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Les FEMEN se drapent, puis s'excusent !
Encore une partouze lacrymale ! « C'est un immense bonheur d'avoir plaidé en Tunisie pour la liberté des Femen et d'avoir été entendus », ont indiqué à l'AFP les deux avocats français Patrick Klugman et Ivan Terel. Cette journée restera mémorable. « Elles ont dit "si on a choqué des Tunisiens, on s'excuse, voilà leurs propos », semble avoir précisé Me Souheib Bahri, leur avocat Tunisien ; c'est tout autre chose qui s'est répandu sur la toile, au cours de l'après midi, comme une trainée de poudre, confirmé de façon voilée, sur la page Facebook de FEMEN France :
De source Facebook, du mur de FEMEN France, vers 0h05
Les FEMEN paraissent bien avoir heurté des tunisiens, et semblent surtout s'être excusées, assez sincèrement, ce qui a été rapporté par divers médias plutôt crédibles. « Je regrette cet acte et je m’en excuse », a dit l’Allemande Josephine Markmann au juge Moez Ben Frej, qui lui faisait remarquer en français que « le droit musulman interdit de tels actes ». « On ne pensait pas choquer les Tunisiens à ce point, il est hors de question pour nous de recommencer », a répondu à son tour la Française Pauline Hillier, drapée comme ses co-accusées et comme de coutume pour les femmes jugées en Tunisie, du safsari, le voile traditionnel blanc les recouvrant de la tête au pied. Des regrets et des excuses, exprimés par les FEMEN sous des safsari, des tenues traditionnelles et règlementaires ! J'hallucine !
Je ne me souviens pas m'être couché dans un prétoire au cours des années passées, même pas au cours de périodes parfois très dures, ni d'avoir présenté des excuses ou des regrets à quiconque non plus. Même ce printemps, longuement enfermé et stressé par mes conditions de détention, puis libre, je résistais, projetais, rouspétais et protestais encore, malgré des menaces et tout ce que j'encoure maintenant d'assez précis ; en avril, encore enfermé, je constatais que Nadezhda Tolokonnikova n'avait pas renoncé à l'activisme non plus, ni à ses idéaux, ni à l'art :
Où sont passées nos virulentes combattantes aux seins nus, résistantes à toutes conditions climatiques ? Quel traitement exceptionnel auraient-elles subies, en Tunisie, pour qu'elles fléchissent et s'inclinent si soudainement, après 15 jours seulement de privation de libertés ? On croit rêver ! Il s'agissait de leur audience d'appel ; souhaitaient-elles être libérées, à tous prix ? Ont-elles suivies les conseils de leurs avocats, voire suivies des « pressions » ou conseils de fins diplomates ? Il s'agissait de leur première incursion dans ces territoires, « islamiques ». Et voilà donc qu'après avoir enfilé et accepté le safsari, elles se sont excusées, et ont promis qu'elles ne recommenceront pas ! Renier leurs revendications, idéaux et modes d'actions, c'est cher payer, couvrir leurs poitrines dénudées et messages politiques d'un « on s'excuse en choeur » ne pouvait que susciter l'hilarité sur Tweeter, de grosses déceptions aussi. C'est ridicule. Les FEMEN vont donc poursuivre maintenant leurs actions et happenings médiatiques dans des contrées où elles sont encouragées ou très bien tolérées par le pouvoir dominant ; à Bruxelles, ce jour, les FEMEN n'ont été que simplement écartées, un peu brusquement, mais elles n'y ont pas été embarquées... voir sur le web, la vidéo de iTélé. Je ne les attendais pas au Vatican, et encore moins dans des pays tels que la Tunisie... d'où elles se retirent donc en s'écrasant
Que fera Amina, prochainement ? Les FEMENS européennes s'étaient rendues là bas, en Tunisie, pour la soutenir, puis ces trois « activistes » ont été bien épaulées par la France, peu après leur incarcération... Amina pourra-t-elle également se contenter de présenter de simples et très plates excuses à la cour ?
J'ai pu être trompé par ce qui bruissait, sur Twitter, ou par la presse. J'en saurais plus au cours des prochains jours.
