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Enlèvement de l'avocate de son ex-mari : juste une brève
Cette semaine, la presse française a brillée à l'audience. Un journaliste était convoqué aux assises de Melun, en appel, où il a été un peu chahuté par les parties civiles. La presse y brillait également par son absence, je n'y ai remarqué aucun autre journaliste. Il est possible que les directions des journaux avaient estimé que la couverture de cette affaire de divorce houleux puis d'enlèvement et de séquestration d'une avocate avait déjà été suffisamment couverte, ou qu'il était inutile de nous rappeler encore qu'on ne doit pas toucher aux gens de robe... Depuis hier, sur Internet, je n'ai repéré qu'une unique brève AFP, diffusée seulement par BFMTV, le service d'information réduit à son minimum, pudique, retenu. De Google :
Enlèvement de l'avocate de son ex-mari: 15 ans de réclusion en appel
BFMTV.COM - 16 avr. 2016
Chantal Clos, une femme de 58 ans qui avait enlevé en compagnie de sa fille l'avocate
de son ex-mari fin 2009, a été condamnée vendredi à 15 ans de ...
Il y a 15 jours, j’apprenais par hasard que suivrait ce procès en appel. Puis je recherchais et contactais l'avocate qui allait défendre Chantal Clos. Je lui expliquais déjà un peu qui j'étais, et que Chantal m'avait soutenu par le passé, dans un moment délicat : un service d'ordre ainsi qu'une foule s'étaient précipités sur moi pour m'arracher une banderole. Chantal Clos avait été des tous premiers à s'interposer, je ne l'ai pas oublié. Puis après discussions dans la foule, j'avais pu rester sur place et conserver ma banderole, déployée. Le contenu de ma banderole était injurieux envers le chef de l'Etat, inspiré par l'actualité d'alors et Lily Allen, j'avais pu préciser pourquoi : « Fuck You - Sarkozy - Very Much ». Cette banderole était restée déployée au cours de l'inauguration de la place des droits de l'enfant, dans Paris, pour les 20 ans de la Convention internationale des droits de l'enfant. C'était fin 2009, où ce procès en appel à Melun nous renvoyait. En janvier 2010, pour l'avoir déployée aussi plus tard, devant le barreau de Paris, la banderole m'avait valu un rappel à loi que je connaissais déjà.
Après hésitations, de longues réflexions, je décidais de me présenter à l'ouverture du procès ainsi que de suivre ces audiences afin de soutenir Chantal Clos en retour, ce que je ne regretterais pas. Par le passé, mes propres soutiens ont le plus souvent été rares ou distants, lointains, ça ne s'oublie pas. Le lundi, les parties civiles ont été surprises par mon arrivée, étaient réticentes ; la présidente des assises n'excluait pas que je puisse témoigner. Plus tard, je suis allé glisser trois mots aux parties civiles, ensuite j'allais pouvoir être entendu par le tribunal, plus personne ne s'y opposait. Je ne connaissais pas Maître Pascaline Saint Arroman-Petroff, je n'avais jamais été confronté à elle, je n'allais à ce procès que pour y témoigner en faveur de Chantal Clos.
Ce sont des idéaux qui m'ont amené là bas, ce que j'ai précisé au tribunal. Fin 2009 et en 2013, à son premier procès, je n'avais lu que des papiers à charge contre Chantal Clos, et rien ou pas grand chose pour elle. Elle avait alors été présentée misandre, haineuse, encombrante aussi. Au cours des audiences en appel, avant mon témoignage, un portrait similaire avait été dressé d'elle. Chantal Clos, misandre, encombrante ? Juste avant mon propre témoignage, un homme expliquait devant le tribunal que Chantal Clos lui avait sauvé la vie, puis qu'ensuite, ils avaient noué des liens forts. Il avait été dit et décrit aussi que pour arrondir ses fins de mois, Chantal Clos entassait des encombrants chez elle et dans son immeuble, que cela avait agacé son voisinage. Après m'être présenté sommairement au tribunal, j'ai réagit à ces points, expliqué également comment Chantal Clos et moi même avions fraternisé malgré nos histoires et divergences d'opinions, malgré mes propres histoires, même si je suis un homme. Puis comment Chantal Clos m'avait soutenu lorsqu'une foule s'était précipité sur moi pour m'arracher ma banderole.
