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Le suspect des menaces de mort libéré, aucune charge retenue
NDLR : Aurait-on encore raclé le fond ? Le suspect a été remis en liberté « faute de preuves », selon le Figaro, «pas d'élément de preuve à ce stade» contre cet informaticien de 47 ans. « Fausse piste », selon France info, « pas de charges » selon le jargon de la police. « On arrête pas quelqu'un sur les seules déclarations d'une femme avec laquelle il est en conflit », déclare l'avocat de cet informaticien, tous les deux se disputent en justice, la garde de leur enfant. Voir aussi Un militant relaxé... marianne2.fr nous invite à dénoncer toute activité suspecte susceptible de nuire au chantre qui trône à l'Elysée. A gagner, le Corbeau d’Or du Web !
Fausse piste dans l’enquête sur les lettres de menaces de mort
France Info - 06:25, extrait
L’homme entendu dans le cadre de l’enquête sur les menaces de mort adressées à plusieurs personnalités politiques, dont le chef de l’Etat, a été libéré sans qu’aucune charge ne soit retenue contre lui. [...] C’est son ex-épouse qui l’avait mis en cause. Elle affirmait qu’il l’avait menacée dans des termes proches de ceux figurant dans les lettres de menaces contenant, chacune, une balle de 9mm. [...] Faute de preuve, sa garde à vue a finalement été levée hier vers 23h00, sans qu’aucune charge ne soit retenue contre lui. Le "corbeau", lui, est toujours dans la nature.
L’homme n’a cessé de contester son implication dans l’envoi de ces lettres. A Montpellier, précisions de Mathilde Lemaire. (0'57")
Info Europe 1 : le "corbeau" remis en liberté
Créé le 03/03/09 - Dernière mise à jour le 05/03/09 à 23h47 - Europe 1, extrait
C'est une information Europe 1. Mercredi soir, peu après 23 heures, la garde à vue de l'informaticien de 47 ans, réserviste de l’armée, suspecté d'être l'auteur des lettres de menaces de mort envoyées à des personnalités politiques, a été levée. Aucune charge n'a été retenue contre l'homme, qui avait été arrêté mercredi matin dans l'Hérault. Il va donc être remis en liberté après plus de 30 heures passées en garde à vue.
PARIS (Reuters), 06.03.09, 00h00 - L'homme soupçonné dans l'enquête sur les menaces de mort envoyées à Nicolas Sarkozy et plusieurs personnalités politiques a été libéré jeudi soir sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui, a-t-on appris de source judiciaire.
La garde à vue de cet informaticien de 47 ans, qui niait les faits, a été levée vers 23h00, a-t-on précisé de même source.
Il avait été mis en cause par son ex-femme, qui affirmait qu'il l'avait menacée dans des termes proches de ceux figurant dans les lettres de menaces contenant, chacune, une balle de 9mm.
Les enquêteurs, qui n'ont retrouvé aucun indice matériel - armes ou balles - à son domicile, étaient restés prudents mais estimaient que la personnalité de cet homme pouvait correspondre à celle du "corbeau." "Il avait adressé des injures de toutes sortes à des familiers", soulignait-on de source proche de l'enquête.
De son côté, l'Agence France Presse (AFP) a reçu jeudi une lettre reprenant les menaces formulées contre Nicolas Sarkozy et plusieurs ministres, mais sans balle de 9mm, a-t-on appris auprès de l'agence de presse.
Elle comporte en revanche une languette portant notamment la mention: "on ne met pas les munitions 9mm."
Selon l'AFP, le cachet date du 4 mars et le code de la Poste correspond à la ville de Montpellier.
L'Elysée, des ministères et plusieurs élus UMP, dont le maire de Bordeaux et ancien Premier ministre Alain Juppé, ont reçu ces deux dernières semaines une lettre de menaces de mort.
La thèse privilégiée dès le départ est celle de l'acte d'un déséquilibré utilisant un vocabulaire militaire.
