« Nicolas Sarkozy, l'improvisation en prime | Aura Hittel : « Je suis en colère contre la France » » |
Lise...
Au cours de ces derniers jours, j'ai encore eu des doutes. J'ai souvent eu des doutes au cours de toutes ces années, parfois aussi des inquiétudes. Mes inquiétudes ont occasionnellement été jugées légitimes, y compris, mais rarement, par le juge pour enfant de Nanterre. Au cours de ces dernières années, j'ai pu lever de nombreux doutes en accumulant des documents, des écrits de toutes natures, qui me permettent depuis longtemps déjà d'étaler quelques certitudes dans ce blog et en public. L'arrêt qui me parvenait, il y a peu, m'a encore permis de lever quelques doutes de plus et, surtout, de m'exprimer d'avantage encore.
Des inquiétudes, au cours de ces dernières années, j'en ai souvent eu pour mon ainée ; « parano », rétorqueront des juges, en premier ! Des inquiétudes et des incertitudes, j'en ai eu énormément lorsque je trainais et répondais au juge pour enfant Xavier SERRIER, en cassation, dans le cadre d'une procédure de prise à partie que j'avais engagée contre lui. Je soufflais enfin, vers la fin décembre 2008, alors que ce juge ainsi que la première présidence de la cour d'appel de Versailles avaient perdu. J'en conserve d'excellents écrits, produits par des professionnels (voir, par exemple, En passant par le portillon du greffe social).
Par le passé, dans des arrêts de la cour d'appel de Versailles, je ne lisais que « Monsieur ECHAPPE ». J'ai souvent pensé qu'il s'agissait d'Olivier ECHAPPE, membre du cercle des constitutionnalistes, spécialiste en droit canon ainsi qu'en populations, minorités, religions ou cultures stygmatisées ; personne ne m'a contredit. Le 4 mars dernier, j'en ai encore eu confirmation, son nom, ECHAPPE, et le rôle de la chambre des créatures inférieures était placardé à son entrée.
Lise... Dans ce dernier arrêt qui me parvenait, de la cour d'appel de Versailles, je ne lisais que « Madame GERAUD-CHARVET ». D'après quelques recherches, sur Internet, cette juge pouvait se prénommer Lise. Ce jour, j'ai téléphoné au greffe de la chambre des mineurs car je souhaitais en avoir la confirmation, lever divers doutes. Le greffe m'a semblé ennuyé par mon appel, agacé même ; j'avais laissé sonner longtemps avant qu'il ne déccroche, j'ai pu le déranger dans son travail... à moins qu'il y ait eu quelques rumeurs, à Versailles, car au cours de ces derniers jours et selon ses statistiques, ce blog a encore une fois été beaucoup lu. Le greffe m'a confirmé que ce juge, Madame GERAUD-CHARVET, se prénomme effectivement Lise. J'ai remercié le greffe pour cette information, puis nous avons mis un terme à cette très brève conversation.
« Lise, quelle importance », me demandera-t-on. D'après ce que j'ai lu sur la toile, cette même juge présidait il y a peu encore, à Caen, rendant des arrêts de chambre sociale, des décisions qu'on peut retrouver dans quelques jurisprudences de cour d'appel. Vu cette précédente nomination, je pense que ce juge, Madame Lise GERAUD-CHARVET a pu assez bien me comprendre lorsque j'évoquais la procédure que j'avais engagée en 2008, contre le juge Xavier SERRIER.
Il y a peu, alors que je venais d'avancer de nombreux éléments anciens et plus récents, des éléments qui ont toujours tous été balayés par le juge pour enfant de Nanterre, une chambre civile de Versailles m'a très bien entendu, elle a infirmé un jugement du juge des tutelles d'Antony. Que s'est il passé récemment, à Versailles, en chambre des mineurs, pourquoi ces juges là n'ont-ils une fois de plus rien souhaité recevoir ou entendre, comme conformément à des usages ou coutumes ?
