Archives pour: Mars 2012
Un mois avec sursis pour avoir violé l'âne de son voisin
NDLR : Une fable pour le tribunal correctionnel ?
Un mois avec sursis pour avoir violé l'âne de son voisin
07/07/2011 | 12H43, les Inrocks
Aujourd'hui, la justice s'est prononcée sur le cas d'un homme qui a violé l'ânesse de son voisin. L'avocat du propriétaire de l'animal a tourné sa plaidoirie sous forme de poème, ou plutôt de fable de La Fontaine. Logique.
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Il urine dans son jardin et se retrouve sur Google Street View
Il urine dans son jardin et se retrouve sur Google Street View
Par Amélie Gautier , le 01 mars 2012 à 17h25 , mis à jour le 01 mars 2012 à 18h04, TF1/LCI
Dossier : Google et les moteurs de recherche
Un habitant d'un hameau du Maine-et-Loire a assigné Google en référé jeudi à Angers après la mise en ligne sur l'application Street View d'une photo où on peut l'apercevoir se soulageant dans la cour de sa maison.
Le petit oiseau est sorti des deux côtés. Ou quand un homme reproche à Google de l'avoir pris en photo en train d'uriner dans son jardin. Il a porté plainte pour atteinte à la vie privée et au droit à l'image contre le géant américain, l'affaire a été plaidée ce jeudi devant la justice.
Des victimes de l'amiante devront rembourser une partie de leurs indemnités
Accueil > Economie
Des victimes de l'amiante devront rembourser une partie de leurs indemnités
LEMONDE.FR | 01.03.12 | 20h01 • Mis à jour le 01.03.12 | 20h03, extrait
Neuf victimes de l'amiante ont été condamnées, jeudi 1er mars, par la cour d'appel de Douai (Nord) à rembourser une partie des indemnités qu'elles avaient perçues au titre de leurs maladies. Les montants, qui varient de 5 000 à 11 000 euros, étaient demandés par le Fonds d'indemnisation des victimes de l'amiante (FIVA).
Le 13 octobre 2011, cette cour d'appel avait déjà prononcé la même sanction à l'encontre de dix-sept autres victimes, pour des montants compris entre 600 et 28 000 euros. Plus de trois cents autres dossiers sont attendus devant cette cour prochainement.
Pendant combien de temps va continuer à se dérouler cette "mécanique infernale", selon l'expression de l'Association nationale de défense des victimes de l'amiante (Andeva), qui soutient ceux qui contestent leur indemnisation ?
Sarkozy, aux millitants du PS et de l'ETA : « comportements de voyous »
NDLR : Allons nous très prochainement entendre à nouveau Michel Foucault ? Est-ce qu'il faut maintenant redouter le châtiment suprême, une « stigmatisation », si on critique ou rejete à nouveau des idées de droite, de l'UMP ou de Sarkozy ? Comme nous le suggère Le_M_Poireau, sur Twitter, à présent, « La démocratie, c'est quand tu dis `'coucou président" en agitant la main et en souriant vers Sarkozy. » Et ce sera un minimum pour figurer au fichier des honnêtes gens, « coucou, Président de tous les français », conformément à ce qu'il nous intime de penser
LE FLASH > Actualité
Sarkozy: «Comportements de voyous»
Par le Figaro, Mis à jour le 01/03/2012 à 19:57 | publié le 01/03/2012 à 19:48...
«J’aurai l’occasion de stigmatiser ce comportement de voyous qui sont la honte de la République», a déclaré Nicolas Sarkozy en arrivant, avec plus d’une heure de retard à Bruxelles, à propos des incidents de Bayonne.
«Dans ce pays, si des militants socialistes s’associent à des militants de l’ETA pour manifester de façon violente, les choses ne vont pas. C’est inadmissible », a insisté le chef de l’Etat, manifestement outré. «Si des gens se réclamant de moi se conduisaient de cette façon à l’égard de François Hollande, je les condamnerais immédiatement», a-t-il affirmé, indiquant qu’il aurait l’occasion de dire, lors de son meeting de Bordeaux samedi prochain, «ce que doit être cette campagne et le débat démocratique».
