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105e « bébé volé » identifié en Argentine
NDLR : Après tout, des vols d'enfants sont des pratiques tout à fait courantes et acceptables, surtout parmi des critiques, des bavards, des débiles ou des comiques qui n'hésitent pas à manifester très tranquillement leur mécontentement. D'ici quelques temps, des employés de bureau auront droit à une médaille de Papon ou d'Eichmann, s'ils ne l'ont pas déjà, puis nous n'en parlerons plus. D'après Google, le magistrat Olivier Echappé pourrait d'ailleurs déjà être bardé, au nom de l'honneur, de l'ordre et du mérite, amen. Je crois me souvenir qu'en juillet ou septembre 2008, le magistrat de la première présidence était déjà bardé, lui aussi ; en janvier 2010, je finissais par publier « Sieg Versailles ! »... « Mais faites appel, ça s'arrangera »
105e "bébé volé" identifié en Argentine
AFP Mis à jour le 08/08/2011 à 21:29 | publié le 08/08/2011 à 21:29
Des tests ADN ont permis d'établir la véritable identité d'une fille d'opposants disparus sous la dictature argentine (1976-1983), portant à 105 le nombre de "bébés volés" ayant ainsi récupéré leur véritable état-civil. Avec cette femme de 33 ans, "nous avons résolu 105 cas", s'est réjoui la présidente de l'organisation des Grands-mères de la Place de mai, Estela de Carlotto.
Il s'agit de Laura Reinhold Siver, fille de Susana Leonor Siver et de Marcelo Reinhold, tous deux disparus. Elle est née en 1978 alors que sa mère était incarcérée à l'Ecole de mécanique de la marine (Esma), symbole de la torture sous la dictature en Argentine. "Laura a pris l'initiative, après avoir eu des doutes sur son identité, de se rapprocher des Grand-mères de la place de mai et a accepté de se soumettre à des tests ADN", a déclaré Mme Carlotto, précisant qu'en 1982, la grand-mère maternelle de Laura déjà avait alerté l'association sur la disparition du couple et de l'enfant.
Les Grands-mères de la Place de mai estiment à 500 le nombre de bébés d'opposants nés en captivité et enlevés à leurs mères avant d'être adoptés par des dignitaires du régime militaire, qui a fait 30.000 morts ou disparus, selon les organisations de défense des droits de l'homme. L'ancien dictateur Jorge Videla, qui a mené le putsch du 24 mars 1976 contre le gouvernement d'Isabel Martinez de Peron, est actuellement jugé avec d'autres anciens dignitaires de la dictature pour le vol de bébés d'opposants. Il a déjà été condamné à la prison à perpétuité en décembre 2010 pour crimes contre l'humanité. a> a> a>