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Le pape déploie ses Heil
Je suis passé chez le boulanger et au kiosque, il n'y avait plus de JDD du samedi... On m'a dit d'attendre demain, dimanche ; ces feuilles là devraient contenir à peu près la même chose. J'ai pu grignoter et j'avais ensuite moins faim, c'est toujours ça. J'ai pris d'autres feuilles tout aussi drôles. Siné hebdo nous apprend que le pape savait ?
Siné hebdo du 30/9, « je me demande qui ça peut intéresser... »
Ca me fait encore penser à la manière dont Xavier Serrier et Delphine Roughol ont été blanchis fin mai dernier, par les mythographes de la chambre des mineurs, en catimini ou à huis clos, dans ce qu'on appelle la chambre du conseil, ces prétoires pour créatures inférieures. Pour ces juges là, de Versailles, y a pas de problème, tout le monde est propre - hormis, bien sûr, le papa de Justine, juste débile pour qui lit leur récents délibérés. Je pouvais m'attendre à perdre avec de tels professionnels, j'ai toujours perdu là bas, c'est là l'usage et je m'y suis donc accoutumé.
Je crois qu'en cassation, en décembre 2008, la première chambre civile avait été choquée par le dossier qu'elle découvrait, un ovni judiciaire. A mon avis, pour cette cour là, il y avait bien un réel problème. Elle a d'ailleurs rendu un arrêt de rejet motivé et ne me condamnait pas à indemniser Xavier Serrier, il me réclamait pourtant 2 500 euro.
La tête de Xavier Serrier, je m'en fous, ces passions et ces histoires de lampistes, je les laisse à d'autres. Je veux un jour la main levée du placement de Justine, c'est tout. Pour moi, mon différend avec Xavier Serrier est d'ailleurs clos depuis qu'il m'a informé qu'un autre juge que lui s'était saisi du dossier de Justine. Cette correspondance de sa part m'avait suffit, l'arrêt de cassation allait ensuite me servir devant Versailles, pour toucher et certainement bientôt coucher ou au moins moucher d'autres juges aussi. Car ce n'était pas vraiment Serrier que je visais en cassation, mais d'autres juges pour enfants qui l'avaient précédé, je le rappelle bien dans un billet du 29 mai dernier.
Sa justice ne souhaite donc toujours pas ordonner la main levée du « placement » de Justine ? Je pouvais m'attendre à une telle issue, c'est assez conforme à des pratiques historiques de la Dass. En décembre, je vais plus m'attacher à démontrer très simplement le très franc parti pris des juges précédemment saisis dans cette histoire. D'ici là, si ce n'est pas déjà fait, je pense que je vais aussi devoir bien froisser le « nouveau » juge, Monsieur Thierry Baranger. Ce sera fait juste avant cette toute prochaine audience, à la cour d'appel de Versailles, pour la fête de la circulaire Chaumié. J'ai déjà fait appel de son jugement du 16 juillet dernier, le juge Thierry Baranger le sait, et je viens encore de faire appel, de sa correspondance du 21 septembre dernier, il devrait bientôt l'apprendre aussi.
Après décembre seulement, je crois qu'un retour de Justine pourrait être sérieusement envisagé par sa justice. Mais on ne va peut être pas m'autoriser à faire appel de cette correspondance du 21 septembre, c'est la dernière farce qui a été faite à Aung San Suu Kyi, par la junte birmane, malgré toutes les pressions internationales. Je vais devoir en discuter avec les juges de Versailles. Ces juges vont être bien ennuyés en me voyant arriver encore, je ne sais même plus combien de fois ces autistes m'ont vu ou « entendu » au cours de ces dernières années. Un son et une carte de visite sont parvenus là bas. Je sais bien aujourd'hui que, normalement, seul les professionnels de la Dass ont le droit de faire appel en France ; Jacques Donzelot l'a très bien décrit, en 1977, dans La police des familles. D'autres choses également vont un moment coincer, comme toujours, en faveur de plus fourbes et de véritables cafards, qui sont absents dès qu'il y a un peu de lumière de l'enfant, Justine. En effet, je vais contester à nouveau des doctrines ou idéologies actuellement promues, parfois par la cour de cassation, j'en parlais au juge Thierry Baranger, à l'audience, en juillet dernier. J'en parlais déjà par le passé, en chambre du conseil, à la cour d'appel...
L'an dernier, j'ai fini par détruire des livres, parfaitement inexploitables. Sous peu, nous fêterons les 20 ans de la CIDE. Je dois être inaudible car depuis toujours « tout contre » ce dispositif supposé protéger les enfants ?
Voilà que je repense à un tableau qu'aimait bien la maman de Justine, de Munch : Der Schrei - Le cri. Elle avait parfois des gouts et des sources d'inspirations bizarres, elle aussi. J'aime bien Ibsen, également norvégien.
Théâtre, 26/05/2009 à 14h23, Libé, extrait
Le Prix Ibsen décerné à Ariane Mnouchkine
Le jury scandinave, présidé par l’actrice Liv Ullmann, estime que «tous ceux qui ont vu l’une des productions d’Ariane Mnouchkine au Théâtre du Soleil de Paris ressortent avec le sentiment d’avoir participé à un conte enchanté». Il ajoute que l’oeuvre d’Ariane Mnouchkine constitue «un voyage fantastique qui jette un regard rafraîchissant sur l’histoire et la société contemporaine, qui enrichit la pensée et le sentiment, et dont le ton théâtral inspire paradoxalement une foi dans l’avenir».
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