« « L’enfant de personne », ce lundi à 21h sur France 2 | Autorité de la chose viciée » |
Une lettre ouverte, à Macron, Président, à EDM, Ministre de la justice
Histoire d'introduire un peu ce billet aussi... « pour les nuls », ou simplement pour ceux qui ne se doutaient de rien :
L'assistance éducative : Des pros ou l'ASE « croivent » qu'un enfant est en danger, ils arrivent puis partent avec...
Un rapt de mineur : Des « professionnels » passent, insistent, crient au loup, puis s'obstinent, font disparaitre un enfant.
Pour comprendre ou décoder : Si rien d'ici n'est clair, commencer par lire Le Net c'est du chinois...
Pour ceux qui découvrent : Peut-être commencer ensuite par survoler mes billets d'octobre... #tabou #éthique
« C'est quoi, le CSM ? » C'est à relire ou à découvrir par ici : http://www.conseil-superieur-magistrature.fr
« C'est quoi un parquet général, un avocat, un huissier, l'appel ? » Euh... il est très courant qu'on ne sache pas.
« Tu es brutal, excessif ! » Probable ? Va jouer 15 ans dans les tribunaux du Château #Kafka puis on en reparle ?
« Mais t'es qui, toi ? » Est-ce que c'est important ? Toi, qui me lit et s'interroge ainsi, t'es qui, tu es d'où ?
Une Administration qui s'auto protège et étouffe tout : J'ai vu et ai été accoutumé au concept, aux effets. « Vous aviez fait appel, on a tout confirmé ! » Oui, j'ai bien vu et perçu cela aussi, et je parle d'autorité de choses viciées... Où sont les limites aujourd'hui, en matière d'assistance éducative et d'autoritarisme pour faire « muter » les relations familiales ? Aucune, on est encore au 17e siècle, les juges pondent des lettres de cachet. Mais on pourrait ou « pouvait faire appel ! »
Pour l'avoir lu, je sais que l'Elysée ne répond ni aux « envois injurieux », ni aux « mensonges ». Des injures, ici, ou des mensonges dans ce que j'y envoie encore ? Et pour l'avoir vu, je sais comment la place Vendôme peut traiter ce qu'on leurs envoie... Quoi leurs écrire ou demander qui ne serait pas mal perçu ? Je ne fais plus que informer, c'est un droit.
En octobre, je renvoyais donc une première lettre à l'Elysée. Je crois qu'elle synthétisait bien : un rapt de mineure, par des sauvages - « de l'assistance éducative », selon les autorités. Puis ce mois d'octobre, je publiais à nouveau des billets plus longs, plus fouillés, dont sur « l'appel », des voies de recours... illusoires. J'y ai réécrit, à la place Vendôme aussi :
Une lettre à Monsieur Macron, le Président, le chef de l’Etat, mais aussi le grand maître de l’ordre national de la Légion d’honneur... j’ai toujours un truc dans les tuyaux, chez ces derniers, où j'ai peut-être été assez bien compris.
A cette lettre, à Macron et EDM, j'ai joint des extraits précis de mon blog, du mois d'octobre, quelques passages sur lesquels je souhaite attirer leur attention... S'ils désiraient en savoir plus, il existe mon blog, où tout est public #loi1881 Pour en voir encore plus, ils pourront toujours s'adresser à cet huissier de justice ; un constat du 2 courant, je n'en publie pas les références, c'est interdit car il s'agirait aussi du nom de l'huissier, un officier ministériel. J'y ai joint aussi ma lettre à Macron du 10 octobre, un PDF de 4 pages, le Conseil Supérieur de la Magistrature pourra la lire aussi. J'y ai ajouté également une des réponses que l'Elysée m'avait faite en 2006, une sorte de lettre type, comme j'en avait souvent reçu où que j'écrivais : « on est attentif, mais comprenez qu'au Château #Kafka les pouvoirs sont séparés, on informe cependant mieux les services, le reste ou la suite `'relève[ra] exclusivement de la compétence des magistrats (sic)". »
« Copie au CSM ? » Oui, et alors ? Je connais les règles. Et je m'en fous. J'informe, ils en feront ce qu'ils voudront. « C'est approximatif, excessif, méchant, on n'est pas comme ça ! » Arrive et causons ! En attendant que tu t'y risques, à venir causer, j'affine. Dois-je ajouter que du qu'en dira-t-on et même des chuchotements en coulisses, à Paris comme à Uhrwiller ou à Haguenau, chez les DNA, à Valmont, à Ostwald, l'ARSEA, ou à Taverny, chez l'OSE France, je m'en cogne ?
