« Orly, suite et fin | Que de victimes, et des miracles quand même » |
Une escroquerie judiciaire, emplatrée par le proc', des psys et un pasteur
Pour le moment et après tout ce que je viens de lire et de découvrir encore, je suis trop hilare et cet après-midi, nous fêtons les 7 ans - déjà - de la petite. Dans l'immédiat, je n'ai donc pas du tout l'esprit disponible ni le moindre temps à consacrer à cette histoire-ci, le « placement » de Justine, qui lui profiterait tant. Je mettrais ce billet à jour au cours du week-end ou des prochains jours, en l'éditant en ligne, comme j'ai pour habitude de le faire depuis plusieurs années déjà.
Suivent des ajouts du 16 au soir, après la grande fête du jour...
La dernière info qui me parvenait, ce matin, me laissera pendant longtemps encore hilare. Ce gouvernement ne saurait-il plus comment se débarrasser de moi, fallait-il que Roselyne me propose d'aller me faire piquer dans le quartier ? Si j'étais vraiment parano, ce qu'affirmait le Docteur Magalie Bodon-Bruzel, dans le prolongement des « pros » de l'OSE, je hurlerais au scandale, martelant maintenant qu'on cherche à présent à attenter à ma vie, par tous les moyens possibles
Comme je l'écrivais le mois dernier, j'adore lire un peu de tout et parfois ce n'importe quoi qui me parvient d'une manière ou d'une autre, que ce soit donc par la Poste et beaucoup aussi par le biais d'autres médias.
Je ne parle pas sans raisons d'escroquerie judiciaire, je l'évoquais déjà en décembre dernier, auprès de la chambre des créatures inférieures, prenant pour exemple la cassation. Les uns prêchent ou déblatère, font n'importe quoi, puis « gagnent » à tous les coups, tandis que ma compagne et moi, nous pouvons toujours ramer, puis joindre ensuite les deux bouts. Toutes ces actions et recours en « justice » sont souvent des plus onéreux et éprouvants pour des résultats généralement exécrables - sinon grotesques, comme je l'ai déjà démontré.
Ce matin, je recevais encore une correspondance de mon avoué qui me représente aujourd'hui à la cour de cassation ; j'ai fait déclarer un pourvoi après l'arrêt rendu en mai dernier, par Versailles. Mon avoué me réclame une petite rallonge ; je vais devoir l'appeler et en discuter avec lui, dissiper surtout tout malentendu, s'il y en avait un quelconque. Je ne me permettrais en aucun cas de le traiter d'escroc, loin de moi cette idée. Je pense qu'il a du fournir une prestation supplémentaire et qu'il me prie donc très simplement et tout à fait naturellement de lui verser un complément d'honoraires. Pour le moment, sa facture s'élève donc approximativement à 6 000 euro TTC, le prix d'une bonne petite voiture neuve, et ce ne sera peut-être pas suffisant. Personne ne me remboursera cette somme, nous n'avons pas accès à l'aide juridictionnelle.
La cour de cassation n'a à ma connaissance toujours rien jugé, elle rejètera peut-être même ce pourvoi, et quelle que sera l'issue de cet ultime recours, la chambre des créatures inférieures de Versailles pourra de toute façon balayer ses effets d'un très simple trait de plume. En effet, depuis mai dernier, 8 mois se sont déjà écoulés, plusieurs décisions ont déjà été rendues, la situation de Justine est à nouveau totalement différente ; on va de l'avant et on oublie tout le passé (hormis bien sûr ce que des magistrats souhaiteront en retenir, soit ce qui pouvait un jour « motiver » ou permettra demain de proroger encore le « placement » de Justine) ; ce qui pouvait éventuellement s'imposer en mai dernier ne pourra certainement plus s'appliquer d'ici quelques 6 à 12 mois. J'aurais finalement déboursé quelques milliers d'euros pour un résultat qui était parfaitement prévisible ; ces voies de recours sont réputées illusoires lorsque le juge pour enfant est saisi, le monde de la recherche en droit et en justice le sait très bien et je le sais également, depuis très longtemps déjà. Mais Versailles me priait de faire des démonstrations, mon précédent passage en cassation, en décembre 2008, ne suffisait pas.
Cette année-ci, je pense que je ne déclarerais plus de pourvoi. Lors de mon prochain passage devant la Cour, je ferais peut-être brûler un ou deux billets de 500 euro, l'effet sera tout à fait similaire à celui d'un recours en cassation
Lorsque je parle de professionnels ou d'effets bizarres, tel qu'une escroquerie, je pense à de fortes sommes perdues, à des ressources gaspillées, et je pense évidemment aussi à d'autres individus que ceux qui me représentent aujourd'hui ou qui sont un jour intervenus dans mes affaires, à ma propre demande. Je pense également à certaines interventions ou publications sur Internet qui n'ont à mon avis pas été sans effet dans mes affaires dites « privées ». Dans un précédent billet, Un petit pot pourri, je me moquais déjà beaucoup de certains professionnels et prétendus experts.