«Dans une grande démocratie comme la France, tous les candidats doivent pouvoir faire campagne de façon civilisée », a ajouté le président de la République. Selon lui, «François Hollande se grandirait en condamnant ces comportements comme je le ferais si c’était des gens qui se réclament de moi».
« Sarkozy, Hollande, des attrape-couillons », selon de Villepin
NDLR : Il lui manque 100 voix, plus de voix encore qu'à la candidate du front ? S'agirait-il également d'un complot ou les maires ont-ils tout simplement peur du croc de boucher ?
LE FLASH > Présidentielle
"Sarkozy, Hollande, des attrape-couillons"
AFP Publié le 02/03/2012 à 09:28
Dominique de Villepin, candidat de République Solidaire à l'Élysée, a assuré aujourd'hui que François Hollande et Nicolas Sarkozy "prennent les Français pour des couillons".
"Nous sommes devant des candidats qui adoptent des marqueurs idéologiques. C'est un combat absurde : ni l'un ni l'autre ne mettra en application ce qu'ils disent, ils ne le pourront pas", a lancé l'ancien premier ministre sur BFMTV-RMC.
"Ce sont des attrape-couillons, ils vont à la pêche aux voix et prennent les Français pour des couillons", a déclaré Dominique de Villepin. "Le candidat qui dirait retraite à 60 ans, le 10 ou le 15 mai, serait immédiatement corrigé par les marchés. Et on peut faire abstraction de tout, mais pas de la réalité : on ne peut pas revenir en arrière", a-t-il estimé.
De même les projets de référendum de Nicolas Sarkozy "n'auront pas lieu". "Vous êtes devant des candidats qui s'amusent avec les Français et les prennent pour des gogos", a insisté l'ancien ministre des Affaires étrangères et de l'Intérieur. "Cette élection n'a pas lieu : ce ne sont pas les Français qui choisissent, ce sont les partis, les communicants qui choisissent. Et les candidats de chair et de sang qui ont une expérience, susceptibles d'avancer des idées qu'ils pourraient appliquer, ceux-là n'ont pas droit de cité", a-t-il assuré.
Le président de République Solidaire a indiqué avoir lui-même passé la barre des 400 parrainages sur les 500 requis pour briguer l'Élysée. "Nous devrions pouvoir être qualifiés".
Guéant : « lien halal/vote des étrangers »
LE FLASH > Actualité
Guéant: "lien halal/vote des étrangers"
AFP Publié le 02/03/2012 à 22:44
Accorder le droit de vote aux étrangers pourrait conduire à ce que "des étrangers rendent obligatoire la nourriture halal" dans les cantines, a affirmé ce soir le ministre de l'Intérieur Claude Guéant lors d'un meeting près de Nancy.
"Accepter le vote des étrangers, c'est la porte ouverte au communautarisme. Nous ne voulons pas que des conseillers municipaux étrangers rendent obligatoire la nourriture halal dans les repas des cantines, ou réglementent les piscines à l'encontre des principes de mixité", a dit le ministre lors d'une réunion électorale à Velaine-en-Haye, près de Nancy.
"Les étrangers doivent accepter nos règles, c'est à eux de s'adapter. Chacun comprend que si on reçoit moins d'immigrés, les choses se passeront mieux", a ajouté M. Guéant lors de cette réunion à laquelle assistaient environ 300 personnes.
Quand la campagne vire à l’acerbe et au trivial
NDLR : C'est cool, je suis en osmose avec les discours de cette campagne, j'ai même un petit temps d'avance alors que j'avais depuis longtemps déjà le sentiment qu'ils glissaient sur ces terrains. Hormi Nicolas Sarkozy et son parti, ces civilisateurs, qui pourrait encore, maintenant, me reprocher d'avoir lancé quelques petites phrases sur la toile, dans la rue, dans des correspondances et même dans des prétoires ?