Les enveloppes en papier Kraft ont été envoyées aussi au président Nicolas Sarkozy et aux ministres Rachida Dati (Justice), Michèle Alliot-Marie (Intérieur) et Christine Albanel (Culture), notamment.
La lettre, toujours la même, intitulée "courrier unique pour tous et toutes", porte les mentions "Ministres, députés, sénateurs, pourvoyeurs de lois liberticides et fascistes, vous n'êtes que des morts en sursis, des morts verrouillés". "Vous croyez disposer de nos vies, eh bien non, c'est nous qui disposons de la vôtre et de celles de vos familles et amis", écrit le signataire.
Service France, édité par Sophie Louet et Henri-Pierre André
Lettres de menaces : le suspect remis en liberté
Bastien Hugues (lefigaro.fr), 06/03/2009 | Mise à jour : 08:09
L'informaticien arrêté mercredi dans l'Hérault a été relâché hier soir, faute de preuves.
Celui que l'on croyait être le «corbeau» a été relâché. La garde à vue de l'informaticien de 47 ans, suspecté d'être l'auteur des lettres de menaces de mort adressées à plusieurs personnalités politiques dont Nicolas Sarkozy, ainsi qu'au PDG de TF1 et à France Télévisions, a été levée jeudi soir peu après 23 heures, faute de preuves. Aucune charge n'a été retenue contre cet homme arrêté mercredi matin, après avoir été dénoncé par son ex-compagne.
Jeudi après-midi, alors que deux nouvelles missives avaient été reçues par le sénateur UMP de Lozère Jacques Blanc et par l'Agence France Presse, la piste de ce corbeau montpelliérain semblait déjà avoir du plomb dans l'aile. Et si la garde à vue avait été prolongée jeudi matin, le parquet de Paris reconnaissait qu'il n'y avait «pas d'élément de preuve à ce stade» contre cet informaticien de 47 ans.
Le suspect avait été dénoncé mercredi par son ancienne compagne, qui avait cru reconnaître dans le contenu des lettres des formules semblables à celles qu'elle avait reçues. Mais «dans [c]es menaces, il n'y a rien de près ou de loin qui se rapporte avec les menaces subies par les politiques », relevait jeudi Me Maryse Péchevis, l'avocate du suspect.
Les courriers de menaces, postés de plusieurs villes de l'Hérault, selon une source proche du dossier, ont été envoyés en deux vagues. La première a été postée début février d'un même endroit, non précisé, à proximité de Béziers. Accompagnées d'une balle de 9 mm, les lettres ont été adressées au sénateur-maire UMP de Béziers, Raymond Couderc, et au président de la République.
La deuxième vague a été envoyée aux ministres de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie, de la Justice Rachida Dati, et de la Culture Christine Albanel, ainsi qu'au maire UMP de Bordeaux Alain Juppé. Le député du Nord UMP Christian Vanneste et le sénateur UMP de Lozère Jacques Blanc ont également reçu la lettre, chaque fois accompagnée d'une balle de 9 mm.
Mercredi, une source proche de l'enquête a indiqué qu'un courrier similaire avec une balle était parvenu au PDG de TF1 Nonce Paolini au siège de la chaîne. Une missive qu'ont également reçue France Télévisions et l'Agence France Presse.
Dénoncez à l’Elysée vos amis anti-sarkozystes et gagnez le Corbeau d’Or du Web!
Mercredi 19 Mars 2008 - 00:22 - marianne2.fr, extrait
L'Elysée vient de nommer un «monsieur Internet» chargé de surveiller le web pour y dénicher toute «désinformation» concernant le Président. Autant dire qu'il a du pain sur la planche. Pour l'aider Marianne2 lance un jeu concours: vous aussi, devenez délateur d’Internet !
Inquiet de la multiplication des caméras sur son passage, Nicolas Sarkozy souhaite pouvoir «contre-attaquer» en cas de nouveau «casse-toi pauv'con»-gate. Du coup, il a créé à l'Elysée, au sein du nouveau «pôle politique» de Catherine Pégard, une cellule de veille du buzz dirigée par Nicolas Princen, 24 ans, normalien et diplômé d'HEC.
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