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Sous peu, une « rencontre »
Aujourd'hui, j'ai pu contacter le greffier du juge pour enfant. Il m'a dit que la « rencontre » du 11 avec Justine est autorisée ; l'ordonnance me parviendra plus tard. Demain, je rappelle l'ARSEA pour convenir des détails.
Certains ont pu être heurtés par l'image du poussin. Je ne l'ai pas expédié sans raisons. Ceux qui rechercheraient des explications ou des précisions en trouveront bien assez dans ce blog, dès la première page.
Tout le monde semble savoir - ou se doute - qu'on peut être confronté à des difficultés conséquentes lorsque la justice est saisie. D'après La Croix, nous devrions encore en avoir la confirmation demain.
Certains se demanderont pourquoi le bichon de Chirac apparait dans ce blog. En 2005, après avoir interpellé la Présidence de la République ainsi que le Défenseur des Enfants, le préfet des Hauts de Seine avait missionné une assistante sociale. Cette assistante sociale avait constaté que chez nous, à Bagneux, hormis le « placement » de Justine, tout était normal. Plus tard, un psychiatre a décrété que j'avais des problèmes de « santé mentale »...
PARIS (AFP), jeudi 8 septembre 2005, 8h36 • Ex-ministres, élus, juges pour enfants, responsables associatifs appellent le chef de l'Etat à s'engager pour améliorer la protection de l'enfance, au nom des 235.000 mineurs en danger - estimation minimale -, et pour prévenir de nouveaux scandales type Outreau ou Angers.
Le Figaro, 9 septembre 2005 • «Le constat est unanime, le temps est maintenant à l'action», promet Philippe Bas, qui prépare «un schéma complet de réforme de la protection de l'enfance».
Le Monde, 9 janvier 2007 • Le projet de loi, Concrètement, que va-t-il changer s'il est adopté ?
NouvelObs n° 2309, 5-11 février 2009 • Un fiasco judiciaire plus tard, que sont ils devenus ?