change un peu de l'usuel « plaise à la Cour ». A présent, suspens, puis bientôt, la surprise.
Des conclusions déposées le 13 mars
Des journalistes au procès de Suu Kyi
AFP, 20/05/2009 | Mise à jour : 07:16, extrait
La junte birmane, qui exerce généralement un contrôle très strict sur les médias, va autoriser quelques journalistes représentant des organes d'information étrangers et locaux à couvrir le procès de l'opposante Aung San Suu Kyi, selon un responsable du régime.
Cette annonce a été faite après deux jours d'audiences au procès de Mme Suu Kyi qui se déroulait jusqu'ici à huis clos dans une prison au nord de Rangoun.
Ce procès a suscité une vive indignation internationale et ce serait la première fois que le régime du généralissime Than Shwe permet à des médias de couvrir des audiences liées à un militant politique de premier plan.
«Dix journalistes iront cet après-midi collecter des informations liées au procès» de Mme Suu Kyi, a déclaré à l'AFP un responsable birman avant la troisième journée d'audience. Il n'a pas précisé les raisons ayant motivé cet assouplissement de la censure.