J'ai pu expliquer aussi au tribunal que certaines décisions de justice pouvaient être difficiles à lire, que pour y parvenir, j'avais moi-même beaucoup étudié, travaillé, et que pour luter, j'utilisais les tribunaux, où j'ai remporté des victoires. Que j'avais gardé des distances également des milieux associatifs qui m'ont toujours paru dangereux, que les tentations, les provocations, des incitations ou les dérives n'y sont pas rares. Puis j'ai précisé encore que fin 2009, Chantal Clos m'avait semblé isolée, seule, et que ce n'était pas le cas à d'autres périodes. J'avais fréquemment croisé Chantal Clos entre 2007 et 2009, au cours de manifestations et de rassemblements féministes ; j'y discutais beaucoup avec qui voulait de protection de l'enfance, des difficultés que ces « services publics » posaient à mes enfants, des filles, à ma famille, j'avais une compagne, une femme. Dans Paris, plus d'une féministe était réceptive et toutes étaient tolérantes, je n'y ai jamais été chassé ni même été pris à parti par aucune d'elles. Des misandres, des haines ? Mais mes discours dans Paris et ailleurs ne portaient pas souvent sur le divorce et sur la résidence alternée...
Le tribunal a reçu mes « renseignements » ; j'ai bien senti que j'allais devoir être bref et concis, j'ai pu me présenter, parler quelques minutes, puis j'ai été coupé. Ont suivi des questions. J'avais déjà insisté sur les encombrants, car il ne s'agissait pas « d'ordures » selon des descriptions qui en avaient été faites. Alors qu'elle avait été dépeinte misandre, j'ai encore rappelé, insistant, qu'elle et moi, nous avions fraternisé, puis qu'elle m'avait soutenu. La présidente a souhaité savoir si Chantal Clos m'avait parlé de ses projets, fin novembre 2009. J'ai répondu que je l'aurais dissuadée, que souvent, des gens m'ont par exemple parlé d'enlever des enfants, qu'à chaque fois je les avais dissuadé. Beaucoup plus tard, dans son réquisitoire, le ministère public n'a pas parlé d'ordures ou d’encombrants, mais simplement de « cartons », et il me semble que Chantal Clos n'a pas été qualifiée à nouveau de misandre.
Au cours des deux premiers jours d'audience, la présidente a fait un gros travail didactique. D'abord pour les jurés, je suppose, ainsi que pour discuter plus facilement avec Chantal Clos. La fille et les proches de Chantal suivaient les audiences, ils ont pu en profiter également. Il a rapidement été question de SAP, du Syndrome d'Aliénation Parentale, de non représentation d'enfants, de violences conjugales puis d'un divorce aux torts partagés, d'interprétation de faits anodins, de faux souvenirs, puis même de mensonges... On aurait pu se croire au plus récent procès de Daniel Legrand mais auquel la presse, les militants et militantEs, Serge Garde, Marie-Christine Gryson et Hélène Romano auraient été absents ! Le lundi, Chantal Clos acceptait une remarque, une affirmation de la présidente : elle avait pu se tromper et mal interpréter un unique « guili au minou » alors que l'enfant avait pris un bain, avait été lavée par son père.
Le mardi, une chercheuse engagée du CNRS ayant une parfaite connaissance du sens et du poids des mots est arrivée contrainte, sommée de comparaitre. J'ai sourit. Elle a assurée que personne dans son milieu ne contestait ses travaux, qu'elle était reconnue par ses pairs, et elle refusait d'entendre, était tout à fait imperméable aux critiques pourtant très bien fondées des avocats des parties civiles ! Implicitement, la militante du CNRS affichait un franc soutient de Chantal Clos. Pour elle, l'histoire telle que rapportée par Chantal Clos semble être emblématique et représentative des violences faites aux femmes, un ouvrage pourrait d'ailleurs un jour paraitre... Suite à son témoignage, Chantal Clos m'a parue reconnaissante et redynamisée, il m'avait même semblé que tout le travail didactique effectué jusqu'alors par la présidente des assises avait pu être balayé dans l'esprit de quelques uns.
