Archives pour: Mars 2008
Journée nationale de la déportation
Journée nationale de la déportation
Dimanche 27 avril 2008
15h30 (horaire sous réserve)
Dépôt de gerbes et cérémonie de recueillement au Mémorial de la Shoah, puis départ en cortège vers le Mémorial des martyrs de la Déportation (Île de la Cité).
De source www.memorialdelashoah.org
Handicap, maladie ou « trouble psy » = placement des enfants ?
Handicapés moteurs et mentaux se mêlaient, dans une ambiance bon enfant, aux bénévoles d'associations qui scandaient des slogans comme "la dignité oui, la charité non" ou brandissaient des pancartes proclamant: "le handicap, ça peut vous arriver".
Aujourd'hui je ne me suis pas fait remarquer trop longtemps, je suis juste allé discuter avec des responsables de l'APF et de l'UDAPEI des hauts de Seine avant le départ de leur marche vers l'Elysée.
Une personne au moins semble bien connaitre le problème de la violence et de la maltraitance institutionnelle, les difficultés qui peuvent occasionnellement se poser au sein de certains établissements. Cette personne semblait aussi avoir l'habitude de faire front dans ce genre de situations, ce qui ne me surprend pas.
La France « virile », conférence-débat, notes
A propos des tondues, en 45 : « c'est qu'un moment, les cheveux repoussent ».
Sara Choukroun, de l'OSE France, le 3 mai 2005 : « lors de votre prochaine visite, il ne paraîtra plus ».
Il y a bien eu un 8 mars 2008
Dans une vidéo de « la barbe », ma banderole apparait après celle des « jeunes chercheuses féministes en lutte », au cours de la marche de la République vers la place de la fontaine des innocents.
Plus tard, place de la fontaine des innocents...
De la photothèque du mouvement social
Rencontre débat : « Dénoncer ou se taire ? »
Samedi 15 Mars 2008 de 14h00 à 17h00
Rencontre débat avec des écrivains israéliens présents à Paris à l’occasion du Salon du Livre. Ces écrivains présenteront leur travail et se poseront la question du "Statut de l’intellectuel dans la culture israélienne : DENONCER OU SE TAIRE"
Avec la participation de :
- Amira Hass, journaliste
- Yael Lerer, éditrice
- Amnon Raz Krakotzkine, historien
- Michel Warschawski,écrivain, fondateur de l’Alternative Information Center
- Jamal Zahalka, député du parlement israélien
Cette rencontre est soutenue par la chaire du Moyen Orient / Méditerranée de Sciences Po.
Institut d’Etudes Politiques de Paris (Sciences Po)
27 rue Saint-Guillaume
Métro Saint-Germain des Près, Rue du Bac, Sevres-Babylone
Inscription obligatoire par mail : inscription15mars@gmail.com
Entrée sur présentation d’une pièce d’identité.
De source AFPS
Y a-t-il eu un 8 mars 2008 ?
A en croire les JT, la journée internationale [des droits] des femmes du 8 mars 2008 n'aurait été consacrée qu'à Ingrid Betancourt ainsi qu'à des femmes « d'exception », reçues à l'Elysée ou dont les portraits ont été accrochés au Panthéon. Cependant, de nombreuses personnes ont défilé dans Paris et se sont rassemblées place de la fontaine des innocents. Ma banderole était bien en vue durant toute l'après-midi.
De source Act-Up, « marche féministe » du 8 mars
Vers un éventuel drame social ?
J'ai participé à la manifestation des avoués contre le rapport Attali, l'accueil de ma banderole était plutôt mitigé. Un avoué m'a dit que cette banderole pouvait porter préjudice à leur mouvement tandis qu'au su de l'histoire de Justine, un autre m'a recommandé de foutre le bordel.
La manifestation est partie du Conseil d'Etat en direction de Matignon. J'ai marché aux côtés des avoués de la cour d'appel de Versailles et de leur personnel. Je compte sur les bruits de couloirs et les très nombreuses photos qui ont été prises.
Un avoué m'a dit qu'il ne partageait pas mon sentiment, que la justice n'est pas corrompue. Je n'ai pas répondu, ma banderole est bien assez précise et claire. D'autre part, la jurisprudence du CSM est truffée des turpitudes de magistrats intègres et vertueux.
