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La recherche, le travail et le cloaque dirigé par Richard Josefsberg
Ce sera le thème d'un prochain billet, plus fouillé et développé que celui-ci. Monsieur Richard Josefsberg se prévaut de trente ans d'expérience et de la réputation historique de l'Oeuvre de Secours aux Enfants (l'OSE France), à d'autres. En 2006, il s'est lamenté auprès de la cour d'appel de Versailles à cause de mes écrits sur Internet à son sujet et décrivant son travail, l'ambiance dans son établissement, ce qui n'avait alors strictement aucun rapport avec la chose jugée ; je lui ai coupé la parole sur le champ et je lui ai très vivement suggéré de porter plainte au motif de diffamation, ce qu'il n'a jamais fait.
En 2007, Justine confirmait encore que « ça se passait pas bien » dans son établissement de Taverny, le château de Vaucelles, dans le Val d'Oise. Dès 2004 pour les uns, 2005 pour les autres, les magistrats de Nanterre et de Versailles en étaient informés, ils ont fermé les yeux.
Dans cette correspondance truffée de calomnies il est possible de constater que Monsieur Richard Josefsberg n'a que faire de l'autorité parentale ni de la santé de l'enfant non plus, la médecine lui sert à la rigueur à se justifier et à se couvrir auprès de sa hiérarchie, cette correspondance me suffirait certainement à prouver qu'il y a eu séquestration puis rapt de mineur, une volonté ferme de rompre la relation parent-enfant :
Il faut toute fois noter que toutes les situations de séparation ne sont pas équivalentes et que certaines sont plus "agitatrices" que d'autres [...]. • Richard Josefsberg, Internat et Séparations, décliné en trois éditions au moins
Adolescents (14 - 21 ans) de la protection judiciaire de la jeunesse et leur santé • Enquête PJJ, 1998, Inserm, unité 472
Bourreaux et victimes, La psychologie de la torture, Françoise Sironi, 1999
Censée agir « dans l’intérêt des enfants », l’action éducative judiciaire peut parfois contribuer à aggraver leurs difficultés. Notamment parce que les acteurs institutionnels restent aveugles aux conséquences de leur action sur la dynamique des liens familiaux. (...) Et si le juge, lors des audiences, donne la parole aux enfants, il est fort rare que celle-ci soit prise en considération lorsqu’elle s’oppose aux avis des enquêteurs sociaux et responsables de l’Aide sociale à l’enfance (ASE). • Michel Giraud, Le placement d’enfants, un remède pire que le mal ?, Sciences Humaines N°181, avril 2007
Ces enfants devaient rester dans nos maisons - les centres de l’U.G.I.F. - sous le contrôle théorique de la police judiciaire et des autorités allemandes, contrôle qui pratiquement ne fut jamais exercé et qui permit ainsi à l’U.G.I.F. d’en disperser un très grand nombre. • Les enfants cachés pendant la seconde guerre mondiale aux sources d'une histoire clandestine, La Maison de Sèvres
Un membre de L'Arche de Zoé : « Je ne me pose pas la question de la légitimité » • LEMONDE.FR | 02.11.07
Le plagiat Kutzner-c-Allemagne, par Nanterre et Versailles
En 2006, j'ai fait pâlir les magistrats de la cour d'appel de Versailles, j'avais approfondi le dossier de Justine et cité Kutzner contre Allemagne ainsi que toute la jurisprudence revue par un docteur en droit, mais en vain.
Depuis, j'ai appris que le juge pour enfant ne serait pas tenu de rechercher lui-même la preuve des prétentions des parties, il statuerait au vu de ce qu'on lui présente. Il m'est surtout apparu que ce juge n'a que faire ni de l'objectivité et encore moins de la neutralité de l'enquête ni de la pertinence des élements qui lui sont communiqués. J'en ai essentiellement retenu que le juge pour enfant préjuge, n'entend et ne reçoit que ce qui abonde en son sens, puis il statue, s'il ne l'a pas déjà fait la veille de l'audience.