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Afrique
Les Femen européennes s'excusent de leur action seins nus à Tunis
Le Monde.fr avec AFP | 26.06.2013 à 21h14
Trois Femen européennes, condamnées à quatre mois de prison pour une manifestation seins nus en Tunisie, ont exprimé mercredi 26 juin des excuses et promis de ne pas recommencer lors de leur procès en appel à Tunis.
"Je regrette cet acte et je m'en excuse", a dit l'Allemande Josephine Markmann au juge Moez Ben Frej, qui lui faisait remarquer en français que "le droit musulman interdit de tels actes". "On ne pensait pas choquer les Tunisiens à ce point, il est hors de question pour nous de recommencer", a répondu à son tour l'une des deux Françaises, Pauline Hillier.
La dirigeante de Femen à Paris, Inna Shevchenko, a qualifié ces regrets "de retournement inattendu de la situation". "Je soupçonne les activistes d'avoir subi d'énormes pressions psychologiques", a-t-elle indiqué. L'avocat tunisien des jeunes femmes détenues depuis bientôt un mois, Souhaib Bahri, a indiqué s'attendre à ce que la décision de la cour lui soit communiquée "tard dans la soirée".
[...] Le chef du gouvernement tunisien, Ali Larayedh, a souhaité dans un entretien au journal belge Le Soir que les trois militantes soient libérées : "Si la justice tunisienne ne les relaxe pas, nous devrions les libérer. Le président de la République dispose du droit de grâce dans ses compétences", a-t-il dit. Incarcérées depuis le 29 mai, jour de leur action seins nus devant le palais de justice de Tunis pour soutenir Amina Sboui, les trois femmes ont été condamnées le 12 juin en première instance à quatre mois et un jour de prison ferme pour "atteinte aux bonnes mœurs et à la pudeur".
Extraits de source http://www.lemonde.fr/tunisie/article/2013/06/26/les-femen-europeennes-s-excusent-de-leur-action-seins-nus-a-tunis_3437237_1466522.html
Femen : le Premier ministre tunisien prêt à les libérer
Par La rédaction de RTL.fr , Avec AFP | Publié le 26/06/2013 à 14h24
international
Les trois militantes des Femen incarcérées en Tunisie devraient être libérées par le pouvoir si la justice ne les relaxe pas, a déclaré le Premier ministre tunisien Ali Larayedh.
Le pouvoir tunisien devrait libérer les trois militantes de Femen emprisonnées à Tunis si la "justice ne les relaxe pas", a déclaré le Premier ministre Ali Larayedh, dans un entretien publié ce mercredi 26 juin par le quotidien belge Le Soir.
"J'espère que cette affaire se clôturera au plus tôt. Si la justice tunisienne ne les relaxe pas, nous devrions les libérer. Le président de la République dispose du droit de grâce dans ses compétences", déclare Ali Larayedh dans Le Soir, à l'occasion d'une visite à Bruxelles.
"Cela dit, j'estime que ces jeunes femmes ont agi de manière offensante pour le sexe féminin, elles n'ont utilisé ni le moyen ni le goût corrects. Mais elles n'ont pas été maltraitées et elles ont droit à un jugement en bonne et due forme", ajoute le Premier ministre, cadre du parti islamiste Ennahda au pouvoir.
Extrait de source http://www.rtl.fr/actualites/info/international/article/femen-7762645093
La page Facebook de Femen et Femen France censurées pour "contenu pornographique". #cachezceseinquejenesauraisvoir
— FEMEN France (@Femen_France) June 25, 2013
Les #Femen doivent prendre le premier vol pour Paris vers 7h du matin #Tunisie
— David Thomson (@_DavidThomson) June 27, 2013
12 juin. Les #Femen revendiquaient leur action, en #Tunisie. Puis il s'est passé quelque chose #LOL http://t.co/61rxMdB07y
— Bruno Kant (@bkant) June 27, 2013
Après un bref passage au ministère de l'Intérieur pour d'ultimes formalités, elles ont été conduites directement à l'aéroport international de Tunis-Carthage où elles devaient passer la nuit avant de regagner l'Europe jeudi matin, selon leurs avocats et un responsable policier. Aucune précision n'a été donnée sur l'heure de vol et les destinations précises des trois militantes, qui n'ont fait aucune déclaration à la presse à leur sortie.
