Une association de Puteaux voulait une certaine publicité

Depuis quelques temps, une association de Puteaux me réclamait de lui faire un peu de publicité. C'est fait. Avec d'autres, elle soutient Yvan Colonna ; elle a pu une fois encore ne pas supporter quelques unes de mes récentes publications, dans mes notes... Son Président m'amuse, ce n'est pas la première fois qu'il initie une campagne mensongère et calomnieuse à mon encontre. Il est au moins aussi futé qu'un très bon médecin polyvalent.

En 2008, me disant que d'autres individus, représentants politiques ou associatifs les avaient soutenus par le passé, j'avais moi aussi essayé d'aider Christel et Emeric LORENTZ, pour leur petit dernier. Ca n'a pas été possible, ils s'étaient ensuite rapidement désolidarisés d'une nouvelle petite équipe constituée de bénévoles et d'une association qui les soutenait. Depuis cette erreur, je suis plus prudent, je n'aide plus n'importe qui. Aujourd'hui, je refais très volontiers de la publicité à leur association, ils apprécieront. Une fois là bas, ne surtout pas faire de quelconques rapprochements avec ce qui se diffuse en ce moment, sur Internet, au sujet d'un diplomate américain ainsi qu'à propos de stratégies aujourd'hui dignes des plus fourbes... Un site à visiter avec une très grande prudence, celui de l'association SEFCA Puteaux 2 :

Là bas, je ne peux pas exercer un droit de réponse. Certaines de leurs publications du 24 m'ont fait rire plus qu'autre chose, comme souvent dans leur blog - voir Un petit pot pourri. Le matin même du 24, sur France Info, j'apprenais qu'un montage vidéo circulait sur Internet. Cette association de Puteaux ferait donc maintenant circuler un document me concernant ? Mais de quelle « affaire Kant » s'agit-il ? Il me parait inutile d'en faire part à la police ou au procureur du coin, ce dernier classe toutes mes plaintes. Je vais laisser d'autres que moi agir, s'ils le souhaitent.

« Puis soudain, la lumière baisse... » peut-on lire dans une dépêche AFP récente. Un peu comme en chambre du conseil, lorsque certaines cours ou juges pour enfants sont saisis ? Variante : soudainement, après un « pardon », devant les micros et les caméras, une voix de l'UMP établi une sorte de diagnostic psychiatrique ? Ségolène Royal pourrait nous en dire deux mots...

La réponse que je fais à certaines de ces personnes tient un un son, parvenu à nos autorités. J'attends maintenant une éventuelle réaction de ces dernières, et non la réaction d'un quelconque organe ou pseudo-prolongement du parti Présidentiel ou de ses plus proches. Je n'ai pas besoin de « publicité », j'ai bien assez de visiteurs ainsi.