« Un rabbin a-t-il étouffé une affaire d'agression sexuelle ? | Je vais perturber des cultes, dans Paris, je vais insister » |
Faire des choix ?
Mercredi, après la messe de Saint-Cyr-l'Ecole, j'ai téléphoné à l'Elysée, un interlocuteur m'a suggéré d'y écrire encore... Mais j'en ai assez d'écrire et d'écrire encore ! A quoi ça sert ? Il fallait donc écrire. Me parviendra-t-il une réponse suffisamment sérieuse qui me permettrait de réagir avec plus de rigueur, à mon tour ? Dans ce que j'ai envoyé à l'Elysée, je remarque maintenant des coquilles ou approximations, j'aurais pu être plus attentif. Mais ce n'est pas grave. Je n'étais pas à la messe, ce « mardi 8 », mais ce mardi 19 au soir, ce que la police nationale pourra rectifier. On m'a déjà expliqué que ces agissements et correspondances, ça fait chier, ça fait beaucoup travailler et rapporter. Mais c'est là l'intérêt de travailler avec la police ; on sort dans Paris, elle débarque, et on lui dit merci pour le rapport
Bonjour,
Cet après midi, j'ai téléphoné à vos services pour les informer, je pensais qu'un simple appel pouvait suffire. Mais tout en louvoyant, me renvoyant vers des avocats et des tribunaux, réputés démunis et défaillants en France, vos services de l'Elysée m'ont demandé de vous écrire.
Par le passé, sous Monsieur Jacques Chirac, puis sous Monsieur Nicolas Sarkozy, j'avais plusieurs fois sollicité la Présidence de la République, par écrit. Vers la fin 2006, j'avais également sollicité Madame Ségolène Royal, présidentiable; le parti socialiste pourrait encore avoir ce dossier et la réponse qui m'avait été faite par Madame Royal, en personne. Car j'avais eu des réponses au cours des années passées, de la part de l'Elysée aussi; ces précédentes Présidences avaient des dossiers me concernant, ou plutôt, concernant mes affaires, en ce qui serait justice.
Au cours des presque dix années passées, je me suis longtemps et souvent plaint de dysfonctionnements, du travail de professionnels, particulièrement du travail accompli par des professionnels de la protection de l'enfance, avec le juge pour enfant de Nanterre et l'approbation de la cour d'appel de Versailles. Dans ce cadre, je suis allé jusqu'à trois fois en cassation, démarches et résultats qui ont été ignorés par Nanterre comme par Versailles... je reste ici bref.
Je me plains donc encore de ces dysfonctionnements et d'anomalies, même si ces affaires sont aujourd'hui baclées (l'essentiel des décisions est depuis quelques temps définitif, ou ne sont plus susceptibles d'aucun recours). J'ai eu des avocats, plusieurs, souvent de bons, et j'ai donc usé et épuisé l'essentiel des voies de recours, des voies illusoires lorsque les décisions contestées sont assorties de l'exécution provisoire (des voies illusoires aussi lorsque la justice égare ou déchire ses papiers!).
J'entends aujourd'hui médiatiser encore ce qui s'est passé au cours de ces années et alors que des médias m'avaient déjà ponctuellement suivis, début 2008 (notamment des caméras pour France 2 et Faits divers le mag, du 7 juin 2008, après la parution d'un double page dans le magazine Maxi, au printemps 2008).
Dans ce nouveau contexte, agité récemment par une manifestation sur des grues de Nantes, et car la presse ne semble s'intéresser à rien s'il n'y a pas de coup d'éclat ni aucun téton racoleur, j'ai décidé que j'allais interrompre des cultes pour attirer l'attention de journalistes. Je le publiais ce dimanche soir, alors que je n'avais pas pu entrer en relation avec la presse par des moyens plus banals:
http://justice... /18/je-vais-perturber-des-cultes-dans-paris-je-vais-insister
Car ce dimanche 17 au soir, alors que des pères manifestaient à Nantes, après avoir tenté d'avertir la presse de mon passage, je m'étais rendu dans Paris, avec une simple banderole. Je l'avais suspendue face à l'hotel de ville de Paris, pendant près d'une heure. Aucun journaliste n'avait réagit. C'est suite à cela que j'ai décidé de perturber des cultes (des cultes religieux ou des offices de juges, dans des prétoires, tel qu'aux assises, ou encore des cérémonies de commémorations, etc...).