International | Politique | Société
Politique. Déconnomètre ou épuration: quand la campagne vire à l’acerbe et au trivial
Publié le 02/03/2012 à 15:53, le Progrès
«Je l’emmerde», «déconnomètre» ou, dans un autre registre «épuration», «anormal», «produit de contrebande imaginé par des cerveaux d’extrême droite», «semi-démente": le ton de la campagne présidentielle a glissé vers le trivial et l’acerbe, symptôme, aux yeux de certains, d’une fonction politique banalisée.
Le JDD porte plainte contre l'article « Le JDD de Sarkozy »
Dépêches
Le JDD porte plainte contre l'article "Le JDD de Sarkozy" paru sur l'express.fr
AFP | 03-03-12, de source www.ddm.gouv.fr
Le Journal du Dimanche (JDD) va "porter plainte en diffamation contre un article de Frédéric Martel, +le JDD de Sarkozy+", publié dans son blog sur l'express.fr, a annoncé samedi Lagardère Active, branche médias du groupe Lagardère à laquelle appartient le JDD.
"Même si le JDD ne relève pas d'ordinaire les thèses conspirationnistes, il a décidé de porter plainte en diffamation contre l'article de Frédéric Martel +le JDD de Sarkozy+ paru dans l'express.fr le 2 mars", indique Denis Olivennes, président du Directoire de Lagardère Active, branche médias du groupe Lagardère (JDD, Europe 1, Paris Match, Télé 7 Jours...) dans un communiqué.
"Il n'est pas question de laisser attenter à l'honneur, à l'intégrité et à l'indépendance des journalistes et des titres placés sous mon autorité", ajoute-t-il dans ce communiqué.
Dans cet article, M. Martel, auteur d'un livre intitulé "J'aime pas le sarkozysme culturel" (Flammarion), affirme notamment que "Nicolas Sarkozy a mis la main sur le titre depuis plusieurs années et continue de le diriger, indirectement, à tous les étages".
La direction de l'Express n'avait pas pu être jointe en début d'après midi.
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Bras de fer entre avocats et magistrats à Nîmes
NDLR : Condamné à tort ou même puni top fort, c'est possible ? Des avocats du sud pourraient y croire... mais que pourrait nous en dire l'IPJ ? Je me trompe, ou Maître Eolas serait-il en passe de perdre un combat ?
ACTUALITÉ > Société
Bras de fer entre avocats et magistrats à Nîmes
Par Laurence De Charette, Guillaume Mollaret
Mis à jour le 13/02/2012 à 09:20 | publié le 12/02/2012 à 22:23, le Figaro
Les 700 avocats du Gard et du Vaucluse sont en grève contre la sévérité des sanctions pénales de la cour d'appel.
«Mon avocat est en grève.» Voilà peu ou prou ce que répondent depuis près d'un mois aux juges de nombreux prévenus qui comparaissent dans le cadre des appels en correctionnel à la cour d'appel de Nîmes. Depuis le 17 janvier, quelque 700 avocats de Nîmes, Alès (Gard), Avignon et Carpentras (Vaucluse) boycottent les audiences, estimant la cour d'appel « d'une sévérité exagérée et systématique».
Le ton n'a cessé de monter entre les avocats et les magistrats, si bien que, samedi, le Conseil national des barreaux (CNB), qui représente l'ensemble des avocats français, a demandé «solennellement» au garde des Sceaux une inspection au sein de la juridiction. La Chancellerie a répondu hier par la voie de son porte-parole qu'une telle mesure n'était pas à l'ordre du jour.