Pour la boulette via Légifrance, une nuisance, avec un faux en écriture publique, de la diffamation publique, ou en tous cas, des données personnelles et des informations #AltFacts tendance #FakeMed et #opendata accessibles à tous, je vais un jour m'orienter vers la CNIL ; toiletter cela n'est pas pressé ; un détail, dont je me fous aussi. J'apprends que ce serait de la responsabilité de la cour de cassation... « On a probablement mal fait, c'est vrai, mais sans faire exprès. » Selon #loi1881 la culpabilité de qui écrit ou publie sans prudence est présumée. Tandis que lorsqu'il s'agit d’assistance éducative, c'est particulier, c'est de la vie privée des enfants dont il s'agit, et c'est normalement totalement secret, pire que le nucléaire civil, secret pendant 75 ans... je crois que c'est ce que précise l'article L213-2 du Code du patrimoine. Secret pire que celui de la Caisse d'Epargne, insisteront les ours pour enfant et les « professionnels » de l'OSE France. « Dans l'intérêt du mineur ou des fratries dont on s'occupait. » A l'occasion, je vais en discuter avec ma cadette, elle pourrait facilement consulter un rapport de l'OSE de novembre 2005 ? « Nous avons de très grandes inquiétudes à nouveau ! »
« Le pénal, c'est pour les escrocs, les Monique, les Fourniret, et vous n'avez pas le droit de parler d'un rapt ! » Dans son « mémoire en défense » pour la cour de cassation et déposé le 9 septembre 2008, Monsieur Xavier Serrier utilisait lui-même le mot « rapt », le rapt de ma fille ainée, « depuis 2005 ». Je crois que j'avais été très souvent assez clair, partout, sur des années. Et je trouve qu'on ne lit pas grand chose de 2008 dans cet arrêt d'un 1er avril rendu par Versailles :
SCP ANCEL COUTURIER-HELLER pour Monsieur Xavier Serrier
on informe cependant mieux les services,
le reste ou la suite `'relève[ra] exclusivement de la compétence des magistrats (sic)" »
Qu’est-ce que j’avais été naïf par le passé, tout au cours de 2003, imaginant qu’un moment, tout allait pouvoir se décanter, après des discussions sereines avec les gens de l'ASE... puis ceux de l'OSE France. Puis même lorsque mon ainée avait fini « placée » par Nanterre, à Taverny, je restais naïf ; pendant quelques temps, des mois, je croyais que ce lieu et ces « professionnels » allaient être et rester neutres ; mais non ; vers la fin 2004, je finissais désillusionné, désenchanté. « Nous sommes et nous avons toujours été neutres, les juges et toutes leurs décisions vous le confirmeront ! »
Une cour d'appel très curieuse, jusqu'au bout : « ne présente pas de demande précise... se contentant de critiquer ». Monsieur Xavier Serrier n'avait pas compris « sommation » et « juger », Versailles, sa première présidence n'avait pas capté non plus ? Il y avait quoi de pas clair encore, en 2011, pour des juges, dans : « je demande un constat d'échec » ?
Je n’aurais pas râlé si ces gens – péjoratif – dont pas mal de gens dits « de robe » avaient trouvé quelque chose de pertinent à me reprocher, et râlé moins si ces mêmes gens s’étaient occupés un peu mieux de mon ainée, de sa relation père-enfant, des relations de mes deux filles également, c’étaient des demi-soeurs attachées... tout a été brisé. En 2011, je découvrais cet arrêt rendu un 1er avril, par Versailles ; d'abord fâché, je m'étais très vite mis à en rire... merci, Lise !
Ce mois d'octobre, j'ai fait du « bruit », plus que d'habitude, tweeté #juristes #médecine #avocats #Ddass #psychiatrie et j'ai envoyé des lettres, saisi un organe disciplinaire puis la MIVILUDES, publié dans mon blog #tabou Je n'ai aucune idée ou presque de comment c'est perçu. J'attends d'éventuelles réactions de gens ou de sournois ? Depuis trois à quatre semaines, pas de réactions, ou juste des cris, mais lointains... téléphonant, j'ai en tous cas bien perçu quelque chose.