Mercredi, les trois militantes féministes ont été condamnées à une peine de quatre mois et un jour avec sursis, a annoncé l'un de leurs défenseurs, Me Souhaib Bahri.
Excuses
Lors de l'audience d'appel mercredi, les jeunes femmes avaient pour la première fois exprimé des regrets pour leur action seins nus du 29 mai à Tunis en soutien à Amina Sbouï, une militante tunisienne de Femen emprisonnée depuis la mi-mai.
"Je regrette cet acte et je m'en excuse", a dit l'Allemande Josephine Markmann au juge Moez Ben Frej, qui lui faisait remarquer en français que "le droit musulman interdit de tels actes".
De source http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20130627.OBS4836/tunisie-les-3-femen-europeennes-quittent-leur-prison.html
Créé le 27-06-2013 à 06h20 - Mis à jour à 06h23
Le Nouvel Observateur avec AFP
Les avocats français des Femen, qui ont pu plaider mercredi à Tunis, se sont réjouis de ce verdict plus clément en appel. «C’est un immense bonheur d’avoir plaidé en Tunisie pour la liberté des Femen et d’avoir été entendus et que le message qu’elles portent ait été entendu», ont dit à l’AFP Me Patrick Klugman et Ivan Terel. «Maintenant nos inquiétudes se dirigent vers Amina que nous n’oublions pas, nous ne la laisserons pas croupir» en prison, ont-il ajouté.
Amina Sbouï attend en détention provisoire de savoir si elle sera inculpée pour avoir peint le mot «FEMEN» sur le muret d’un cimetière à Kairouan (150 km au sud de Tunis) pour protester contre un rassemblement de la mouvance salafiste. «On devrait en savoir plus dans les semaines à venir», a indiqué Me Bahri, qui la représente aussi. Si elle est inculpée, Amina risque deux ans de prison pour profanation de sépulture et six mois pour atteinte aux bonnes mœurs. Ces peines peuvent être considérablement alourdies si Amina est reconnue coupable d’avoir agi en bande organisée.
L’opposition laïque accuse régulièrement le gouvernement dirigé par le parti islamiste Ennahda de chercher à juguler la liberté d’expression et de viser à revenir sur les acquis des Tunisiennes. Les femmes en Tunisie bénéficient de la législation la plus libérale du monde arabe.
La libération des Femen intervient alors qu’une visite du président français François Hollande serait prévue pour début juillet. Dans ce contexte, les avocats d’associations islamiques ont estimé mercredi que des pressions ont été exercées sur le tribunal pour que les militantes de Femen soient jugées plus rapidement en appel. Me Seifeddine Makhouf a jugé que «des pressions exceptionnelles (ont été exercées) sur le ministère public pour fixer une audience le plus rapidement possible».
De source http://www.liberation.fr/monde/2013/06/26/tunisie-les-femen-condamnees-vont-etre-liberees_914033
26 juin 2013 à 22:22 (Mis à jour: 27 juin 2013 à 07:32)
Par AFP
Les #FEMEN pourraient avoir besoin d'explications :-) pic.twitter.com/7D0DiJZBsk
— Bruno Kant (@bkant) June 27, 2013
🔵 FEMEN-POUTINE Une militante a elle été arrêtée à Kiev, alors qu'elle se moquait du divorce du président russe pic.twitter.com/xth0HpfHTg
— infos140 (@infos140) June 7, 2013
Un peu plus fières, et sans safsari #LOL RT @FEMEN_Movement Arrivée en France des trois Femen libérées dans.. @BFMTV http://t.co/gxOzWNoZdA
— Bruno Kant (@bkant) June 27, 2013
#Tunisie: #Femen au ministère de l'intérieur quelques heures avant leur départ vers l’Europe http://t.co/bIDi1knqgE pic.twitter.com/bMEtFjC8QH
— tunisie14.tn (@tnAlerte) June 27, 2013
Les trois Femen de retour de Tunisie en conférence de presse. pic.twitter.com/W3Px85eqUH
— Quentin Girard (@quentingirard) June 27, 2013
Après avoir répété plusieurs fois qu’évidemment elles...