Un journaliste d'une grande agence de presse - il en a tu le nom, on se bien demande pourquoi... - a également été convoqué. Face aux critiques de la partie civile, il a répondu qu'il vérifie toujours ses informations. J'ai encore sourit, je connais bien nos journaux et journalistes, je l'ai d'ailleurs bien évoqué lorsque je « renseignais » le tribunal.
Une militante était également convoquée. Elle expliquait qu'elles s'étaient éloignées de Chantal Clos, affirmant qu'en tant que présidente de son association « ICW collectif des mères », elle ne parlais plus et que trop de ses difficultés et affaires personnelles. Il devait s'agir de l'isolement de Chantal Clos que j'avais moi-même bien perçu, fin novembre 2009. Poursuivant, cette militante féministe a irrité l'avocat de Pascaline Saint Arroman-Petroff, provoquant un incident puis une suspension d'audience. La militante avait affirmé qu'elle même avait envisagée de s'en prendre à un avocat, un discours parfaitement inacceptable pour l'avocat de la partie civile. Entre militants, tout peut se discuter ; la présidente des assises avait pour sa part rappelé la liberté de parole à l'audience. Même si c'est inaudible pour certains, inacceptable, il arrive bien parfois que le sujet soit discuté.
#avocats @Pedopolis @JMucchielli Elle m'avait dit que lorsqu'un avocat ou un magistrat se ferait trouer la peau, il y aurait enfin débats.
— Bruno Kant (@bkant) 1 avril 2016
Longtemps (et encore...) soutenue par des militants et militantEs aux discours parfois radicaux, après avoir été déboutée par la justice, puis lâchée, isolée, et même indésirable puis expulsée de son logement, Chantal Clos, avec sa fille, s'en étaient donc prise à Maître Pascaline Saint Arroman-Pertroff, une figure ayant oeuvré en faveur de l'autorité parentale conjointe, une avocate intervenue dans sa propre procédure de divorce, aux cotés de son mari. Au cours de ce second procès, Chantal Clos n'a pas souhaité reconnaitre la préméditation, selon elle, en décembre 2009, tout se serait enfilé par pur hasard... Sur les échanges entre la victime et les auteurs à la période des faits, les déclarations de Chantal Clos m'ont parues fluctuantes, changeantes, aujourd'hui peu crédibles, sinon imprécises, aujourd'hui lointaines.
Chantal Clos qui masquait son identité lors des faits affirmait quelle parlait alors de ses dossiers et difficultés, de son divorce et davantage. Pascaline Saint Arroman-Pertroff affirmait qu'elle a été frappée, sonnée, ficelée, ballotée à l'arrière d'un utilitaire, par moments bâillonnée la tête enfuie dans une écharpe, houspillée pour ses engagements, qu'elle a bien senti quelques fois la mort de près, a fini attachée dans un bois, la nuit, dans la neige et par -4 à -12°C, avec un demi Temesta, abandonnée « entre les mains de dieu » après avoir été séquestrée pendant 30 heures. L'avocate finissait par ronger ses liens, par sortir du bois, par trouver par hasard une maison habitée, puis par faire appeler son conjoint. D'autres faits encore ont déjà du paraitre dans des journaux et la presse à sensations. Selon la police, le crime était presque parfait, les auteurs ne laissaient aucune trace, puis rien qu'un détail sur leur identité, un prénom peu commun.
En première instance, à Paris, Maître Patrick Maisonneuve plaidait l'irresponsabilité pénale. Le parquet avait requis 12 ans de prison, le tribunal avait condamné Chantal Clos à 15 ans qui ont donc été confirmés, ce vendredi, à Melun, avec encore pour circonstance aggravante que la victime est avocate. Les 15 ans sont assortis de 8 ans de contrôle judiciaire, ainsi que de 5 ans de prison en cas de non respect. Le parquet a estimé que Chantal Clos était accessible à une peine de prison car elle semblait avoir gardée suffisamment sa tête pour la préparation ainsi qu'au cours de la commission des faits... Seule Chantal Clos avait fait appel, sa fille n'ayant été condamnée qu'à 5 ans avec sursis en première instance - une chance qui pouvait être accordée à la jeune fille, selon Pascaline Saint Arroman Petroff, aujourd'hui toujours très inquiète par un risque de récidive de la part de Chantal Clos, du fait d'une de ses écritures de tout début 2010.