Ce matin, en surfant, je suis tombé tout à fait par hasard sur quelques ordonnances rendues par un juge pour enfant de Nanterre et dont je n'avais pas la moindre connaissance. Elles ont été publiées par le passé, sur Internet, dans un blog dont l'éditeur pourrait avoir oublié le mot de passe (lire Nos vies sur Internet, à perpète). Je pense que ce que j'ai trouvé est conforme aux originaux... C'est à Paris que je pourrais bientôt me distraire si le ministère public ne décide pas de classer la plainte que j'ai déposée, fin décembre dernier.
Comme on nous le rappelle assez souvent, on devrait s'abstenir d'écrire et de publier n'importe quoi sur Internet, un espace public. J'attends de lire bientôt le dernier arrêt rendu par Versailles, mais j'attends aussi de découvrir le traitement que Paris réservera à cette plainte, déposée en raison d'injures publiques. Ce 8 janvier dernier, le pasteur d'Uhrwiller n'était pas convié dans l'entresol du palais de justice, lorsque j'étais moi-même convoqué, chez le délégué du procureur ; tout s'est finalement assez bien passé. Si ma plainte de décembre 2009 est traitée par Paris, le pasteur d'Uhrwiller ne devrait pas avoir l'opportunité de prêcher non plus. A la suite, un très court extrait de ce que je joignais à ma plainte, en décembre dernier.
Jusqu'à l'intervention récente d'un nouveau juge pour enfant, après quelques actions extraordinaires en justice, Versailles et Nanterre avaient pour usage de tout traiter par dessus la jambe. Il y a peu, je m'étais fixé pour objectif d'évaluer Paris. D'ici quelques temps, je pourrais en reparler, d'abord lorsque je rencontrerais à nouveau le juge pour enfant de Nanterre, puis ensuite, très probablement, auprès de la chambre des créatures inférieures de Versailles.
Ce soir, Fréderic Lefebvre m'a encore fait pouffer. Ce 8 janvier, lorsque Paris m'imposait un simple rappel à la loi, en retour, je n'hésitais pas un seul instant à faire un pied de nez à son parti, l'UMP. Pourtant, je ne suis pas encarté chez les socialistes, ni ailleurs. Qui fuit les débats, dans ce pays ? J'ai beau écrire, me déplacer, convoquer et même donner à d'autres l'opportunité de convoquer, y compris parfois au ministère public, tout le monde se défile ou se défausse, renvoyant à chaque fois au huis clos, en chambre du conseil, ainsi qu'aux calendes grecques. Je pense que la suite va encore être cocasse.
Lefebvre nous parle maintenant de « basses méthodes » ? A-t-il seulement eu vent ou l'opportunité de parcourir les conclusions que je déposais en décembre dernier, à Versailles ? Kapos est peut être un mot trop dur pour des travailleurs sociaux, je l'écrivais moi même. A l'avenir, et rien que pour faire plaisir à Lefebvre, le porte-parole de l'UMP, je parlerais de temps en temps de « cireurs de parquet ». Où je passe, sans chausser les patins, il en a parfois bien besoin.
Le PS, un parti "extrémiste"(Lefebvre)
AFP, 16/01/2010 | Mise à jour : 20:54
Le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, s'en est pris vivement au PS aujourd'hui dans un communiqué estimant qu'il "est devenu un parti extrémiste" qui "n'hésite pas à utiliser les plus basses méthodes". "Manipulations façon Peillon, fuite façon Glavany, insultes ou attaques ciblées contre le président de la République façon Frêche, Huchon et Vauzelle, le PS est devenu un parti extrémiste qui pour exister n'hésite pas à utiliser les plus basses méthodes et désigne un ennemi, le président de la République", déclare M. Lefebvre. "Le PS ré-enfourche son cheval de bataille favori, l'anti-sarkozysme primaire. Ce parti aux abois, sans idées et sans projet, fuit le débat d'idées et la confrontation de projets" ajoute-t-il. "Après Huchon voilà Vauzelle qui s'en prend à Nicolas Sarkozy pour lancer sa campagne des régionales en Paca !", dénonce-t-il. Le président PS de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Michel Vauzelle, qui brigue un troisième mandat, a officiellement lancé samedi à Marseille sa campagne, la plaçant d'emblée sur un terrain national en attaquant frontalement la politique de Nicolas Sarkozy.