Puis ensuite, elles ont expliqué qu’elles ne retourneraient pas en Tunisie :-)
Extrait de source http://www.liberation.fr/monde/2013/06/27/les-femen-liberees-nous-ne-regrettons-rien_914232?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
Monde
La Pussy Riot Maria Alekhina reste en prison
23 mai 2013 à 21:36
La blonde Maria Alekhina restera en prison. La justice russe a rejeté hier la demande de libération anticipée de la militante du groupe contestataire Pussy Riot condamnée l’été dernier à deux ans de prison pour avoir chanté un psaume anti-Poutine dans la cathédrale orthodoxe de Moscou. Le tribunal a suivi l’avis d’une responsable de la prison qui a critiqué hier, lors de l’audience, le «manque d’initiative dans les tâches ménagères» de la jeune mère de famille et fait valoir qu’elle ne manifestait aucun repentir. Interdite d’audience, la détenue de 24 ans avait commencé mercredi une grève de la faim et interdit à ses défenseurs de se présenter au tribunal.
En décembre, la jeune femme avait dénoncé dans une lettre les conditions de vie dans son camp de travail de Perm, dans l’Oural, où les prisonnières doivent coudre douze heures par jour pour 25 euros par mois. Fin avril, Nadejda Tolokonnikova, l’autre membre des Pussy Riot toujours emprisonnée, s’était elle aussi vu refuser une demande de libération anticipée par un tribunal de Mordovie.
De source http://www.liberation.fr/monde/2013/05/23/la-pussy-riot-maria-alekhina-reste-en-prison_905239
Another member of the notorious collective, Maria Alyokhina, shares a similar point of view: "If religious people were offended with the fact that we went behind the enclosure and climbed onto the pulpit, having it in mind as the stage, then I apologize for that..."
The key word here is "if." It means that they did not even expect that, for example, the chorus of the song with the words "Holy shit," sung in the church, could actually "hurt someone", not to mention a piece of advise for Mother of God to become a "feminist."
It is clear that the grown-up girls were putting the emphasis on "drive Putin away." This is the reason why the girls say that they became victims of their "political bravery." However, they acknowledge: "Since its appearance in October 2011, the band has played concerts in the subway, on the roof of a trolleybus, near the detention center for administrative detainees, at clothing stores and fashion shows and on Red Square ... "
For those who do not know - the girls were singing more expressive songs at those concerts, and "Mother Mary, drive Putin away" can only pale in comparison. However, the "revengeful regime" did not touch the punk band for some reason.
Extrait de source http://english.pravda.ru/russia/politics/02-08-2012/121827-pussy_riot-0/
Anti-Putin punks declare innocence, regret at trial
By Anna Malpas (AFP) – Jul 30, 2012
MOSCOW — Three members of an all-girl punk band voiced regret Monday for causing offence by performing an anti-Vladimir Putin song in Russia's main Orthodox cathedral but said they were innocent of the charges.
The three women -- who face up to seven years in jail if found guilty of hooliganism -- said they had wanted to change Russia with their action but could have made an "ethical" mistake by offending worshippers.
Initial hearings in the trial earlier this month saw the court order the three members of Pussy Riot, who are all in their 20s, to stay in detention until January 2013, a move their supporters condemned as travesty of justice.
All three told the judge at the Khamovnichesky court in Moscow they were innocent of the charges, in a process that is growing into a landmark event in the struggle between President Putin and Russia's emboldened opposition.
In February, Nadezhda Tolokonnikova, Yekaterina Samutsevich and Maria Alekhina climbed into an area reserved for priests in the Church of Christ the Saviour and performed a "punk prayer" against Putin.
They were arrested in March and charged with hooliganism motivated by religious hatred of Orthodox believers. Several others also took part in the protest but were never arrested.
The three have been held in detention ever since and their case has been taken up by celebrities including pop star Sting and US rockers the Red Hot Chili Peppers and become a new rallying cause for the opposition against Putin.