A Melun, Maître Aurélie Bousquet allait tenter de faire valoir les avancées psychologiques de Chantal Clos depuis son incarcération, elle accepte, adhère à ses soins sous contrainte, même si elle multiplie encore ses recours et plaintes en prison, dont pour s'en extraire. S'opposant, et après avoir rappelé quelques fois où étaient installées les victimes, les parties civiles, leurs trois avocats, ont finement argumenté, répondant que Chantal Clos tentait de manipuler le tribunal. Aux douleurs, aux difficultés anciennes et nouvelles, à l'histoire et au lent déclin décrit par Chantal Clos pour sensibiliser le tribunal, les parties civiles ont aussi opposé l'effondrement soudain, fin 2009, d'une avocate et de bien plus.
Je pense qu'il aurait été possible également de faire valoir aisément à Melun que Chantal Clos ne s'y est jamais élevée à nouveau contre « un membre actif de l'institution criminelle judiciaire ». Chantal Clos aurait aussi pu essayer de s'y souvenir mieux, d'en dire un peu plus sur ses motivations et le déroulement des faits, ce qu'attendaient et réclamaient les parties civiles. Je pense encore que la dimension politique, littéraire, associative, fantaisiste et médiatique dans laquelle Chantal Clos a très longtemps barbotée a été négligée ou ignorée à Melun. Peut-on aisément et durablement garder la tête sur les épaules lorsque tout autour de soi dérive, dérivait, prend toujours l'eau, chavirait, sombre et sombrera encore ?
J'aurais pu plusieurs fois bondir, réagir, parfois éclater de rire aussi au cours de ces audiences, car franchement amusé ou profondément agacé par des discours. Je me suis contenu, il n'était pas question pour moi de me faire expulser de la salle. Je n'arrivais pas là bas pour militer ou réagir, ce que j'avais d'ailleurs également expliqué en « renseignant » le tribunal.
« La cour a estimé qu'il s'agit d'une personne à mettre à l'abri d'elle-même et des autres », a commenté Maître Nathalie Roret... Après le délibéré, j'ai appris à Maître Bousquet qu'en 2013, j'avais interrompu une messe du porte parole de l'église catholique, puis qu'ensuite j'avais été arrêté perché sur le toit de Beaubourg, au coeur de Paris. Que j'avais suite à cela moi même été enfermé, où j'ai milité encore, contre et contre l'avis de ceux qui me retenaient. « Ah, vous êtes comme cela, vous ? », m'a-t-elle répondu... J'essayais de lui expliquer ensuite que le traitement que la préfecture de police de Paris, des psys et les tribunaux m'avaient infligé en 2013 aurait pu être appliqué à Chantal Clos, qu'elle aurait pu en profiter pleinement si elle en avait pu en bénéficier avant le mois de décembre 2009 et ses passages aux actes.
19 commentaires
Un extrait. Instructif, tout ce qu'on peut encore lire par là, qui doit dater de 2010: https://t.co/dRDBudP7C5 pic.twitter.com/l2HU3UcCEn
— Bruno Kant (@bkant) 18 avril 2016
Extrait encore. Ca se parlait, par communiqués: https://t.co/1YFZmFGDOP pic.twitter.com/148CCKaJT6
— Bruno Kant (@bkant) 18 avril 2016
Melun/ Chantal Clos condamnée à 15 ans de prison FERME pour s'en être pris à l'avocate ayant défendu l'agresseur sexuel désigné par sa fille
— SOS les Mamans (@SOS_les_Mamans) 15 avril 2016
Le manque de #moyens, on connaît! Dans #LeParisien du jour, illustrations de ses conséquences pour les justiciables. pic.twitter.com/jjVgXr7wgK
— Ex-MaitreRenard (@_maitrerenard) 18 avril 2016
Comme je l'ai moi même dit à la cour, au mois de novembre 2009, Chantal Clos était seule et sereine. Pas du tout agressive, malgré le contexte (un colloque sur l’intérêt de l'enfant, puis un discours d'inauguration de la place des droits de l'enfant).
C'est bien la partialité ou des propos excessifs parus dans la presse, à charge contre elle, que j'avais perçus et qui m'ont poussés à venir à Melun, témoigner pour elle.
