Archives pour: Février 2012, 10
Affaire Estelle Mouzin : le militaire n'a rien à voir avec l'affaire
NDLR : Ouf, je l'ai échappée belle. J'ai plein de notes dans mon blog
Info Franche-Comté - Affaire Estelle Mouzin
Le militaire n'a rien à voir avec l'affaire
Par Sarah Rebouh et Catherine EME-ZIRI, France 3, extrait
Au moment de l'enlèvement d'Estelle, il était âgé de 11 ans, donc trop jeune pour être considéré comme suspect. A priori, ces notes manuscrites ne semblaient pas révéler de nouveaux éléments qui seraient, jusqu'à maintenant, inconnus ou non publiés par les médias. Le jeune militaire est revenu à l'hotel. Apparemment, il n'était pas au courant qu'il était recherché par la gendarmerie.
Dernièrement, il s'est présenté pour louer à nouveau une chambre, dans l'Etap Hôtel de Besançon où il semble avoir ses habitudes. Interrogé par les gendarmes, il a déclaré n'avoir aucun lien avec la disparition d'Estelle. Il aurait tout simplement pris des notes à la suite du visionnage d'une émission télé retraçant l'histoire de la jeune fille. Pour ce qui est de la valise, il dit l'avoir laissé à l'hôtel précipitemment pour réussir à avoir son train. D'après une source proche de l'enquête, il n'aurait effectivement rien à voir dans l'affaire Estelle Mouzin.
Affaire Bettencourt : les motifs de la double mise en examen d’Eric Woerth
NDLR : Voir aussi Les régionales, en Moldavie française... Cet ensemble devrait faire plaisir à Frédéric Lefebvre
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Affaire Bettencourt : les motifs de la double mise en examen d’Eric Woerth
LEMONDE | 10.02.12 | 10h39 • Mis à jour le 10.02.12 | 10h47, extrait
Pour Nicolas Sarkozy, qui s'apprête à entrer officiellement dans la campagne présidentielle, le coup est rude et le symbole fort. Son ancien ministre du travail, celui qui fut le trésorier de sa campagne victorieuse, en 2007, aujourd'hui pilier de la cellule "riposte" mise en place autour du chef de l'Etat, a été mis en examen à deux reprises dans le dossier Bettencourt, à l'issue de deux éprouvantes journées d'audition, mercredi 8 et jeudi 9 février.
M. Woerth, mis en cause publiquement à partir de juin 2010 suite à la publication d'enregistrements clandestins opérés au domicile de la milliardaire Liliane Bettencourt, avait d'abord profité de l'inertie du parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine). Le procureur Philippe Courroye, un intime du président de la République, s'était contenté, à l'été 2010, d'ouvrir une enquête préliminaire, se refusant à désigner un juge indépendant et à lancer la moindre poursuite sur les multiples infractions révélées par les enregistrements.
Jean-Michel Gentil, Valérie Noël et Cécile Ramonatxo, juges d'instruction du tribunal de Bordeaux où le dossier a été dépaysé en novembre 2010, n'ont pas eu la même mansuétude. Les magistrats ont estimé que des "indices graves et concordants" de commissions d'infractions pesaient sur le député UMP et maire de Chantilly (Oise), désormais poursuivi à double titre dans ce psychodrame familial aux allures de scandale d'Etat.
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