« Faire du bruit, ça nous trouble l'ordre ! » Si j'en faisais aucun, et comme personne n'en fait jamais, « ce serait mieux ! »
Du côté de Strasbourg et de l'école OSCAR, une école que j'ai essayé de prévenir en y téléphonant avant de publier ce billet, si l'on me relit, certains comprendront peut-être un peu mieux pourquoi, en juillet 2018, je publiais ici Des nouvelles de la secte... Après les coups sur mon ainée et les coups bas, mesquins, beaucoup, les choses ou « les relations familiales » avaient « mutées », mais quelque part, ça avait encore bien foiré. En tous cas, ni aujourd'hui ni à l'époque, je n'avais de reproches à faire à Carla, la fille des Clementz. C'était elle-même une gamine, plus jeune d'ailleurs que mon ainée, de trois ans. Je n’ai pas grand-chose comme souvenirs d’elle ; « caillou, caillou, cailloux ! » criait-elle en juillet 1999, en sandales, marchant sur un tapis de gravillons comme sur des oeufs et en levant les bras vers son papa.
Dans l'ombre du disparu • Frères et soeurs d'enfants recherchés, ils ont grandi entre espoir et résignation • « Officiellement, c’était une demi-sœur, mais c’était une vraie sœur quand même. Je n’ai pas eu de demi-peine, de demi-angoisse, de demi-douleur. » • France Info, qui peut dater de trois ans ou davantage, ceci est de 2014 :
Le monde où l'enfant n'est plus paraît hostile, rempli de morsures quotidiennes : les rentrées scolaires, Noël, les anniversaires, les copains qui grandissent, les autres mères avec leurs enfants... L'entourage, souvent, a du mal à trouver les mots, et fait parfois preuve de maladresse : « Je ne sais pas comment tu fais. Moi, je ne pourrais pas... » « Allez, vous êtes jeune, vous ferez un autre bébé. » • Elles ont surmonté la disparition de leur enfant, Marie France
Justine, 14 ans en 2007, disparue en 2005 | Outreau, deux ans après : la Justice a-t-elle changé ? | 25 mai 2008, elle a 15 ans journée des enfants disparus |
Un « rapport » au dossier « d'assistance éducative »... un souvenir parmi beaucoup
« lui apporter un étayage dans ses choix scolaires, personnels... »
Oui, j'ai parfois volé des photos, et alors ? Dont de ce rapport, de l'ARSEA
Voir aussi 567... ça n'en fini plus
Ma cadette a depuis un moment, mais tardivement, fini le deuil de sa soeur ou de cette relation. Vers je ne sais plus quand, il y deux ou trois ans, elle y croyait encore, puis elle a fini de réaliser. J’avais entrepris ce deuil vers la fin 2009. « On a réussi ! » Ma cadette, pas trop bête, l’avait peut-être entrepris déjà vers ses 4 ou 5 ans ? Rentrant de la maternelle, probablement après y avoir discuté avec d’autres enfants, elle avait affirmé : « ma soeur est morte, c’est les morts qui reviennent plus. » Les uns pleurent les morts ou regrettent les « plus là », les autres font le deuil de vivants, « partis »...
On va me dire d'être plus sérieux que cela avec ce genre de sujets ? Plus sérieux qu'une Rachida Dati pour Karl Zéro ?
« On ne peut pas dire 'tous les ans, on a tant de disparition'
parce qu'on les trouve... ou on les retrouve pas. Mais, euh... »
Du 31 mai 2011 au soir, à la CCI de Paris, comme partout, j'y avais un peu discuté,
un autographe sur « Indignez vous ! », un souvenir aussi,
l'association des diplômés de HEC accueillait Stéphane Hessel,
il avait 93 ans, un personnage... un grand bavard, un passionné, intarissable
Une nouvelle maladie mentale : l'opposition
Je continue de lire la presse. Valeurs, un article du 3 courant m'a fait bien rire. Une magistrate aurait été traitée comme à Nanterre, à Villejuif ou en URSS ? Suspendue d'office, poussée dehors ou chez elle, à y réfléchir plus et comme un grand malade perturbateur ? « Elle n’aurait pas dû être renommée à Perpignan compte tenu des crispations et des rancœurs passées, ajoute le CSM. Une semaine plus tard, le ministre signe sa suspension sur le fondement de l’article 69 du statut des magistrats et saisi le comité médical national pour enquêter sur ses capacités mentales, en contradiction avec les éléments médicaux versés au dossier et ceux qui démontrent son aptitude professionnelle. » Je découvre ainsi qu'il existe en France un « bureau national » pour juger des aptitudes et pensées acceptables ou pas... un article instructif : « Une chose est sûre : l’USM a choisi son camp et soutient la procureure adjointe depuis le début de l’affaire. [...] L’administration fait traîner les choses et ne reconnaîtra jamais ses erreurs, elle ira donc jusqu’au bout. »
sur « l'évolution de la société à l'épreuve du numérique »
« lancer une recherche sur Google... un film sur Netflix... » I Care A Lot ?
« #bigdata distractions stimulantes... société d'exposition...
le circuit numérique du plaisir... un self service »
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