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Le coup de gueule n°7 de Me Michel Amas...
Ca me rappelle un coup de téléphone que j'ai reçu en 2005, le JDE de Nanterre venait de suspendre tous mes droits sur ma fille ainée ; et alors que personne ne pouvait déjà le savoir : « bonjour, j'appelle pour la chambre à louer ! »
Le coup de gueule n°7 de Me Michel Amas... Ca me rappelle un coup de téléphone que j'ai reçu en 2005, le JDE venait de suspendre mes droits sur ma fille ainée: "bonjour, j'appelle pour la chambre à louer!" #ASE #educspé pic.twitter.com/wZWKqOYKKy
— Bruno Kant (@bkant) October 25, 2019
C'est quoi, sinon, la différence entre des criminels et la DDASS? Les uns, c'est l'ASE ou des magistrats avec des #educspé? pic.twitter.com/yyZhZsJfML
— Bruno Kant (@bkant) October 25, 2019
Dans ces procédures, il y a les appels téléphoniques douteux. Et puis il y a les écrits qui te parviennent de la part du référent familial... "Le placement va prendre fin d'ici quelques semaines. Voulez vous héberger un peu votre fille d'ici la?" pic.twitter.com/zRjNLKHxMy
— Bruno Kant (@bkant) October 26, 2019
Strand Lobben et autres c/Norvège : des insuffisances dans le processus
Entre 2003 et 2006, cette DDASS s'était obstinée, m'avait plagié Kutzner c/Allemagne. « Les pressions sur les parents pour s’en remettre aux services sociaux pour aboutir à une séparation de la famille sont des pratiques contraires au droit proclamé. » Tout ceci pour une simple petite dépression, fin 2003, provoquée par la DDASS...
Plus tard, avec la contribution du juge Xavier Serrier, puis encore la cour d'appel de Versailles, et puis même avec la contribution de la cour de cassation, la DDASS me plagiait l'affaire Finaly ; avec le pasteur d'Uhrwiller dans le rôle de Mlle Brun ; préférant faire disparaitre mon ainée dans un internat plutôt que d'accepter enfin quelques évidences.
19 avril 1993 Retour sur l'affaire #INA #Histoire Affaire Finaly
Je constate que la DDASS et la justice de ce pays m'ont également plagié ou ont anticipé Strand Lobben et autres c/Norvège. Des insuffisances dans le processus, dans les enquêtes... Ou sinon, en orientant systématiquement et machinalement toutes les décisions, pour prélever et donner un enfant à un pasteur et à sa soeur, et pour autoriser ainsi une sorte d'adoption simple... A grand renforts d'expertises bidons, puis ensuite totalement obsolètes, mais restées malgré tout brandies par les magistrats. C'est mal, nous dit la CEDH, la Norvège s'est fait taper sur les doigts.
« Violation de l’article 8 (droit au respect de la vie privée et familiale) de la Convention européenne des droits de l’homme dans le chef des deux requérants, une mère et son fils. » Mon ainée avait déjà perdu sa mère, dans des conditions assez bien connues... Ca ne suffisait pas pour cette DDASS ni pour les magistrats, il fallait aussi et absolument pour eux que mon ainée soit aussi privée de son père, de sa belle-mère ainsi que de sa petite soeur !
Le communiqué de presse de la CEDH