Application des peines planchers
Dans un courrier adressé à Michel Mercier, le président du CNB, Christian Charrière-Bournazel, s'était déjà ému des performances de la cour d'appel nîmoise: sur les 500 arrêts rendus, seuls 60 seraient des relaxes ou confirmations de peine, les 440 restants correspondraient à des aggravations de peine. De quoi décourager en effet le justiciable de faire appel de la peine dont il a écopé en première instance -ce qui, en même temps, diminue les possibilités d'action des avocats.
Clash, au Mémorial de Caen
Je n'aurai pas conscience des troubles que je crée autour de moi, pensait le Docteur Magalie Bodon-Bruzel, ce « précieux atout », mais parfois malade. J'ai le sentiment d'avoir encore bien foutu le bordel, ce coup-ci, au Mémorial de Caen, au cours puis à la fin d'une journée d’étude, « La perpétuité perpétuelle ». « Foutez le bordel », m'avait dit un magistrat, lors d'une manifestation historique de la justice, fin novembre 2007... foutre le bordel, agacer ou même sérieusement embarasser des pros, je n'ai fait que cela, depuis 2003.
Que faudrait-il que je fasse de plus, maintenant ? Aurai-je dû poignarder un juge, comme cette mère du secteur de Metz, et risquer de prendre 20 ans, voire même perpert à vie, puis expier en UMD, un trou du cul de l'univers carcéral ? Ou aurai-je du agir comme Chantal Clos et attirer Agathe dans un bois plutôt que de lui répondre efficacement dans un prétoire ? Je pense qu'on ne me reverrait plus de si tôt non plus... « quel soulagement », pourraient ensuite lâcher quelques cyniques !
Foutre le bordel dans la rue, parler, crier, médiatiser, dans des prétoires aussi, et jusque dans ceux de la cour de cassation, ça m'occupe. C'est parfois amusant, souvent enrichissant aussi, même si j'ai très souvent le sentiment que les pros de cette justice poussent le bouchon un peu trop loin. Jusqu'où vont ils oser le pousser, justement ? Ce 2 mars, à Caen, on m'a répliqué que j'étais hors sujet. Ah bon ? Je traitais publiquement l'un de leurs intervenants annoncés, l'un de leurs contributeur, de charlatant ! Je pense m'être rendu une fois encore au bon endroit, pour m'adresser aux bonnes personnes. Je crois que le juge pour enfant Jean-Pierre Rosenzweig ne se risquera jamais à me contredire. Foutre le bordel et même parler dans un Mémorial, oui, je n'hésite pas, surtout lorsque je crois avoir de bonnes raisons de l'ouvrir.
Je n'en suis en effet pas à mon coup d'essai. En septembre 2008, au cours du colloque international « Culture psychiatrique et culture judiciaire : relire Michel Foucault », j'avais parlé également, puis il me semble que le juge Jean-Olivier Viout m'avait répondu. Je venais de rappeler qu'en 1983, Michel Foucault nous avait mis en garde contre l'erreur judiciaire. J'avais aussi évoqué le fiasco Dils ou de l'affaire de Montigny-lès-Metz, et que des experts psy n'avaient pas pu lire le passé. Jean-Olivier Viout m'a simplement répondu qu'il fallait respecter l'autorité de la chose jugée. En 2010, on nous reparlait encore du cas Dils, de la qualité des auditions ou des expertises : « une petite précision », un élément « essentiel », « qu'on oublie souvent », « Patrick Dils, à l'époque de sa garde à vue, a huit ans de maturité, il est expertisé comme tel par les... par les experts euh... par un psychologue ». Evidemment, je ne sais pas lire l'avenir. Quand Jean-Olivier Viout me répondait, en septembre 2008, je pensais surtout à son rapport sur l'affaire d'Outreau, ainsi qu'à Lire et écrire l'avenir, L'astrologie dans la France du Grand siècle (1610-1715). Du colloque de septembre 2008, je retenais ensuite d'abord une définition de Daniel Zagury, celle de « l'expert bouffon », dont le rôle est, selon lui, de « déculpabiliser le juge ».