Saint-Arroman n'est qu'une avocate, elle n'a de pouvoir de vie ou de mort sur personne.
Trouvé. Raté, l'appel. Le b.a.-ba: https://t.co/KoMeEUIY4u pic.twitter.com/7ZfBbjAa9c
— Bruno Kant (@bkant) 19 avril 2016
Les cours de philo, je crois que c'est au lycée que ça commence... https://t.co/atOlgis4fN pic.twitter.com/Ph0G6Fr93V
— Bruno Kant (@bkant) 19 avril 2016
Respecter l’autorité, d’accord... Et nos magistrats, ils ont évolué? #ASE #éducspé https://t.co/Su1piri5w4 pic.twitter.com/I5h4hsfGbY
— Bruno Kant (@bkant) 21 avril 2016
Il menace de mort un éducateur et un policier
— Bruno Kant (@bkant) 21 avril 2016
Justice - Embrouille familiale à Carmauxhttps://t.co/xs77A7XE9D #ASE #educspé
Read my current French @maglarecherche cover feature about #FauxSouvenirs for free here; https://t.co/p4c0YhUBG4 pic.twitter.com/iC3Vk0hGIu
— Dr Julia Shaw (@drjuliashaw) 22 avril 2016
https://t.co/HQ9D6Yi8Go @outreauvo @drjuliashaw :-) pic.twitter.com/BR7qs4CupU
— Bruno Kant (@bkant) 22 avril 2016
#ASE #educspé @drjuliashaw @outreauvo Une secte: @OSE_France
— Bruno Kant (@bkant) 23 avril 2016
Simply unacceptable @drjuliashaw for many of our activists :-) #LMEF #avocats pic.twitter.com/yZ4wJDRhD4
— Bruno Kant (@bkant) 23 avril 2016
@PlumpyLady Il faut savoir lire @patricjean, qui milite, dont contre "la coparentalité" :-) @Groispois pic.twitter.com/Hn6Visf7NH
— Bruno Kant (@bkant) 24 avril 2016
"Petit con": la stratégie de défense de l'avocat d'Abdeslam sera-t-elle payante ? https://t.co/fSQ3xXFa9V via @LObs
— SousLaRobe (@herminator71) 28 avril 2016
C'est rigolo. @lpenou @occileto2 @guillaumefrouin @PressPepper Quel journal nous raconte quoi? #journalisme pic.twitter.com/W2NB6JDQpC
— Bruno Kant (@bkant) 29 avril 2016
Procès de Michel Neyret : «Je me suis laissé manipuler» https://t.co/LCW31ZoZwV "exercice de contrition qui n'a guère convaincu le tribunal"
— Bruno Kant (@bkant) 3 mai 2016
@javerous @EnDirectDuLabo @DrTrollkiller @marinebab Étonnante discrétion de ces militants au procès de Chantal Clos. pic.twitter.com/6off4lJtTe
— Bruno Kant (@bkant) 6 mai 2016
https://t.co/IOhEOyeGZc @emmelinebriet @c_capdevielle @WCM_JustSocial
— Bruno Kant (@bkant) 22 mai 2016
"la justice restaurative" tente de s'implan.. pic.twitter.com/DMiCoTo2sy
Extrait de la décision Jacqueline Sauvage, à l'usage de ceux qui veulent se renseigner avant d'avoir une opinion. pic.twitter.com/6xoqDcTCQE
— Professeur Bang (@ProfesseurBang) 12 août 2016
Vous, je ne sais pas. @ProfesseurBang @encoravocat Moi, ça me fait sourire. pic.twitter.com/wOnwSZHbNu
— Bruno Kant (@bkant) 12 août 2016
Quand on assume une mauvaise défense on l'assume jusqu'au bout c'est ça ? Ainsi #JacquelineSauvage reste en prison https://t.co/m9CR8zjtIg
— Maître Corbeau (@CorvusAvocatus) 12 août 2016
"Être avocat, messieurs...", la tribune de Jean-Denis Bredin publiée en 1976 n'a pas pris une ride. Pas une. pic.twitter.com/Na9ys9fbHF
— Riiingmybells (@Riiingmybells) 20 février 2017