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Les Farc veulent débattre de l'information pour libérer Langlois
NDLR : Voilà que les FARC et Langlois refont encore parler d'eux. Je les avais oubliés, ce 3 mai ; ils auraient pu attendre l'année prochaine... Comme c'est maintenant un peu de saison, bisous aux FARC et aux journalistes aussi, tant qu'à faire ! Mes procédures dans des prétoires, c'est quasi fini, l'essentiel a été foiré par la justice ou s'éteint depuis la majorité de mon ainée. Et mon ainée est libre comme l'air, depuis septembre dernier. Les magistrats français ne trouveront maintenant plus grand chose pour me faire chier encore, des mois et des années durant ; en théorie. Patience, Langlois, t'es même pas vraiment plus là, on sait ou t'es, chez les FARC, nous n'avons donc pas trop de soucis à nous faire ; tout finira par s'arranger, pour toi aussi
Les Farc veulent débattre de l'information pour libérer Langlois
Reuters, lundi 7 mai 2012 21h36
BOGOTA (Reuters) - Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) ont réclamé lundi un débat sur la liberté d'informer comme première condition à la libération du journaliste français enlevé il y a neuf jours dans le sud du pays.
Roméo Langlois, correspondant de France 24 en Colombie, accompagnait les militaires colombiens lorsqu'il a été enlevé le 28 avril lors d'un d'un affrontement entre l'armée et les Farc.
"Il faudrait au minimum, avant qu'il ne soit libéré, un vaste débat national et international sur la liberté d'informer", écrit la guérilla marxiste dans un communiqué, sans plus de précisions.
"Les journalistes que les forces armées colombiennes emmènent avec elles (...) ne remplissent pas leur devoir d'informer de manière impartiale sur la réalité, ils manipulent (les faits)".
Les Farc ont diffusé dimanche une vidéo dans laquelle elles confirment avoir enlevé le journaliste français qu'elles qualifient de "prisonnier de guerre".
Luis Jaime Acosta, Marine Pennetier pour le service français, édité par Jean-Philippe Lefief
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