Ce vendredi 2, après la seconde table ronde et au cours des débats avec la salle, on m'a répondu que le sujet du colloque était la perpétuelle à perpétuité, et pas autre chose. Je venais d'expliquer un peu d'où je leurs parlais, de mon parcours ou périple chez le juge pour enfant, lui-même assisté par des crevures, épaulé par un « psychologue » et puis enfin sauvé par le Docteur Magalie Bodon-Bruzel. Je parlais aussi d'iFRAP. On aurait voulu m'interrompre, mais j'ai rebondi et insisté, car en janvier 2005, iFRAP avait publié un dossier complet sur la protection de l'enfance, paru dans sa revue Société civile : « Enfants placés : les `'rapts" de l'Administration ».
J'avais parlé d'un « rapt de mineur » à Bodon-Bruzel, lorsque ce « psychiatre », expert auprès de la cour d'appel de Paris, me recevait enfin ; ma fille Justine avait alors bel et bien « disparue ». J'avais aussi expliqué à Bodon-Bruzel que les travailleurs sociaux de l'OSE France avaient oeuvré comme en 1850, période à partir de laquelle un père pouvait être déclaré « indigne » ; j'aurais l'opportunité de reparler de cela à la fin du mois, je pense, avec Irène Théry, à l'université de Caen. Ensuite, à Caen, j'ai parlé de la trisomie 21 de ma soeur aînée, un « antécédant familial », pour le Docteur Magalie Bodon-Bruzel... puis tout est parti en vrille, je venais de lancer aussi que si elle avait été présente, je n'aurai pas hésité à traiter publiquement Magalie Bodon-Bruzel de charlatant ; un modérateur m'a répondu qu'il s'y serait opposé alors que je venais de l'exprimer !
Tandis que je parlais, on me demandait aussi de formuler une question. Me sentant pressé, j'ai alors demandé si l'ouvrage présenté, La perpétuité perpétuelle, et les intervenants du jour étaient crédibles, puisque le Docteur Magalie Bodon-Bruzel, elle-même contributeur, juge des contenus, pourtant publiés par iFRAP, inpertinents. Les modérateurs m'ont renvoyé à mes « difficultés personnelles » ou à mes affaires « d'ordre privé » ; je leurs ai rendu leur micro. Quelqu'un d'autre que moi a également jeté le discrédit sur l'expertise d'iFRAP, les renvoyant vers le ministère de la justice et des statistiques officielles... mais potentiellement inexploitables. Bref, ces débats sont souvent houleux.
Aujourd'hui, je regrette de ne pas être allé déja au clash à la préfecture de Créteil, fin avril 2009, au cours du colloque Autour de l'enfermement. J'en conserve des photos. Bodon-Bruzel intervenait. Mais j'allais d'abord à Créteil pour rencontrer Françoise Sironi, et pour sa propre présentation, « Psychopathologie de l’incarcération politique ».
Autour de l'enfermement... à Créteil, le 30 avril 2009
Après la cloture du colloque de ce 2 mars, à Caen, j'ai persisté, j'ai insisté auprès des modérateurs. L'un deux, Yannick Lécuyer, je crois, celui qui m'avait répondu qu'il ne m'aurait pas permis de traiter Magalie Bodon-Bruzel de charlatant, m'a assuré qu'il se battrait pour que je puisse critiquer l'ouvrage présenté ce 2 mars, à Caen ; merci ! Ce vendredi, et alors que leur présence était pourtant annoncée, Magalie Bodon-Bruzel était absente, le Directeur de iFRAP également, il me semble ; dommage. Une copie papier de mon billet du 27 février pourrait bientôt parvenir à Sébastien Huygue, un RAR attend d'être retiré à la Poste. Dans les prochains jours, je vais également envoyer une courte baffouille au Directeur de iFRAP.
