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A l'attention du chef de l'Etat et de son Ministre de la Justice
Une lettre au juge pour enfant, postée ce 29 octobre 2010. Elle était dans le second billet que j'ai supprimé, par erreur.
A mon avis, au cours des prochains temps, tout le monde va encore en rester pantois, aphone, ou renvoyer aux « compétences » des magistrats du coin, Nanterre et Versailles. Ces prétoires sont encore bien empêtrés, on dit saisis de ce dossier « d'assistance éducative ». Depuis tout ce temps, je n'hésite pas à dire que l'OSE France ne rapportait pas dans l'intérêt de l'enfant, Justine, mais plutôt dans le but de sauver la Direction de leur établissement de Taverny.
L'OSE France n'a jamais contesté ou répondu à mes écrits et affirmations, en public. L'OSE France s'était toujours contenté de régler ses différends en chambre du conseil, ce qu'a également fait l'ARSEA Alsace, leur service AEMO Ostwald : en versant leurs rapports, fiel ou leurs repproches à mon encontre dans le dossier « d'assistance éducative » de ma fille Justine. L'ARSEA était encore explicite dans un rapport versé à Nanterre, en novembre 2009 : « ouin, il nous critique, sa critique est virulente, on ne veut pas travailler avec lui », « on préconise plutôt d'aider Justine à faire le deuil de son père idéal, et d'orienter Justine », « merci de confirmer, de proroger, et de nous donner encore carte blanche ».
Affaire 808/0170
Assistance éducative
Lettre ouverte
Monsieur le juge pour enfant,
Veuillez trouver ci-joint copies :
• d'une correspondance du 17 février 2005, du Docteur Philippe Babin, exerçant alors à Taverny,
• d'un arrêt du 17 octobre 2008, de rejet, mais motivé, rendu par la cour de cassation,
• d'un arrêt du 20 octobre 2010, tout aussi affligeant, qui casse et annule une décision de mai 2009,
• d'une lettre ouverte du 28 octobre 2010, parvenue à l'Elysée et au Ministère de la Justice
Par le passé, ma fille Justine était placée dans l'établissement de l'OSE France (l'OSE), à Taverny, le château de Vaucelles. Aujourd'hui, nous parlerons plutôt de la maison d'enfants Elie Wiesel. En décembre 2004, ma fille Justine affirmait qu'elle avait été passée à tabac ou cognée, la tête en première, au sol, dans cette MECS. Quelques temps plus tard, Justine m'informait qu'elle avait enfin été examinée par des médecins, notamment parce qu'elle se plaignait encore de vertiges, comme depuis fin septembre ou octobre 2004. J'avais écrit au Docteur Babin, il m'a répondu ; à l'époque, Monsieur Richard Josefsberg m'avait beaucoup et souvent repproché d'être entré en relation avec des médecins ou des services médicaux du secteur de Taverny.
Vers janvier 2005, l'OSE n'avait pas sollicité des médecins dans une logique de soins, en faveur de Justine. L'OSE s'était alors contenté de faire examiner Justine afin de rassembler des avis médicaux tendant à déresponsabiliser la Direction ou les travailleurs sociaux de Taverny : « Après plusieurs avis pris auprès de plusieurs médecins, il n'y aurait pas de liens entre les vertiges et la salmonelose. » Ces écrits de l'OSE du 28 janvier 2005 - copie au juge pour enfant, selon l'OSE - étaient alors même diffamatoires, à mon encontre, et quasi injurieux aussi, mais l'OSE a pu mal se relire : « Les vertiges dont nous n'avons jamais été témoins sont peut-être à rechercher ailleurs. » Par la suite, malgré l'éloignement du lieu de placement de Justine, je l'avais finalement moi-même faite examiner par un médecin ORL, à Taverny ; c'était préférable ; ce médecin ORL l'a suivie et aidée.
En lisant maintenant cette correspondance du Docteur Babin, du 17 février 2005, vous comprendrez peut-être un peu mieux pourquoi j'ai fini par être scandalisé, profondément outré à nouveau, par des décisions que vous même avez prises ou rendues, plus récemment.
Vous avez cependant pu constater que je n'ai plus fait appel de vos dernières décisions, par exemple, celle de juillet 2010. Mais la cour de cassation ayant rendu cet arrêt du 20 octobre 2010, qui casse et annule un arrêt du 22 mai 2009, de la chambre des mineurs de la cour d'appel de Versailles, j'attends à présent d'être convoqué à nouveau devant la cour d'appel de Versailles, autrement composée.
Je vous prie de croire, Monsieur le juge pour enfant, en mes plus cordiales salutations.
Depuis la fin 2009, je rappelle encore aux juges que Justine a des problèmes de santé... depuis l'automne 2004 ! Je crois que les juges ne veulent pas l'entendre. En 2005, les juges et les autorités françaises ne voulaient pas en entendre parler non plus. A ce jour, une seule chose parait être importante et crédible, aux yeux de certains de ces pitres en robes aux beaux rabats gauffrés : les prêches du pasteur d'Uhrwiller, les opinions des travailleurs sociaux et les avis choisis de deux « psys ». Personne n'a jamais commenté ce billet ou cet extrait du DSM-V, paru chez Masson, en 2008, un extrait que j'ai aussi porté à la connaissance des juges de la cour d'appel de Versailles : Un cas clinique, histoire d'en rire.