Des extraits d'un arrêt rendu en 2006 par la cour d'appel de Versailles qui font apparaitre que le dossier d'assistance prétendue éducative de Justine a été « construit » par ses deux tantes maternelles or elles résident à 400 et 600km de chez nous et ne connaissent même pas notre famille :
Je pense que l'issue des procédures qui concernent Justine aurait été bien différente si le juge pour enfant de Nanterre et la cour d'appel de Versailles s'en étaient remis à des enquêteurs de la région parisienne plutôt qu'aux deux tantes maternelles de Justine. Les magistrats prétendront qu'ils ont bien missionné les travailleurs sociaux de l'OSE France, principalement Monsieur et Madame Richard Josefsberg, mais ceux-ci se sont surtout attachés à travailler avec les tantes maternelles de Justine, à maquiller la réalité et à rompre la relation parent-enfant, ce sans même avoir eu la mission de le faire. Quoi qu'il en soit, les travailleurs sociaux et les magistrats de notre secteur, les Hauts de Seine, seraient bien en peine s'ils devaient prouver qu'il y a bien eu enquête sociale en région parisienne : ces acteurs et services n'en ont pas faite.
(Requête no 46544/99)
ARRÊT
STRASBOURG
26 février 2002
DÉFINITIF
10/07/2002
(...) (13). L’arrêt mentionne que les relations entre une assitante sociale et les requérants devinrent très vites conflictuelles, ce qui, d'après ces derniers, conduisit à l'établissement d'un rapport très négatif sur eux. En effet, (14), l’assistante sociale fit un rapport à l'office de la jeunesse dans lequel elle mit l'accent sur les déficiences intellectuelles des requérants, les rapports conflictuels entre les membres de la famille. (15). A la suite de ce rapport, le 13 septembre 1996, l'office de la jeunesse demanda au tribunal des tutelles de retirer aux requérants l'autorité parentale sur leurs deux enfants. (18). Entre février et juillet 1997, les deux filles furent placées dans le service d'une association privée. (20). Le 27 mai 1997, le tribunal des tutelles retira aux intéressés l'autorité parentale sur leurs deux filles.
(...) (82). Partant, il y a eu violation de l'article 8 de la Convention.
Pour plus de détails relatifs à l'affaire et à l'arrêt Kutzner contre Allemagne, se référer au Journal du Droit des Jeunes de mars 2004, P. 19 à 25, l'article « Le placement d'enfants et le droit au respect de la vie familiale » de Catherine Laurent ou à la Revue Droit en Quart Monde, n° 37-38, janvier 2004, P. 3 à 21, même article.
Une justice corrompue, sous influence, est-ce possible ?
« L’égalité de traitement devant la loi est l’un des fondements des sociétés démocratiques. Quand les tribunaux sont corrompus [par la cupidité ou l’ingérence politique], la balance de la Justice est faussée et les simples citoyens en paient le prix ! », s’exclame Huguette Labelle, la Présidente de Transparency International. « Un système judiciaire corrompu ignore la voix de l’innocent et permet au coupable d’agir en toute impunité ».
Londres/Nairobi le 24 mai 2007,
communiqué de presse de Transparency International
Une justice corrompue, sous influence, est-ce possible ? Des avoués ne veulent pas y croire et tournent les talons lorsque j'aborde les détails de mes dossiers. Des avocats et des magistrats ne souhaitent pas non plus entendre ma version des faits au prétexte que je ne suis pas neutre. Ma version semble surtout les mettre en porte à faux avec le juge pour enfant de Nanterre. Un certain nombre d'éléments matériels dont je dispose sont pour le moins troublants, plusieurs personnes m'ont encouragé à les exposer.
Début novembre 2005, de manière tout à fait inattendue et d'une violence rare, le juge pour enfant de Nanterre a bouclé le dossier de Justine, suspendant d'une manière durable tous mes droits sur elle et la « donnant » à ses tantes maternelles. De l'avis de mon avocat, le juge pour enfant de Nanterre et les travailleurs sociaux de l'OSE France ont eu très peur entre juillet et novembre 2005. Justine a comme disparue en novembre 2005, une manière de la faire taire ; depuis, toutes possibilités de communications nous sont en effet interdites. A l'évidence, Justine parlait trop au gout des travailleurs sociaux de l'OSE France et du juge pour enfant de Nanterre, Justine me communiquait aussi de nombreuses choses tel que, par exemple, son carnet de correspondance du collège. Depuis 2005 je n'ai plus la moindre nouvelle de Justine, pas même un bulletin scolaire ni aucune carte postale, rien.