Ce mardi 8 au soir, par concours de circonstances, suite à des échanges sur Twitter, je perturbais déjà la messe de 19h00, à Saint-Cyr-L'école. L'office y était alors rendu par l'Abbé Grosjean, figure médiatique de l'église catholique. La police a bien sûr été contactée et s'était alors rendue sur place, je pense qu'elle a du réaliser un rapport:
http://justice.cloppy.net/... /2013/02/19/parfaite-ma-nouvelle-banderole
Vous n'avez certainement plus accès aux dossiers des précédentes Présidences. Ce mail et les deux liens ci-inclus vous permettront donc d'en constituer un nouveau, après avoir pris connaissance de ce que je vous communique.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président de la République, en l'assurance de mes plus cordiales salutations.
Bruno Kant
Confirmation
Nous vous remercions et vous confirmons la prise en compte de votre message.
7 commentaires
Oui, j'aurai pu enfariner Hollande #tweetprécédent Mais on m'aurait traité de débile :-) #grues #Nantes #Chartres dailymotion.com/video/xo96rl_h…
— Bruno Kant (@bkant) 21 février 2013
Chartres : l'homme retranché descend
Publié le 21/02/2013 à 17:13
Un homme s'est retranché pendant près de deux heures cet après-midi en haut du portail nord de la cathédrale de Chartres pour dénoncer, comme à Nantes la semaine dernière, un problème de garde d'enfant, avant de se laisser arrêter, a-t-on appris de source policière.
En début d'après-midi, l'individu, âgé d'une quarantaine d'années, avait déplié une banderole à une trentaine de mètres de haut, où était inscrit "Papa en colère", le reste du texte étant peu visible du sol, selon des témoins sur place, contactés par l'AFP.
Près de deux heures après le début de son action, l'homme s'est laissé approcher, puis arrêter après avoir parlementé avec des pompiers et des policiers, selon cette même source. Il aurait indiqué aux forces de l'ordre ne pas avoir vu son fils depuis 5 ans.
Le quartier de la cathédrale a été bouclé, tandis que le directeur de cabinet du préfet d'Eure-et-Loir s'est rendu sur place.
Un autre père en colère s'était attiré une importante attention médiatique en se retranchant pendant plus de trois jours en haut d'une grue de Nantes, de vendredi à lundi.Un autre est monté hier sur un aqueduc à Montpellier pour les mêmes raisons.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/21/97001-20130221FILWWW00655-chartres-l-homme-retranche-descend.php
Il faut que je trouve la vidéo de Hollande, du jour, j'ai l'impression qu'il a parlé d'indifférence, je dois vérifier justice.cloppy.net/index.php/just…
— Bruno Kant (@bkant) 22 février 2013
Ah, trouvé, quand même. Hollande à la Sorbonne, le discours, les photos, les vidéos elysee.fr/chronologie/#e… Rien dans les journaux?
— Bruno Kant (@bkant) 23 février 2013
"Je tenais à ouvrir ce colloque sur une question qui peut paraîtrelointaine, au moment où nous avons à faire nos propres choix..." :-)
— Bruno Kant (@bkant) 23 février 2013
Je suis curieux de lire la réponse de l'Elysée. S'il m'en parvient une. Sous Sarkozy, l'Elysée avait cessé de me répondre.
— Bruno Kant (@bkant) 23 février 2013
Staline: rôle jugé "positif" par les Russes
AFP Mis à jour le 05/03/2013 à 10:58 | publié le 05/03/2013 à 10:50
Staline a joué un rôle «positif», estiment près de la moitié des Russes, un tiers étant d'un avis contraire, selon un sondage du centre Levada dont les résultats ont été publiés aujourd'hui par le quotidien Vedomosti, à l'occasion du 60e anniversaire de la mort du dictateur.
Staline a joué un rôle «incontestablement positif», ont dit 9% des personnes interrogées, 40% considérant qu'il a été «plutôt positif». Le pourcentage de ceux qui ont un avis critique sur Staline est largement inférieur : pour 10% des Russes, son rôle a été «incontestablement négatif» et pour 22% «plutôt négatif». «Soixante ans se sont écoulés, mais il faut reconnaître que cette époque reste une déchirure dans notre conscience et notre subconscient», écrit le quotidien gouvernemental Rossiïskaïa Gazeta.
L'attitude des Russes envers Staline demeure ambivalente, entre la condamnation de la terreur et des répressions et son rôle dans la victoire à la fin de la 2e guerre mondiale. Le règne de Staline a été marqué par un régime de terreur et d'arbitraire, la mort de millions de personnes, fusillées ou exterminées dans les camps de travail et la déportation de peuples entiers (Tchétchènes, Ingouches, Tatars de Crimée, etc.).
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/05/97001-20130305FILWWW00334-staline-role-positif-pour-50-des-russes.php