After the three women, all dressed casually, confidently gave their names, places of residence and birthdates, their lawyer Violetta Volkova read out handwritten statements in their names.
"It (the action) was a desperate attempt to change the political system. We had no intention of insulting people. We did not expect our punk appearance would cause offence," said the statement by Tolokonnikova, 22.
"The fact we do not accept guilt in the charges does not mean we are not ready to admit our mistakes. If someone was insulted then I am prepared to accept that we made an ethical mistake," her statement said.
They said the motivation for their action was a protest against the support in elections for Putin by Russian Orthodox Patriarch Kirill which was against the principles of Russia's secular constitution.
Samutsevich, 29, added: "The main theme of all our texts was not (Orthodox Christianity) but illegitimacy of the elections".
"I don't understand the ideology of the prosecution," 24-year-old Alekhina said. "I don't understand why a conclusion is made about our motives."
Amnesty International called for release of the women.
"This trial should never have taken place," Europe director John Dalhuisen said in a statement. "The trial is clearly politically motivated."
In a bid to show transparency, the court started broadcasting the proceedings live online on http://hamovnichesky.msk.sudrf.ru/ although the footage did not show the faces of the judge or prosecutors.
However at the prosecution's request, the judge ruled that the broadcast will be halted during questioning of witnesses or defendants.
The judge also ruled that no defence witnesses would be called, and spent the rest of the day questioning those who had complained about the Pussy Riot performance.
"They kicked their legs so high that you could see everything from the waist down," said Lyubov Sokologorskaya, a candle seller in the cathedral, voicing hope that the women's punishment is "fitting so that they never again want to do something like this... so that they are afraid".
In an interview with The Times newspaper published Monday, Prime Minister Dmitry Medvedev called for calm over the case, but acknowledged that it had "resonance" for the public.
The trial is being held in the same court that in 2010 saw the second trial and conviction of Putin foe and the former head of the Yukos oil giant Mikhail Khodorkovsky on fraud charges.
De source http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jT2XfmzU0g-Y86YUjR8B31snMx_A?docId=CNG.c14db464c466087623f688df3e48169a.91
On se réjouit de la libération de Pauline, Marguerite et Josephine de @Femen_France! On attend maintenant celle d'Amina et de Weld El 15.
— Charlie Hebdo (@Charlie_Hebdo_) June 27, 2013
@DianeDCD Les pires Prison de France http://t.co/r83D6T6C2W @weLoveUfunk @ModeBULB @LaBombeH
— Bruno Kant (@bkant) June 27, 2013
Femen françaises. "Etre une prisonnière en Tunisie" http://t.co/FYzgc4K13k Prochain documentaire: "Nos seins, nos soutiens, nos armes" :-)
— Bruno Kant (@bkant) June 28, 2013
#Femen l’Ambassade de France à Tunis dément "leur avoir conseillé de s’excuser" & leur avocat surpris par leur propos http://t.co/Lngyu87CU6
— Sarah Ben Hamadi (@Sarah_bh) June 28, 2013
@Femen_France Coucou! T'en dis quoi? :-) RT @HuffPostMaghreb Tunisie: Les Femen polémiquent http://t.co/HcFggxsTCb #FEMEN
— Bruno Kant (@bkant) June 28, 2013
Le MDH réfute les allégations des Femen à propos des conditions de leur détention http://t.co/QvoYVB78RN
— Tuniscope (@TUNISCOPEcom) June 28, 2013
Femen activists jailed in Tunisia retract apology - The Guardian http://t.co/KTk0WxMtSX
