Un bug ? » |
A l'attention du chef de l'Etat et de son Ministre de la Justice
J'ai perdu des billets, des informations, mais il m'en restait des bribes, j'en avais publié ici et même ailleurs. Dans mon esprit ainsi que dans ceux qui travaillent avec ou pour moi, tout restera malgré tout assez limpide. D'ailleurs, collé là :
On m'avait parlé de jugements susceptibles de recours, c'était le titre d'un billet de juillet 2008.
Un extrait : « Je souhaitais faire suspendre l'exécution provisoire de la décision du 30 juin du juge pour enfant qui m'apparait manifestement excessive, je ne manquais pas d'arguments, dont une jurisprudence constante de la cour de cassation. J'avais l'intention de demander, entre autres, une semaine de vacances en famille, fin août. Ce ne sera donc pas possible. Je demandais aussi un rétablissement des droits de correspondance. Je savais que je serais débouté, j'ai toujours été débouté, d'une manière ou d'une autre... »
Je crois que la suite va encore être virulente. Je continue à brasser et à ressasser mes affaires « d'ordre privé ». Avec les derniers jugements et ces deux arrêts qui sont tombés de tout là haut, les combles ou la cassation, dont le dernier qui casse et annule assez sèchement, j'ai mouché deux fois au moins la première présidence, plusieurs fois le parquet général, et encore une fois fait bouger des juges - renvoi à Versailles, auprès d'un collège « autrement composé ».
Car c'est pas fini. En décembre 2009, dans mes conclusions déposées à Versailles, j'écrivais déjà que « M. KANT sait surtout que les voies de recours sont réputées illusoires lorsque les décisions de justice sont assorties de l'exécution provisoire (La responsabilité des magistrats, Gwenola Kerbaol, PUF, 2006), ce qui semble plus particulièrement vrai lorsque certains juges sont saisis. » Je pense que ce sera vrai, au retour de la cassation, va y avoir un beans - les chercheurs, moi ainsi que les juges, nous le savons, en principe...
Je comprends donc que pour le moment, vous ne souhaitiez plus « communiquer » avec moi, et parler d'assistance éducative. Maintenant que l'arrêt de mai 2009 est donc cassé, annulé, et que j'ai expédié une sorte de M51 au château et à sa dépendance, la chancellerie, je crois qu'il n'y a donc plus qu'une chose à ajouter, tous aux abris !
Par Ptiluc, d'une planche de Cradolapino
7 commentaires
Xiaobao : "pas un sujet à aborder"
AFP, 04/11/2010 | Mise à jour : 19:25, extrait
La vice-ministre chinoise des Affaires étrangères, Fu Ying, a estimé aujourd'hui que le sort du dissident prix Nobel de la paix 2010 Liu Xiaobo, emprisonné depuis 2009, n'était "pas un sujet à aborder entre la Chine et la France", au premier jour de la visite du président chinois Hu Jintao.
"Ce n'est pas un sujet à aborder entre la Chine et la France. Liu a violé la loi et a été condamné", a estimé Mme Fu devant la presse, à l'issue des premiers entretiens entre Hu Jintao et Nicolas Sarkozy.
Courrier n° 1A04801983128 (Lettre recommandée AR) :
Distribué par NANTERRE (92000) le 02/11/2010.
Le courrier a été remis contre signature du destinataire (ou de son représentant dûment mandaté).
Monde
Publié le 04/11/2010 à 12:43, Le Point.fr
CLASSEMENT FORBES
Le président chinois Hu Jintao, personnalité la plus influente du monde
A lire sur http://www.lepoint.fr/monde/le-president-chinois-hu-jintao-personnalite-la-plus-influente-du-monde-04-11-2010-1258176_24.php
AFP, 05/11/2010 | Mise à jour : 19:39
Nicolas Sarkozy a affirmé à la presse avoir parlé des droits de l'homme avec son homologue chinois, ajoutant qu'il n'y avait "pas de tabous" sur cette question, aujourd'hui à Nice, au deuxième jour de la visite d'Etat de Hu Jintao en France.
L'Express juge l'intervention de Nicolas Sarkozy
Par LEXPRESS.fr, publié le 16/11/2010 à 23:40, extrait
[...] Le flop. Ou plutôt le lapsus :"Ma détermination n'a rien changé." Le président voulait probablement dire que sa détermination était intacte, mais son lapsus sonne comme un aveu inconscient d'échec.
De source http://www.lexpress.fr/actualite/politique/l-express-juge-l-intervention-de-nicolas-sarkozy_937348.html
Nicolas Sarkozy à la télévision : la route vers 2012 tracée en 90 minutes
mercredi 17.11.2010, 05:09 - La Voix du Nord, extraits
> La justice. Nicolas Sarkozy va demander au gouvernement de conduire une « réforme de la justice pour rapprocher la justice des citoyens », avec notamment la participation des citoyens, au côté du juge, aux décisions de libérations conditionnelles : « Il y a eu beaucoup d'incompréhension ces derniers temps. »
> Le lapsus. « La réforme des retraites a été adoptée il y a quinze jours, le Conseil constitutionnel l'a validée un jeudi (...), je suis ensuite parti en Corée pour le G20, je suis rentré samedi matin, le remuemaniement (sic) a été organisé dans le week-end et le gouvernement sera au travail lundi matin. »
De source http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/actualite/Secteur_France_Monde/2010/11/17/article_nicolas-sarkozy-a-la-television-la-route.shtml
AFP, 17/06/2011 | Mise à jour : 21:43
Henri Guaino, conseiller spécial du président de la République, affirme que Nicolas Sarkozy "a été un grand président de crise", et que "l'histoire lui rendra justice sur ce point", dans une interview au Nouvel Observateur, daté du 15 au 21 juin.
"Contrairement à ce qui s'est passé en 1995, et dont je garde une profonde déception, Nicolas Sarkozy a eu la détermination et le courage, dans des conditions dramatiques, de rompre avec le laisser-faire et le laisser-aller qui, depuis trente ans, minaient notre démocratie", affirme M. Guaino. Henri Guaino a été le concepteur de "la fracture sociale", dont Jacques Chirac, élu la première fois président en 1995, avait fait son credo.
Le conseiller spécial ajoute qu'il ne voit "personne d'autre ayant la même détermination et le même courage" que Sarkozy. "Donc, s'il est candidat" à la présidentielle de 2012, "je serai à ses côtés", ajoute-t-il.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/06/17/97001-20110617FILWWW00615-sarkozy-un-grand-president-de-crise.php