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Nord : condamné pour une gifle, le maire fait appel
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Nord : condamné pour une gifle, le maire fait appel
Le Parisien | Publié le 22.02.2012, 14h35 | Mise à jour : 15h02
Il ne veut pas en rester là. Le maire de Cousolre (Nord), Maurice Boisart, condamné vendredi dernier à une amende avec sursis par le tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe (Nord) pour avoir giflé un adolescent rebelle, a décidé de faire appel.
Il a annoncé sa décision lors d'une réunion avec ses élus. «Je leur ai annoncé que je faisais appel, avec le soutien de l'AMF (l'Association des maires de France), qui mettait à ma disposition leur service juridique, leur service financier», a-t-il expliqué.
«J'ai eu Jacques Pélissard, président de l'AMF, ce matin (ndlr. mercredi) au téléphone, qui m'a dit que tous les maires de France étaient derrière moi», a-t-il affirmé. Si Maurice Boisart ne se considère pas comme un «porte-drapeau», «ni un étendard» des 36 000 maires de France, son «objectif» est «que la fonction de maire soit reconnue et pas dénigrée comme elle l'a été lors de (s)on procès».
«J'ai perdu mon honneur dans cette histoire-là»
Nicolas Sarkozy regrette le Fouquet's
NDLR : Super, on lit qu'il a appris, qu'il est maintenant un vrai Président, près pour un second quinquennat
LE FLASH > Présidentielle
Nicolas Sarkozy regrette le Fouquet's
Lefigaro.fr Mis à jour le 22/02/2012 à 21:11 | publié le 22/02/2012 à 20:47
Invité sur le plateau du 20 heures de France 2, Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois reconnu avoir «commis des erreurs» au cours de son mandat, affirmant que si «c’était à refaire», il ne retournerait pas au Fouquet’s (le restaurant chic des Champs-Elysées où il avait fêté sa victoire le 6 mai 2007, ndlr) «car ça a été vraiment le feuilleton». «J’ai commis des erreurs. Mais y a-t-il une personne qui puisse se dire "je n’ai pas commis d’erreurs" ?», s’est-il interrogé.
"Il faut être honnête, on n'a pas tout réussi", a poursuivi Nicolas Sarkozy. "Je me suis engagé dans mes fonctions à un point que vous n'imaginez pas, j'ai appris ma fonction de président", a-t-il souligné, expliquant avoir eu au début de son quinquennat "une réaction de ministre" en voulant aller vite.
Interrogé sur le livre qu'il pourrait publier dans les prochains jours, le président sortant a expliqué que les Français avaient envie "qu'on parle d'eux, pas de moi". "Il faut dire sa vérité, mais aussi comprendre que ce n'est pas le coeur du débat : le coeur du débat c'est la France".
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