Au cours de ces dernières années, les juges et toutes ces compositions ou ramas de calomniateurs qui sévissaient en chambre des mineurs ont à chaque fois été suffisamment explicites : hors de question de prendre en considération un quelconque élément à décharge, hors de question aussi d'accepter des contre-expertises et, surtout, strictement exclus de « réviser » quoi que ce soit ! J'ai une fois de plus le très net sentiment d'avoir été encore roulé dans la farine par tous ces professionnels de la Dass. Mais à présent et comme depuis quelques temps déjà, je m'en fous. Ces juges ont des usages auxquels je suis moi-même accoutumé, depuis des années déjà, ce qu'ils rendent ne me touche plus, depuis longtemps.
Dans cet ultime arrêt rendu ce 1er avril courant, plutôt que de s'être placée au moment où elle statuait, comme semblait l'imposer l'arrêt de casssation d'octobre 2010, la Cour « autrement composée » parait, à mon avis, plutôt avoir fait un très grand écart, à charge, en se plaçant entre mars 2011 et tout début 2003. Dans cet arrêt du 1er avril, il apparait en effet à nouveau de très anciennes allégations qui avaient depuis été écartées ou nuancés par des juges, parfois après de très âpres débats, dans ces mêmes prétoires de Nanterre et de Versailles. En effet, après m'avoir encore refusé une « révision », le dossier de mon aînée semble bien avoir été « revisité » par cette cour « autrement composée » et présidée par Lise... Ce résultat a pu plaire aux époux CLEMENTZ, à tous ces goret du social ainsi qu'à Maître ROUGHOL. Qu'est-ce que c'est drôle !
« Avez vous fait appel », va-t-on encore me demander. Mais oui, suffisamment ! « Vous n'aviez pas d'avocat, Madame Lise l'a d'ailleurs bien noté », me fera-t-on encore remarquer. Oui, c'est exact. Là bas, la représentation n'est pas obligatoire et elle ne sert à rien. Manifestement, là bas, selon que les parents soient bien assistés ou non, ces juges vous recommanderont toujours d'aller vous faire « mieux conseiller » ; quelle grossièreté de la part de telles sphères !
J'ai finalement pu démontrer d'avantage et à nouveau en long et en large, que dans tous ces prétoires de la Dass, « faire appel » ou non et être ou non assisté, même avec des élements très pertinents entre les mains, ça ne sert à rien ! Cela a d'ailleurs été très bien documenté par des professionnels de cette même Dass, par exemple, dans un bon et déjà ancien pamphlet de 1977, La police des familles, par Jacques Donzelot (voir Cet ultime arrêt est vraiment très bien, un billet que je publiais en mai 2009, alors que je découvrais l'arrêt finalement cassé et annulé, en octobre 2010 !).
Je vous avertis... De vous tenir toujours en défense [contre le démon]
tremblez même dans la victoire ;
c'est alors qu'il fait ses plus grands efforts,
et qu'il remue ses machines les plus redoutables. • Bossuet
C'est tellement affreux de voir le destin en face. • Henrik Ibsen
Pour moi, il n'était donc plus utile de faire encore appel, fin juillet 2010, ni d'ailleurs utile de me rendre encore à l'audience, en juillet dernier, chez le juge pour enfant de Nanterre. Pour parler de la situation de mon aînée, et de la suite ? De toute façon, ces pros, le corbeau et ce pasteur n'en ont toujours fait qu'à leur tête, depuis huit ans, en me noircissant systématiquement et le plus souvent à outrance... mais uniquement à huis-clos, en catimini ou dans le secret de la chambre du conseil. Depuis le temps que je les provoque, auraient-elles toutes honte de me répondre, d'affabuler et de calomnier aussi en public, ou s'y taisent-elles toutes, « dans l'intérêt de l'enfant », ce concept mou qui permet toutes sortes de pratiques, y compris des plus abjectes ?
En mars dernier et puisque la cour de cassation renvoyait à Versailles, j'y retournais. A l'oral comme dans mes conclusions écrites, je ne demandais plus rien d'autre qu'un banal constat d'échec, ce que la Cour m'a finalement rendu. Je suis content... entendez Droopy, ce personnage de Tex, lui aussi parfois paradoxal, vous lancer : « you know what, I'm happy ! »
Toutes ces pages sont, pour moi, maintenant tournées. Ces pages sont tournées, mais pour moi, elles restent évidemment noircies. Je n'avais pas envie de me taire, comme d'autres, pendant des années. D'aucune façon, je n'aurai pu obéir comme un fonctionnaire, ce que j'ai parfois feind, mais sans que cela ne fasse avancer toutes ces choses plus positivement. Bien au contraire, ce n'est que lorsque je réagissais en retour ou agissais rageusement que des choses évoluaient parfois de façons plus acceptables. Le CRIF soutiendra lui aussi qu'on est jamais obligé d'obéir... comme ces juges ou fonctionnaires sous serment et le pasteur d'Uhrwiller auraient souhaité que je le fasse !