J'ai bientôt encore du pain sur la planche. Ce vendredi 2 mars, la chambre des mineurs de la cour d'appel de Versailles me rendait un ultime délibéré, il me sera notifié, dans les prochains jours, par la Poste. Quand j'en aurais pris connaissance, je pense que je critiquerais à nouveau le travail et d'avantage encore la thèse de Richard Josfsberg, Educateurs en internat, Tentative d'élucidation... Ca m'occupera, en attendant que la cour de cassation me rende elle également un ultime arrêt. Ce week-end, en ressassant l'ensemble de mes affaires « d'ordre privé » ainsi que les actualités du moment, je me disais finalement qu'il y a pire comme périples, parasites ou même comme aventures. On aurait pu partir en famille avec Costa croisières, aujourd'hui parfois bradées à -70%, et toujours présentées avec un avis « excellent ».
Pour m'occuper encore, je n'ai plus mieux à faire de mon existence et de mes jours de congés... Anastasie me convie, pour discuter de l'un de mes billets d'août dernier. Il semblerait que la Police Nationale n'apprécie pas de voir une photo dans mon blog ou journal, celle que j'ai prise dans le bureau d'un policier, l'été dernier. L'Administration me refusait alors un écrit, souhaitant me faire part d'un avis du parquet, mais oralement uniquement. Passant outre le refus et la consigne du parquet au commissaire, ignorant ce que souhaitait m'imposer la police, une notification orale uniquement, j'ai très discrètement pris une photo, d'assez bonne qualité. Je n'ai pas l'intention de modifier ce déjà vieux billet, ni d'en supprimer la moindre image ou photo. Il y a quelques temps, nous apprenions que Tristane Banon était tout contente avec une lettre du parquet au fond de son sac à main ; que dirait-Banon, si elle devait, un jour et sous la contrainte, la déchirer ? Qu'aurait dit Banon si le parquet ne lui avait jamais rien communiqué ? Je vais pouvoir en discuter, en débattre, très prochainement, avec un commandant de police, pour commencer... Ca ira, je pense. Anastasie et moi, nous avons déjà flirté ensemble, plus d'une fois même, ce que Maître Delphine Roughol, cafard d'enfants, devrait pouvoir confirmer.
Quelle farce, « jailli un fleuve de liberté » Anastasie convie... |
Protesters bare breasts at Putin's polling station
Voir également Seins nus, elles scandent « DSK : Fuck me in Porsche Cayenne » |
Disparition de Mathis : appel de sa mère
LE FLASH > Actualité
Disparition de Mathis: appel de sa mère
Lefigaro.fr Publié le 05/03/2012 à 09:11
Sur la radio RTL, Nathalie Barré, la maman du petit Mathis, enfant de 8 ans disparu le 4 septembre 2011, a lancé un appel à l'aide. "Je souhaite par cette lettre lancer un appel au secours aux pouvoirs publics et aux autorités politiques pour que des moyens supplémentaires soient mis à la disposition du Parquet de Caen pour retrouver Mathis", écrit-elle dans une lettre.
En effet, Mathis a été enlevé par son père, avec qui la mère partageait la garde. Sauf que l'homme n'a jamais rendu Mathis. Interpellé en décembre, il a dit que le petit garçon était "en sécurité", sans révéler le lieu de sa détention. Depuis six mois, Nathalie Barré est sans nouvelle de son fils.
A 16 ans, il est déjà maître dans l’art du piratage informatique
Actualité > Lyon
A 16 ans, il est déjà maître dans l’art du piratage informatique
Le Parisien |Stéphane Sellami | Publié le 05.03.2012, 08h26
Les enquêteurs de la direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Lyon (Rhône) pensaient avoir affaire à un homme, passé maître dans l’art du piratage informatique. Ils sont finalement tombés sur un adolescent de 16 ans, passionné de nouvelles technologies. Placé en garde à vue, début février, le jeune garçon a reconnu avoir piraté un site Internet de vente en ligne avant de récupérer les coordonnées bancaires de plusieurs clients.
