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Des requins ?
Dans des prétoires et leurs alentours, j'avais bien repéré des loups et ce qui semblait se profiler derrière eux. Qu'y aurait-il encore, aux alentours ? Des requins, me suggère-t-on ? Un dauphin peut survivre et même s'épanouir parmi eux ?
Jean, l'élu « pré-désigné », nous dit que certains qui le critiquent sont amnésiques. C'est amusant.
Par chez moi, dans le 9-2, d'autres m'intiment depuis des lustres de tout oublier et de tourner la page. Les mêmes ne semblent connaitre qu'une seule et unique forme de « débat démocratique », de nature prétendue éducative, pour créatures inférieures : des attaques de toutes natures, dans le secret de la chambre du conseil.
Ma fille aînée Justine en profiterait beaucoup, depuis plusieurs années déjà, mais elle souffrirait - le plus souvent voire même exclusivement - de mes attitudes ou décisions. Depuis peu, Justine profite également beaucoup de ce que des intellectuels putéolois ont publié sur Internet.
Publié le 15/10/2009 à 11:18 - Modifié le 15/10/2009 à 11:36 Le Point.fr
INTERVIEW AU POINT
La Défense - Jean Sarkozy : "Lorsqu'on s'appelle Sarkozy, les choses sont parfois plus difficiles"
Mise au point. Le futur président de l'Epad s'explique sur la polémique.
Le Point : Népotisme, héritier, dauphin... Que n'entend-on pas à votre sujet depuis l'annonce de votre candidature à la présidence de l'Epad...
Jean Sarkozy : Quand on parle de dauphin, je comprends mieux pourquoi : j'ai vu qu'il y avait un certain nombre de requins autour de moi et que c'était la seule façon de leur résister. Je ne découvre pas le bruit des canons. J'ai été attaqué sur tous les chapitres : mon âge, mon nom, mon activité, y compris sur les éléments les plus intimes de ma vie, comme la religion de ma femme. Ce n'est jamais agréable - et c'est un euphémisme -, mais, en même temps, il n'y a pas d'engagement en politique possible sans attaques. Je comprends certaines interrogations auxquelles je veux apporter une réponse sur le terrain des idées, sur le terrain du projet. Mon ambition est de les convaincre de la pertinence de ma vision pour La Défense. Après, il y a des attaques ad hominem qui sont proférées. Pour moi, le débat démocratique ne doit pas se placer sur ce terrain-là. Laissons parler les actes et qu'on en juge après.
Êtes-vous surpris par l'ampleur de la polémique, qui va au-delà de la gauche et qui dépasse les frontières ?
Est-ce proportionné par rapport à la réalité de ce qui est en jeu ? Non. Est-ce que cela me surprend ? Pas vraiment. Ceux qui critiquent sont un peu amnésiques. De mon élection au conseil général à mon mariage, en passant par mon autre élection à la présidence du groupe, on me fait les mêmes procès. Chaque élément de mon engagement est sujet à la plus grande attention. J'ai compris que, lorsqu'on s'appelle Sarkozy, les choses sont parfois plus difficiles.
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