Je me demande encore qui sont les plus coupables des travailleurs sociaux de l'OSE France, qui ont versé des éléments faux et calomnieux au dossier de Justine, ou du juge pour enfant de Nanterre, qui a accepté ces éléments mensongers tout en balayant les miens pour que ses jugements paraissent motivés. L'ordonnance rendue le 9 novembre 2005 par le juge pour enfant de Nanterre est à ces sujets très éclairante, dans ses motivations on peut lire que « compte tenu de l'insécurisation dans laquelle Justine était plongée du fait de l'attitude alternative de `'délaissement" puis d'`'investissement" manifesté à l'égard de sa fille ; (...) que, pour contester le principe de la décision qui confierait Justine à ses oncles et tante en qualité de tiers dignes de confiance, principale famille restant à la mineure du côté de sa mère décédée, M. KANT se borne à faire valoir sans l'établir qu'une telle décision serait infondée ». Des mois plus tard, la cour d’appel de Versailles notait pour sa part que « je conteste avoir `’délaissé’’ Justine, alors que toutes les photographies, comme les lettres de Justine, que je communiquais, démontrent qu’elle trouvait au sein de notre foyer, notamment dans sa relation avec sa petite sœur, la sérénité suffisante à son épanouissement. »
Je trouve que ces gens ont pris beaucoup de risques pour « protéger » un enfant. Quoi qu'il en soit, je vais continuer à me plaindre du rapt de ma fille aînée Justine par ses tantes maternelles avec la complicité des travailleurs sociaux de l'OSE France et très probablement celle du juge pour enfant de Nanterre aussi. Le juge pour enfant de Nanterre, déloyal, quérulent ? C'est envisageable, en 2003 le juge pour enfant de Nanterre a d'ailleurs même porté plainte contre moi pour « délaissement de mineur », ce que le parquet n'a pu que classer sans suite après une enquête qui a été menée par la brigade des mineurs.
Reportage : une décision de justice incompréhensible
L'histoire et l'affaire qui concerne ma fille aînée Justine sont présentées étrangement dans Maxi de cette semaine. On croirait pour partie de l'introduction lire des éléments du dossier Macha Zakharova. Plus loin, l'article sert aussi de tribune pour les travailleurs sociaux de l'OSE France (Oeuvre de Secours aux Enfants).
J'ai le sentiment que la journaliste s'est adressée au tribunal pour enfant de Nanterre et qu'un juge s'est mélangé les pinceaux entre ses dossiers. Ce ne serait pas la première fois, en juillet 2005 le juge pour enfant a ouvert l'audience en parlant de Sébastien au lieu de Justine.
L'article est cependant très intéressant, par sa lecture il est en effet possible de percevoir de quelle manière et pour quels motifs - ici, fantaisistes - des enfants perdent parfois tout contact avec leurs parents et proches pourtant respectables. Justine est déjà orpheline de mère, elle l'a perdue de façon brutale et dramatique, elle est aussi privée de son papa, de sa petite soeur, de sa belle-mère et de ses amis, de tout ce qui fût sa vie à mes côtés, en région parisienne. Quelques éclaircissements pourraient rendre ces décisions de « justice » compréhensibles, je veillerais à en apporter par la suite.
Un encart présente brièvement l'association Fil d'Ariane de Madame Catherine Gadot. Cette association peut soutenir et conseiller des familles confrontées au placement d'enfants.
Je poursuis toujours mon travail avec Madame Mireille Millet, elle devrait bientôt publier de nouveaux éléments dans son propre blog. Elle même insiste et tient également à ce que la vérité se sache.
J'envisage d'aller manifester ce 6 mars, dans Paris, aux côtés des avoués et du personnel de justice concernés par les réformes que suggère le rapport Attali. J'emporterais ma grande banderole « justice corrompue ».
Maxi n° 1114, du 3 au 9 mars 2008
Au 19-20 de France 3 région Lorraine du 30 mai 2007, à propos d'une toute autre affaire, celle de Sébastien, mais qui concerne donc également des magistrats de Nanterre et de la cour d'appel de Versailles : « dans ce dossier, il apparait tout de même important de souligner quelques dysfonctionnements entre les différents services de la justice et qu'il est évident que, à un moment, ou à un autre, il faudra bien que tout le monde s'explique » :
Au juge pour enfant de Nanterre
Depuis 2003, jamais aucun des services de la protection de l'enfance n'a travaillé avec ma famille, il n'y a même pas eu enquête sociale. Le juge pour enfant de Nanterre n'a, pour sa part, travaillé qu'à motiver le rapt et le placement de Justine chez ses tantes maternelles. L'une des tantes maternelles de justine est assistante sociale de l'ASE, en Moselle, elles ont eu le bras très long.
