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Le juge des tutelles confirme, il ne s'est rien passé chez Charles Halter
Ce 8 courant, je me demandais quelle mouche avait piqué ce notaire ; je ne le sais toujours pas, ce notaire et le juge des tutelles pédalent tout seuls. Par contre, le juge des tutelles vient de me confirmer qu'il n'y a toujours pas de progression dans le cadre de la succession du grand-père maternel de ma fille aînée. Depuis 4 ou 5 ans, j'attends que Maître Charles Halter me communique enfin un inventaire conforme à la réalité juridique. Pour sa part, Maître Charles Halter me réclame encore, sans plus, de signer un document inexact voire faux et semble s'en tenir à un inventaire quelconque.
Je n'avais pas pu faire appel de la décision rendue en mars 2007, par le juge des tutelles ; il y avait eu comme un couac, ma demande n'avait pas aboutie. Selon la procédure en vigueur, il me fallait alors un avocat ; j'en avais encore plusieurs, mais toutes ces affaires où on me représentait sont donc parties en vrille. Aujourd'hui et selon ce qui m'a été communiqué, les procédures chez le juge des tutelles ont changées. En effet, selon le document joint à cette ordonnance rendue ce 1er mars, maintenant, il me suffirait d'envoyer un simple RAR pour faire appel de ce qui suit. J'ai 15 jours pour prendre une décision, faire appel ou non. Je pourrai en premier me plaindre de l'absence de débats contradictoires. En septembre dernier, j'avais écrit au juge des tutelles ; j'ai le très net sentiment que cette bafouille a été ignorée.
Je savais que l'Administration m'avait envoyé un RAR, on reconnait bien ce qu'elle produit. J'attendais de passer au guichet de la Poste et de le retirer pour découvrir qui de cette maison qui rend fou m'avait encore écrit. J'aurai pu recevoir une réponse ou décision du juge pour enfant de Nanterre. J'attends aussi une réponse du parquet de Paris.
J'ai encore commandé deux livres : Ghettos urbains de Didier Lapeyronnie et La loi du ghetto, de Luc Bronner, un journaliste du Monde. Maintenant, je pourrais en avoir bien assez dans mes étagères. Mais en avril, paraitra le numéro un de Sociologie, sous la direction de Serge Paugam. Tous ces ouvrages et feuilles ou revues finissent par être très encombrants ; Xavier Serrier me suggérait d'arrêter de lire, de me documenter, d'étudier, de parler et de contester. Un jour, je mettrais peut-être une grande palette en vente, sur Ebay, à un euro, pourvu que l'acheteur vienne me débarrasser.