Rue des Saints Pères, de la galerie de Laurent où
ma banderole apparait sur de nombreuses photos
La France « virile » : des femmes tondues à la Libération
CAEN (AP), 3 juin 2006, extrait - Pour la première fois, près de 150 enfants nés de père allemand et de mère française pendant la Seconde guerre mondiale se sont réunis samedi à Caen (Calvados) pour l'assemblée de l'Amicale nationale des enfants de la guerre (Ameg).
"C'est très émouvant de nous retrouver tous ici. C'est la première fois que nous nous voyons", lance Jeanine Nivoix-Sevestre, la présidente de l'amicale créée l'an passé. Née en 1941 d'une mère française et d'un père soldat allemand, elle se bat depuis plusieurs années pour retrouver des enfants comme elle.
"Nous conversons depuis plus d'un an par e-mail ou par téléphone, mais nous ne nous étions jamais vus", explique-t-elle. "Aujourd'hui nous sommes 150, mais il paraît qu'en France nous sommes plus de 200.000 enfants nés de ces amours interdites".
"Toute notre vie n'a été qu'insultes, menaces, brimades, mais chacun vivait muré dans son silence", ajoute Josiane Kruger, une autre de ses enfants nés durant la Seconde guerre mondiale.
Jeudi 13 mars 2008 à 19H30, à Paris,
Conférence-débat avec Fabrice Virgili, Chargé de recherche, Irice-cnrs - Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
La France « virile ». Des femmes tondues à la Libération
Présentation de la conférence :
« La France sera virile ou morte », a-t-on dit en 1944. Virile, elle le fut, et les tontes des femmes accusées de collaboration en témoignent. Sur cet épisode de notre histoire qui, aujourd’hui encore, continue de susciter un malaise, on croyait tout savoir : ayant couché avec l’ennemi, des femmes avaient été violemment punies, dans un très court laps de temps, par des foules vengeresses et des résistants de la dernière heure.
La recherche menée par Fabrice Virgili révèle notamment que la moitié seulement de ces femmes avaient eu des relations sexuelles avec les Allemands ; que les tontes n’eurent rien d’éphémère, puisqu’elles s’étalèrent de 1943 à 1946 - deux dates qui impliquent que, parmi les tondeurs, il y eut aussi des résistants et que les autorités, après la Libération, « couvrirent » cette pratique ; et que vingt mille personnes environ furent touchées, de tous âges et de toutes professions, dans la France entière.
Que s’est-il réellement passé ? Pourquoi des femmes ? Et quel sens donner à cet événement ?
Actu de dernière heure, des hypocrites communiquent
Ce 8 mars 2008 sera pour moi une opportunité de rencontrer à nouveau la Ligue des Droits de l'Homme. Il semblerait que cette ligue n'a que faire de la situation d'enfants placés et d'enfants en danger, d'enfants kidnappés et séquestrés par « les services », je pourrais à nouveau aborder ces sujets avec quelques uns de leurs membres.
Un communiqué de la LDH-France
> 29 février 2008 - Journée internationale de luttes des femmes pour leurs droits
Rassemblement le 8 mars à 15h00 Fontaine des Innocents - Paris/les-Halles
Le 8 mars 2008 se situe dans un contexte politique très inquiétant de remise en cause des droits des femmes et de leurs acquis, partout, en Europe et dans le monde. Les revendications concernant les droits des femmes participent des droits humains fondamentaux sans lesquels aucune société ne peut être considérée comme juste, égalitaire et démocratique. Comme chaque année à cette date, nous rendrons visible la force de notre solidarité avec toutes les femmes de France et des autres pays dans lesquels elles sont en butte aux discriminations et aux violences.
Premières signatures : Marche Mondiale des Femmes France, Collectif National Droits des Femmes, CADAC, Collectif féministe 'Ruptures', Ligue des droits de l'Homme (LDH), Femmes Solidaires, Chiennes de Garde, La Meute, Encore Féministes, Coordination Femmes Egalité, Coordination Lesbiennes en France, ACTIT, Comité des Femmes Kurde a Paris, UFCS...... Parti Communiste Francais.....