Le blog de « mémé Mireille » est en ligne
Le blog de « mémé Mireille » est en ligne, elle se plaint également d'une justice sous influence. Il suivra d'ici quelques temps une actualisation du mien, l'histoire du rapt de ma fille aînée Justine par ses tantes maternelles, Carole, assistante sociale de l'ASE en Moselle et Isabelle, pasteur, en Alsace. En août 2005, Justine échappait à l'empire de ses tantes maternelles, des travailleurs sociaux de l'OSE France (Oeuvre de Secours aux Enfants) et du juge pour enfant de NANTERRE (92). Elle nous écrivait encore combien elle nous aimait. Mais depuis octobre 2005, nous n'avons plus la moindre nouvelle de Justine, elle a comme disparue ; début novembre 2005 le juge pour enfants de NANTERRE (92) confirmait qu'il la « donnait » à ses tantes maternelles. Depuis 2005 je me plains du rapt de Justine ainsi que de corruption judiciaire, ce seraient des accusations très graves, en vain, les autorités françaises feignent ne pas comprendre.
A l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice
Justice ? Vous avez dit justice ? Madame Mireille Millet, cette grand-mère qui a assigné l’Etat pour « faute lourde » car son petit fils a été détruit par la justice a crée son site Internet. Elle relate toute l’histoire et elle publie un certain nombre de courriers, photos et articles de presse. Elle ne mâche pas ses mots, un journaliste du Républicain Lorrain l'avait déjà constaté. « La justice des mineurs a-t-elle les moyens nécessaires et un cadre juridique suffisamment solide pour remplir sa mission de protection de l'enfance ? Nous pensons que non », a souligné l’avocat de Madame Mireille Millet, et elle nous le démontre avec ses preuves et un dossier très lourd, chargé d’émotions, parfois extrêmement vives.
Madame Mireille Millet poursuit son combat et devra prochainement se défendre en correctionnelle. Autant le dire, elle a entrepris de curer les écuries d’Augias.
Justice ? Vous avez dit justice ?
La justice au service des magistrats et non des justiciables
Le blog est à l’adresse suivante : http://vadj.ovh.org
A l’aube de ses 18 ans, Sébastien est détruit. Il est volontairement laissé pour compte par une justice qui protège depuis cinq ans les magistrats ayant pris systématiquement des décisions contraires à son intérêt. Sébastien va très mal mais malgré tous les signalements récents d’enfant en danger, la justice n’intervient plus et attend patiemment sa majorité pour s’en débarrasser. Aujourd’hui, Sébastien est susceptible de passer à la rue et de sombrer dans la délinquance et la toxicomanie. Je sais que je pourrais encore l’aider si on me le confiait maintenant. J’ai donc décidé de créer un blog pour que la vérité se sache.
De plus, pour avoir voulu protéger Sébastien de la justice, de ses fautes délibérées et de ses erreurs tel qu’un rapport oublié, égaré voire détruit, moi, la grand-mère, j'ai fait 5 jours de prison et je suis convoquée en correctionnelle le 1er avril 2008.
Refonte du site
Il est pour moi opportun de revoir ce site puis d'y publier rapidement une synthèse récente de cette histoire : le rapt de ma fille aînée Justine par ses deux tantes maternelles. Je m'en plains depuis juillet 2005 mais les autorités françaises, notamment judiciaires, restent parfaitement indifférentes sinon très franchement autistes. Depuis 2005, je me plains également de corruption judiciaire. Je n'ai probablement pas usé des bonnes voies de recours même si depuis, j'ai été reçu plusieurs fois par le juge pour enfant de Nanterre ainsi que par la cour d'appel de Versailles.
Pour le moment, je travaille assidûment avec Madame Mireille Millet, cette grand-mère qui a assigné l'Etat pour « faute lourde ». Puis dans les prochains jours, il suivra encore une nouvelle mouture de cette page d'accueil.
Je conserve mon blog, l'actualité, des notes et des références, que je remettrais probablement en ligne ultérieurement. Certains pourraient être étonnés ou même outrés parce que je me réfère très souvent à des ères révolues, à des documents historiques et à des études de périodes les plus monstrueuses de l'histoire, même à des images du block des enfants du camp de Buchenwald. Mais la photo tout en bas, très récente, montre bien que certains semblent ne rien avoir retenu de l'histoire, même s'ils se prétendent investis d'une mission particulière de protection ou de mémoire.
Au 20h de TF1, place de la Concorde, 29/11/07
Juillet 2005, un enfant de 15 ans et demi,
30kg seulement