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Attention, prudence
Je viens d'avoir une assez longue discussion avec un assistant de Maître Charles Halter. Dans cette histoire, cet assistant ne veut bien évidement pas d'un rôle de lampiste ou de fusible. Il ne veut pas d'ennuis, et je le comprends très bien, nous en avons parlé. L'une de mes amies est assistante de notaire ; pour une telle fonction, elle avait travaillé très dur, pendant plusieurs années, sacrifiant ses soirées et renonçant à de nombreuses sorties. Pour leur tranquillité, j'ai déjà effacé les noms et prénoms de ces simples assistants. D'ici quelques temps, pour cet appel récent d'une décision du juge des tutelles, il ne subsistera plus que « affaire Kant c/ ministère public, X, Y... » les lampistes.
Dans mon blog et mes dernières publications, je pense avoir été déjà bien assez clair. Ce 24 juin, la cour d'appel de Versailles rendra un délibéré dans le cadre d'une affaire « d'ordre privée » qui m'oppose d'abord au ministère public, ce qu'on peut d'ailleurs bien lire sur la dernière convocation émise par le greffe de Versailles.
J'invite encore une fois mes lecteurs à la prudence et à ne porter aucun jugement hâtif, ces affaires sont « complexes » - au sens compliquées, avec de très nombreux acteurs ou intervenants, sur de longues années.
En 2005 et dans le cadre de ce périple précis, des successions de la famille maternelle de mon aînée et plusieurs décisions du juge des tutelles, je pense avoir été déjà explicite dans l'une de mes plaintes qui a été « classée d'office » par le parquet financier de Nanterre. A l'époque, je critiquais aussi le travail d'une banque un peu « offshore », la Caisse d'Epargne région Lorraine. Si ce parquet avait donné suite, nous n'en serions pas rendu la ? L'information devrait figurer au dossier du juge des tutelles, transféré il y a peu, à la cour d'appel.
Hier, à huis clos, j'estime avoir été à nouveau assez limpide avec les juges, comme en 2005. Ces lampistes ou assistants de notaires ne peuvent pas travailler s'ils ne sont pas convenablement informés ou s'ils sont eux-même confrontés à des difficultés insolubles ou impensables, lorsqu'ils s'efforcent de se procurer des documents. A ma connaissance, ces assistants travaillent essentiellement à partir de déclarations spontanées.
Nous découvrirons donc sous peu ce qu'en auront pensé maintenant des juges, de vrais juges.
Aujourd'hui, un détail me contrarie. Il y peu, j'écrivais aux deux admins ad'hoc, des assistants, qui avaient été désignés par le juge des tutelles. Je me demande s'ils le savaient ou quand ils l'ont appris car, suite à cela, j'ai reçu une réponse, mais de la part de Maître Halter ; il est peut-être leur représentant, dûment mandaté.