Ces juges et leurs décisions sont pour la plupart des plus grotesques. Dans leur dernier arrêt, ils me reprochent à nouveau de n'avoir pas su assurer la sécurité de mon ainée, en 2003, en raison d'une dépression alors causée... par près de onze mois de harcellement et de fourberies socio-judiciaire ! S'il y avait eu des représentants du ministère public dans cet espace de non droit, la Moldavie française, je n'aurai peut-être jamais déprimé, ponctuellement, et la sécurité de ma fille aurait pu être assurée. Bravo les gars et ces femmes (elles sont nombreuses) de la Dass, chapeau, quel super travail vous avez fait, en faveur des enfants, après avoir écrasé les parents ! Enfin, c'est inexact, puisque je me suis relevé, il y a longtemps déjà.
Cette semaine, j'ai encore lu un ouvrage instructif, de Stéphane Hessel, Indignez vous ! Selon sa bio, il avait été interné à Buchenwald, lui aussi, comme Elie Wiesel, comme Loulek... Ce monde autour du château de Vaucelles et de l'OSE France, ces spécialistes de la Mémoire et de la Shoah est décidément très petit, très peu seulement semblent avoir survécus... Dans la bio de Hessel, on apprend encore que, « A la veille d'être pendu, il parvient in extremis à échanger son identité contre celle d'un français décédé du typhus dans le camp ». Ce français décédé était très certainement un détenu de droit commun, peut être un kapo, à moins qu'un communiste, un opposant, un résistant... A force de m'imprégner de la sorte, il m'arrive parfois de mieux percevoir des choses, par exemple, de mieux comprendre pourquoi Le kapo, cette fiction de Pontecorvo, a été jugée « scandaleuse ». C'est toujours ça de pris ; il me reste encore à découvir à quoi ça pourra être utile, en ces périodes où cette République post ou néo-vichyste s'efforcerait plutôt de retrouver le chemin de l'instruction civique.
Cette semaine, un mot m'est venu à l'esprit, un de ces mots qui pourrait à mon avis tuer, qui pourrait même être fatal, comme le mot cosmopolite l'a été pour Péan : « empaffé ». Terme populaire. Se griser, devenir paf. C'est un joli mot dans d'anciennes oeuvres. « Empaffez-vous honnêtement pour avoir un petit grain de goguette dans la tête, mais ne vous soûlez pas... » Pourquoi ne pas se soûler ? « Maître Jean à la guinguette à ses amis en goguette Chante son refrain chéri... » Plus tard, Brassens chantait : « gare au gorille... » La littérature, c'est une chose, mais ce qui me passionne vraiment en sont d'autres.
« Vous reprennez les pièces, et vous les remontez de façon différente,
le hacking, c'est rien d'autre que cela »
Piratage : les pirates informatiques témoignent ce soir sur France 4
Vendredi 15 avril, 10h04, Premiere, par la rédaction de Télé 7, extrait
Piratage sera diffusé sur France 4 ce soir en deuxième partie de soirée. Ce documentaire réalisé par Sylvain Bergère et Etienne Rouillon s'intéresse au phénomène du piratage informatique à travers trois thématiques : Le hacking est-il un acte politique ?, MP3, Napster, Mods : ce que nous devons au piratage et Les pirates, figures de la culture populaire ?
Entre les hacktivistes qui souhaitent faire d'Internet un espace de liberté total, ceux qui se livrent à cette activité par jeu et ceux dont les intentions sont plus ou moins inavouables, Piratage s'appuie sur les témoignages de certains de ces virtuoses du codage pour comprendre leurs motivations, leurs réseaux de communication et leur champs d'action, tout en mesurant ce qu'Internet leur doit, eux dont les créations, les trouvailles et les innovations sont sans cesse récupérées par l'industrie informatique.
Enfin, Piratage pose la question de la transparence de l'information dans la société contemporaine, ainsi que celle du futur d'Internet.