Archives pour: Février 2012, 09
Il saute d'un pont... mais l'eau a gelé
NDLR : Après avoir entendu un lapsus, sur Public Sénat, puis Raoult répondant à Benbassa (une créature pavlovienne, à civiliser ou à baffer ?), on pourrait se décider, et sauter d'un pont. Mais attention, car le préfêt du Bas-Rhin pourrait se fâcher... Ce soir, et à l'occasion ou en marge du dîner du CRIF, on nous a encore parlé de Shalit, des Zeitouni, de valeurs et de civilisations, de la grandeur des notres, on nous a encore parlé de vies, de valeurs de vies. Arf, j'ai tweeté : « Après un décès suspect et des années de procédure, une vie, on s'apperçoit que ça vaut ça, une ordonnance à s'encadrer ». Puis j'ai à nouveau repensé au patrimoire culturel immatériel et à la Corrida, telle qu'elle se pratique à Rodhilan. Quel pays
Il saute d'un pont... mais l'eau a gelé
AFP Publié le 08/02/2012 à 20:31
Un homme de 34 ans a été sauvé aujourd'hui par le froid intense qui sévit actuellement en Alsace: alors qu'il voulait se suicider en sautant d'un pont dans le centre-ville de Mulhouse (Haut-Rhin) il s'est écrasé contre la glace et n'a été que légèrement blessé, selon les pompiers.
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Naufrage du Concordia : « On veut retrouver nos gosses »
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Naufrage du Concordia : « On veut retrouver nos gosses »
Le Parisien | Anne Collin | Publié le 09.02.2012, 04h46, extraits
Les parents de Mylène, disparue dans le naufrage du « Costa Concordia » avec son ami Mickaël il y a presque un mois, ont rejoint l’Italie hier. Ils s’opposent à l’arrêt des recherches.
Ils ont embarqué hier matin à bord d’un avion qui les a menés à Rome (Italie). Un billet aller sans date de retour. Brigitte et Alain Litzler, les parents de Mylène, 23 ans, portée disparue avec son compagnon, Mickaël, 25 ans, depuis le naufrage du « Costa Concordia » le 13 janvier, étaient attendus pour un briefing. Accompagnés des parents de Mickaël, ils devaient assister dans la journée à une réunion organisée par les autorités italiennes en compagnie des familles des 13 autres disparus.
Ces parents domiciliés à Sarcelles sont partagés entre la détresse et la colère. « On se sent abandonnés. Nous n’avons pas été contactés par le Quai d’Orsay depuis le 27 janvier », s’insurge la mère de Mylène, les traits tirés par la fatigue et l’interminable attente. Pour elle, impossible de se contenter des rapports que l’ambassade de France à Rome leur adresse par mail, surtout quand ces derniers indiquent que les recherches sont suspendues.
[...] Pourtant, quatre semaines après l’accident, l’arrêt des recherches est envisagé et pourrait être évoqué par le préfet Franco Gabrielli, commissaire spécial en charge du naufrage. Pour les familles des disparus, il n’en est pas question, car l’espoir perdure. Elles estiment que certaines parties du bateau n’ont pas été explorées.
Alors aucune d’entre elles ne veut entendre parler de coûts, de pollution ou de mauvais temps. « Si l’Italie n’a pas les moyens nécessaires, qu’elle demande de l’aide aux autres pays, affirme Brigitte. La France doit faire pression. Il faut que le gouvernement nous donne les moyens de sauver nos enfants et rapidement. » Car, pour cette maman, le pire, c’est l’oubli. « On a l’impression que ça n’intéresse plus personne! » tempête-t-elle.
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