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Une lettre... que faire d'une lettre ?
De temps en temps, je découvre un commentaire, dans ce blog. Parfois, dans ma boite mail, je trouve aussi autre chose que du spam. Tout aussi occasionnellement, la Poste m'apporte une lettre. Il m'en est encore parvenu une, un peu par hasard, via mon ancienne adresse, à Bagneux. Cette lettre-ci est anonyme, mais avec un numéro de téléphone.
Il fallait plutôt solliciter le parquet, un juge, ou contacter un bon avocat ? |
Il semblerait que l'auteur de cette lettre souhaiterait discuter de l'établissement de Taverny, ce cloaque de l'OSE France. J'ai surtout le sentiment que son auteur voudrait savoir comment fonctionne cette « maison d'enfants », ou quel peut y être le quotidien pour les enfants que ces « professionnels » de la Dass « sauvent ». Mais ces histoires « d'ordre privées » ne m'intéressent plus. Je pense avoir déjà assez gaspillé de temps, d'énergie et de ressources avec des « difficultés familiales ou personnelles » des autres, dans une grande indifférence, ou en essuyant parfois plus que du mépris, des réactions de vrais plaies, de la haine. Je vais donc ranger cette lettre que j'ai simplement survolée.
Aujourd'hui, sur Europe 1, un ultime discours ou le « cri » d'un « survivant » ne m'a pas laissé indifférent. Karol Pila, en vidéo pour Europe 1 soir, à partir de 44'00", après avoir précisé qu'il ne livrait que de son opinion personnelle : «... et d'autre part, les gens se moquaient, personne n'était à l'écoute, mais personne n'était à l'écoute, j'avais aucune sensibilité, comme j'ai la sensibilité en vous, à l'heure actuelle, c'est pour ça que je peux parler ». Parler, écrire ou parler à des magistrats, ou même parler parfois à des militants ainsi qu'à des élus ou à des personnalités, publier ici, dans ce blog, ou même tweeter dans un #violon, je maitrise... Mais ai-je bien compris ce que diffusait Europe 1, on nous invite à nouveau, on nous incite à visiter encore le Mémorial de la Shoah ? Ces sujets, présentations, expositions et débats ne m'intéressent plus non plus, j'en ai également fait amplement le tour au cours des années passées.
Mobilisation pour Antoine et Adrien placés en foyer
NDLR : Quelqu'un a pensé à répondre à ces gens, cette association, à ce troupeau de gaulois, que nous savons tous que la justice, dans ce pays, ça ne marche pas... mais qu'il faut malgré tout y croire, faire appel lorsqu'on est déçu par des jugements, surtout lorsqu'on n'est pas très content, puis attendre et espérer, que protester et rouspéter ne sert à rien, qu'en tous cas et circonstances, on doit et ne peut que s'en remettre en toute confiance à des avocats ainsi qu'à nos magistrats, à des travailleurs sociaux aussi, qu'il faut toujours et systématiquement se soumettre ? Ils seraient si malheureux et perdus, ces deux gamins, loin de maman, bientôt chez papa, et pour le moment, en foyer de la Dass ? Allons, qui pourrait le gober ? Encore un joyeux divorce et des discours qui m'en rappelle quantité d'autres, ainsi que des pratiques de gorets, de sauvages, de barbares, ou de natures tout à fait similaires
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Mobilisation pour Antoine et Adrien placés en foyer
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Publié le mercredi 20 juin 2012 à 10H12, la Provence
Les habitants sont conviés à une marche le 23 juin pour soutenir ces deux enfants de 7 et 9 ans
Depuis sept mois, Antoine et Adrien, deux enfants scolarisés au Thor ont été retirés à leur mère. Âgés de 9 et 7 ans, ils vivent aujourd'hui dans un foyer à Seyne-les-Alpes. Émus de cette situation, des voisins, amis et parents de l'école du Thor se sont constitués en une association de soutien en novembre 2011. Dénommée "Des étoiles pour les enfants en danger", elle comptabilise à ce jour 200 adhérents et appelle la population à une marche le 23 juin dans les rues de Sisteron pour soutenir moralement les enfants dans la situation qu'ils traversent.
"Nous souhaitons que l'on prenne en compte leurs paroles et ces enfants qui ne cessent d'exprimer leur douleur d'être séparés du foyer maternel", explique l'association. Que l'on place en maison d'accueil des enfants qu'il faut protéger tout le monde le comprend. Mais pourquoi des enfants heureux doivent subir un tel traitement ?"
Selon nos informations, à l'origine du placement d'Antoine et Adrien en foyer, il y a un combat opposant leur mère sisteronaise et leur père qui réside à Bobigny. Les deux parents se sont séparés en 2008, les enfants vivaient à cette période chez leur mère.