Cette semaine, Sarkozy joue son va-tout
Actualité > Présidentielle 2012 > Les personnalités > Nicolas Sarkozy
Cette semaine, Sarkozy joue son va-tout
Le Parisien | Frédéric Gerschel | Publié le 05.03.2012, 07h12, extrait
A moins de 50 jours du premier tour, plus de temps à perdre : pour espérer rattraper le retard qu’il accuse sur François Hollande, le président-candidat sera sur tous les fronts.
« Si à la fin de la semaine nous n’avons pas rattrapé un peu de notre retard sur François Hollande, c’est mort. » La formule est d’un des plus éminents responsables de la campagne de Nicolas Sarkozy. Et elle en dit long sur l’ambiance qui règne au QG du candidat, lequel vient de connaître une très mauvaise « séquence », comme on dit chez les communicants.
Les images du chahut de Bayonne, par des étudiants basques, jeudi, ont marqué les esprits. La proposition de François Hollande de taxer à 75% les plus hauts revenus semble avoir fait mouche dans l’opinion. Pis, les courbes des sondages qui avaient tendance à se rapprocher depuis l’entrée en campagne du président s’écartent à nouveau dangereusement.
« Polisse » et « Présumé coupable » diffusés à la prison de Fleury !
NDLR : Ils ont décidé d'enflamer les esprits, à Fleury ? Comment réagiront les « humanistes » que j'ai croisé, ce vendredi, à Caen ? Mais voilà surtout qu'après avoir lu Magalie Bodon-Bruzel, sa contribution, son témoignage, dans La perpétuité perpétuelle, je repense à Un triplet gagnant : MAM, Lathoud et... Botton, le « parfait réhabilité », et je me marre
Actualité > Fleury-Mérogis
" Polisse " et "Présumé coupable " diffusés à la prison de Fleury !
Le Parisien | Florian Loisy | Publié le 05.03.2012, 15h38
C’est une véritable révolution. Le Festival du cinéma de la maison d’arrêt de Fleury prend chaque année davantage d’ampleur, et pour la 3e édition de cet événement majeur dans l’univers carcéral, qui débute aujourd’hui, l’administration pénitentiaire a autorisé des films abordant des sujets polémiques.
Car jusque-là, les œuvres évoquant la prison, la police ou la justice étaient soigneusement évitées lors des projections aux détenus. Par ailleurs, lors des deux précédents festivals organisés derrière les barreaux, les longs-métrages en compétition dataient de plusieurs années. Là, plus de tabou et surtout une sélection digne du Festival de Cannes : « La vérité si je mens ! 3 », « Omar m’a tuer », « Polisse », « Intouchables », « Et maintenant on va où », « Avant l’aube », « La guerre est déclarée », « Présumé coupable », « le Chat du rabbin ».
« Pour maintenir le lien avec l’extérieur, nous voulions permettre aux détenus de visionner des films dans l’actualité », souligne l’Association de recherche d’animations culturelles (Arac), qui coorganise ce festival avec le Spip (service pénitentiaire d’insertion et de probation). Jusqu’au 15 mars, les artistes vont se succéder dans la prison et lancer des débats après les projections. Gilbert Melki, Aure Atika, Marina Foïs, Roschdy Zem, Maïwenn, Eric Toledano et Olivier Nakache discuteront avec les détenus. Pour préparer la réinsertion des prisonniers, des professionnels du cinéma viendront également présenter les métiers de l’ombre.
Le 16 mars, le jury composé de sept prisonniers, quatre employés de l’administration pénitentiaire et de l’actrice Ludivine Sagnier décernera les prix du festival : meilleur acteur, meilleure actrice, meilleure bande originale, meilleure réalisation et prix spécial du jury. Un trophée inédit, conçu par les pensionnaires de Fleury.
Le Parisien
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