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Des nouvelles de la secte
Dans l'ombre du disparu • Frères et soeurs d'enfants recherchés, ils ont grandi entre espoir et resignation • « Officiellement, c’était une demi-sœur, mais c’était une vraie sœur quand même. Je n’ai pas eu de demi-peine, de demi-angoisse, de demi-douleur. » • France Info
Le monde où l'enfant n'est plus paraît hostile, rempli de morsures quotidiennes : les rentrées scolaires, Noël, les anniversaires, les copains qui grandissent, les autres mères avec leurs enfants... L'entourage, souvent, a du mal à trouver les mots, et fait parfois preuve de maladresse : « Je ne sais pas comment tu fais. Moi, je ne pourrais pas... » « Allez, vous êtes jeune, vous ferez un autre bébé. » • Elles ont surmonté la disparition de leur enfant, Marie France
Ma fille ainée avait donc été raflée puis donnée par la Ddass, à ses tantes maternelles qui la réclamaient, obstinément ; c'est décrit dans mon blog, sur une période de plus de 10 à 15 ans. Mon aînée disparaissait vers la mi-2005... Puis pendant quelques années, mon aînée était « placée » au presbytère d'Uhrwiller puis à peine plus loin, chez Isabelle et Pascal Clementz, tata et tonton. Isabelle est pasteur protestant, à la perception apocalyptique du monde, Pascal est médecin, généraliste. Tout avait été organisé par la Ddass afin d'interdire et rendre impossible de quelconques relations entre ma fille ainée et moi, son père, ainsi que entre mon aînée et ma famille, dont une petite soeur. Et pendant tout ce temps, dans des déluges très réguliers d'hostilités à mon encontre, avec des travailleurs sociaux, Isabelle et Pascal s'affirmaient garants de tout ; de la santé, de la scolarité ainsi que de « la relation père-enfant » de mon ainée ; tout avait été bâclé, foiré, avec la complicité et la complaisante insouciance de la magistratüre de ce pays.
Isabelle et Pascal avaient eux-même une fille, unique. Cette dernière vient de s'éteindre, à 23 ans à 21 ans. Dans des circonstances qui me rappellent assez la disparition subite de la mère de ma fille ainée. Il me plait beaucoup qu'ils aient à revivre une telle déchirure. Après celle-ci, le pasteur et le généraliste comprendront peut être un peu mieux encore ce que peut signifier la disparition d'un enfant.
Pour le moment, je n'ai lu que peu de choses au sujet des circonstances du décès de Carla Clementz. Peut-être un couac en clinique, à moins qu'une petite fragilité qui aura échappée à tous. ll n'existe encore que quelques mots sur Facebook. Il paraitra peut être des lignes de plus dans les Dernières Nouvelles d'Alsace, rubrique faits divers ou aux pages Haguenau, bientôt, après les investigations d'usage ; ainsi qu'un faire part de décès.
De source Facebook, un mot de la paroisse protestante d'Uhrwiller
Isabelle et Pascal ainsi que leurs plus proches, tous des voleurs, d'enfant et plus, devraient pourvoir s'en rétablir. Devant les juges, ils juraient qu'ils s'occuperaient toujours de mon aînée, qu'ils ne la lâcheraient jamais. Ca ira, elle est rodée, cette gamine d'à peu près le même âge que Carla leurs avait déjà bien servi de béquille après la mort de sa mère.
Ce n'est pas le premier décès qui m'émeut. Il y a quelques temps, vers mi-2011, dans Osmose, le journal de l'Oeuvre de Secours aux Enfants France (OSE), je lisais que l'une de leurs travailleurs sociaux, « courageuse, disponible, professionnelle et investie », « un pilier de l'équipe », s'était éteinte « des suites d'une longue maladie ». J'avais déjà publié beaucoup, ici, depuis 2005. Depuis 2011, j'attends, tranquillement, l'opportunité d'en discuter un instant avec la direction de l'OSE, voire même avec Richard Josefsberg, de l'OSE également.
C'est pratique, Internet et les réseaux sociaux. Il est facile d'y faire une petite veille. Ca m'avait aussi permis de constater que Xavier Serrier, magistrat, fait depuis quelques temps déjà carrière à une sous-direction, des ressources humaines du ministère de la justice, y occupant un poste d'adjoint. Il s'agit probablement de fonctions d'employé de bureau auxquelles aspirent tous jeunes talents ayant brillamment suivi et réussi le cursus de l'ENM, puis après avoir perdu pieds dans des prétoires.
10 commentaires
Je pense que c'est confirmé. Même si @dnatweets tardera à nous en dire quelque chose pic.twitter.com/q87wrZAUhX
— Bruno Kant (@bkant) 12 juillet 2018
#PQRMonAmour @dnatweets Dites, c'est normal, ce contenu de votre page faits divers - justice? pic.twitter.com/e9kdTzEK1c
— Bruno Kant (@bkant) 14 juillet 2018
https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417816&categorieLien=id
Section 1 : De l'enlèvement et de la séquestration.
Article 224-5. Lorsque la victime de l'un des crimes prévus aux articles 224-1 à 224-4 est un mineur de quinze ans, la peine est portée à la réclusion criminelle à perpétuité si l'infraction est punie de trente ans de réclusion criminelle et à trente ans de réclusion criminelle si l'infraction est punie de vingt ans de réclusion criminelle. ...
Faites attention à ce que vous écrivez sur les réseaux sociaux, ça pourrait vexer quelqu'un dont vous n'avez strictement rien à foutre.
— Remise à zéro (@Jesuislandeyves) 14 juillet 2018
Pépito is out (21:23:52) pic.twitter.com/Icy3Di2eEy
— Pépito (@PepitoTheCat) 15 juillet 2018
Ils «n’attendaient rien de ce jugement, sinon d’avoir des réponses qu’ils n’ont pas eues», ont-ils déclaré https://t.co/k84sHMENvo
— Bruno Kant (@bkant) 14 octobre 2019