— Tunis 247 تونس (@tunis247) June 28, 2013
Topless Tunisian Protester 'Facing Two Years In Jail' After Femen Protest http://t.co/wCMRs7Kbod via @HuffPostUK
— Syed Talha Warsi (@Syed8528) June 28, 2013
"Si on a été libérées, c probablement parce qu'on est françaises", reconnaissent les Femen http://t.co/f6jiEKdpN7
— elodie auffray (@elodieauffray) June 28, 2013
Excellent, comme toujours. Lettre ouverte d’une tunisienne aux Femen: nous ne sommes pas l'AFGHANISTAN http://t.co/Fggna4fv9U
— BsiLiAdeL (@BsiLiAdeL) June 28, 2013
RT @Hatemach #Amina #Femen MILITANTE MÊME DEVANT LA COUR pic.twitter.com/FY2HuprPJD
— Bruno Kant (@bkant) July 4, 2013
@Nadhim66 #Amina de Femen défie encore une fois les traditions http://t.co/ellb9mkQRJ "Certaines croyaient que c’était une obligation"
— Bruno Kant (@bkant) July 4, 2013
RT @Hatemach #Amina #Femen photo de la cour pic.twitter.com/jGze7aIKj9
— Bruno Kant (@bkant) July 4, 2013
RT @virginie_herz: #ActuElles #Tunisie #Amina refuse de se voiler au #tribunal http://t.co/okfJu8p0MS via @benmhennilina @observateurs
— FRANCE 24 (@FRANCE24) July 4, 2013
Visite délicate pour François Hollande en Tunisie http://t.co/mMQVWphMoJ
— Bruno Kant (@bkant) July 4, 2013
#Amina #Femen #Procès La cour de Sousse a refusé la relaxe de #Amina, le verdict est attendu jeudi 11-7-13
— Achache Hatem (@Hatemach) July 5, 2013
Solweig, l'activiste Femen interpellée à Toulouse témoigne http://t.co/vdKUcKbyNE Elle évoque "un geste politique", pas une exhibition.
— Bruno Kant (@bkant) July 7, 2013
La nudité (1/5): Usage politique et militant de la nudité (partielle, ou quand on est une #femen) http://t.co/WvhC2iciij A environ 22'00"
— Bruno Kant (@bkant) July 8, 2013
"Nous nous sommes rendu compte que personne ne nous écoutait" #tweetprécédent Alors elles ont montré leurs tétons :-) #FEMEN
— Bruno Kant (@bkant) July 8, 2013
«Tu veux que je me mette à poil?» «Le journaliste acquiesce et promet de revenir avec... http://t.co/pcWN8CfyT1 #FEMEN Et voilà :-)
— Bruno Kant (@bkant) July 8, 2013
Inna Shevchenko : "Le siège principal des Femen est à présent en France" - http://t.co/WHgmuPTbuS via @Dailymotion
— POMAREL Marc (@MarcFanlac) July 8, 2013
#TUNISIE. #Amina, toujours emprisonnée, de nouveau condamnée http://t.co/ShDmj0kcFr via @LeNouvelObs
— city zen (@tunizen) July 11, 2013
#LOL RT @Femen_France: FEMEN retournera dans des pays arabo musulmans. FEMEN retournera affronter des dictatures. FEMEN ne s'interdit auc...
— Bruno Kant (@bkant) July 12, 2013
Pauline, une #Femen, raconte http://t.co/EPtRY29k3M "Quand le verdict est tombé ... ça a été terrible. Un véritable coup de massue."
— Bruno Kant (@bkant) July 12, 2013
@supersupernaze Pour cette année, il existera :-) https://t.co/RCnMnedCaW @ManuBresset
— Bruno Kant (@bkant) July 15, 2013
@femenInna s'en prend au ramadan et à l'islam http://t.co/OiavIpbGsk "les Femen revendiquent le caractère anti-religieux de leur combat"
— Bruno Kant (@bkant) July 16, 2013
@femenInna "pas islamophobe, mais religiophobe" http://t.co/HSwIU9FoMH @femen_France bientôt au mur des lamentations? http://t.co/65qACsMON0
— Bruno Kant (@bkant) July 18, 2013
La France et la liberté de religion ou de conviction http://t.co/EYAMCcgJnt #FEMEN
— Bruno Kant (@bkant) July 18, 2013
A la Mosquée de Paris #LOL le message d'«affection» de Valls aux musulmans http://t.co/u1iHuAMpzp Aucunes insultes échangées? Pff... #FEMEN
— Bruno Kant (@bkant) July 18, 2013
Les #Femen religiophobes? Caroline Fourest préfère les lâcher... http://t.co/HlxBRUEsXG "Un «retournement de veste» malvenu ?"
— Bruno Kant (@bkant) July 20, 2013