In Deutschland beschwert man sich stark über meine « Excentricitäten. » Aber da man nicht weiß, wo mein Centrum ist, wird man schwerlich darüber die Wahrheit treffen, wo und wann ich bisher « excentrisch » gewesen bin. • Nizza (France), 14. Dezember 1887 : Brief an Carl Fuchs • Nietzsches Briefe, 1887
Variantes...
Il faut se méfier des comiques, parce que quelquefois ils disent des choses pour plaisanter • Coluche
Ne pas savoir imaginer dans les bornes du réel est un art • Nihil Messtavic
7 commentaires
Xiaobao : "pas un sujet à aborder"
AFP, 04/11/2010 | Mise à jour : 19:25, extrait
La vice-ministre chinoise des Affaires étrangères, Fu Ying, a estimé aujourd'hui que le sort du dissident prix Nobel de la paix 2010 Liu Xiaobo, emprisonné depuis 2009, n'était "pas un sujet à aborder entre la Chine et la France", au premier jour de la visite du président chinois Hu Jintao.
"Ce n'est pas un sujet à aborder entre la Chine et la France. Liu a violé la loi et a été condamné", a estimé Mme Fu devant la presse, à l'issue des premiers entretiens entre Hu Jintao et Nicolas Sarkozy.
Courrier n° 1A04801983128 (Lettre recommandée AR) :
Distribué par NANTERRE (92000) le 02/11/2010.
Le courrier a été remis contre signature du destinataire (ou de son représentant dûment mandaté).
Monde
Publié le 04/11/2010 à 12:43, Le Point.fr
CLASSEMENT FORBES
Le président chinois Hu Jintao, personnalité la plus influente du monde
A lire sur http://www.lepoint.fr/monde/le-president-chinois-hu-jintao-personnalite-la-plus-influente-du-monde-04-11-2010-1258176_24.php
AFP, 05/11/2010 | Mise à jour : 19:39
Nicolas Sarkozy a affirmé à la presse avoir parlé des droits de l'homme avec son homologue chinois, ajoutant qu'il n'y avait "pas de tabous" sur cette question, aujourd'hui à Nice, au deuxième jour de la visite d'Etat de Hu Jintao en France.
L'Express juge l'intervention de Nicolas Sarkozy
Par LEXPRESS.fr, publié le 16/11/2010 à 23:40, extrait
[...] Le flop. Ou plutôt le lapsus :"Ma détermination n'a rien changé." Le président voulait probablement dire que sa détermination était intacte, mais son lapsus sonne comme un aveu inconscient d'échec.
De source http://www.lexpress.fr/actualite/politique/l-express-juge-l-intervention-de-nicolas-sarkozy_937348.html
Nicolas Sarkozy à la télévision : la route vers 2012 tracée en 90 minutes
mercredi 17.11.2010, 05:09 - La Voix du Nord, extraits
> La justice. Nicolas Sarkozy va demander au gouvernement de conduire une « réforme de la justice pour rapprocher la justice des citoyens », avec notamment la participation des citoyens, au côté du juge, aux décisions de libérations conditionnelles : « Il y a eu beaucoup d'incompréhension ces derniers temps. »
> Le lapsus. « La réforme des retraites a été adoptée il y a quinze jours, le Conseil constitutionnel l'a validée un jeudi (...), je suis ensuite parti en Corée pour le G20, je suis rentré samedi matin, le remuemaniement (sic) a été organisé dans le week-end et le gouvernement sera au travail lundi matin. »
De source http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/actualite/Secteur_France_Monde/2010/11/17/article_nicolas-sarkozy-a-la-television-la-route.shtml
AFP, 17/06/2011 | Mise à jour : 21:43
Henri Guaino, conseiller spécial du président de la République, affirme que Nicolas Sarkozy "a été un grand président de crise", et que "l'histoire lui rendra justice sur ce point", dans une interview au Nouvel Observateur, daté du 15 au 21 juin.
"Contrairement à ce qui s'est passé en 1995, et dont je garde une profonde déception, Nicolas Sarkozy a eu la détermination et le courage, dans des conditions dramatiques, de rompre avec le laisser-faire et le laisser-aller qui, depuis trente ans, minaient notre démocratie", affirme M. Guaino. Henri Guaino a été le concepteur de "la fracture sociale", dont Jacques Chirac, élu la première fois président en 1995, avait fait son credo.
Le conseiller spécial ajoute qu'il ne voit "personne d'autre ayant la même détermination et le même courage" que Sarkozy. "Donc, s'il est candidat" à la présidentielle de 2012, "je serai à ses côtés", ajoute-t-il.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/06/17/97001-20110617FILWWW00615-sarkozy-un-grand-president-de-crise.php