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Anthologie de la subversion carabinée
Voir aussi Petit musée des horreurs ainsi que idées noires et Treize ans de réclusion pour « Terminator »
Anthologie de la subversion carabinée
De Noël Godin, chez l'Age d'Homme, édition revue et augmentée (5 mars 2008)
Collection Au coeur du monde, 909 pages
Présentation de l'éditeur. Les points d'orgue de la subversion bel et bien carabinée puisque nous avons affaire ici à la première association de gros calibre de textes résolument malfaiteurs : à travers toutes les formes rocambolesques de subversion : appel au meurtre, grève orgiaque, tour pendable, pétrolage gloupitant, pique-assiettisme sauvage, détournement pernicieux, cannibalisme justicier, sabotage polisson, attentat pâtissier, etc. à travers tous les genres littéraires: libelle, reportage, poème satirique, dessin pamphlétaire, tract, mots croisés, utopie, scénario, essai théorique, conte licencieux, comic strip, chanson pillarde, théâtre d'agit'prop, harangue, aphorisme, ghost story, lettre d'insultes, etc. à travers toutes les écoles du crime donquichottesque : des émeutiers galope-les-cotillons de l'Antiquité aux chaos-spontex de 68 et d'après, en passant par les iconoclastes du Moyen Âge, les " emporte-pièce " de 1789, les " amazones-crapule " de la Commune, les chevaliers de la dynamite de la Belle Époque, les magiciens lucifériens anarchisants, les pirates utopistes, les fuck-rebels yippies et le grain fin des " boutefeu de sédition " slaves, chinois, égyptiens, latino-américains ou belges... à travers tous les catalogues d'auteurs dépassant les bornes: d'Allais et Fourier à Stirner et Wilde, de Darien et Forton à Leroux et Swift, de poètes-assassins ayant prémédité de " mettre le terme au maître " (Baader, Péret, Bonnot, Solanas...) à des fauteurs de troubles plutôt inattendus: Balzac, Claudel, Mérimée, Tchouang-Tseu, Valéry, La Fouchardière, saint Épiphane...
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Evry : un groupe scolaire vandalisé
AFP, 28/12/2009 | Mise à jour : 18:48
Un groupe scolaire d'Evry a été vandalisé, de la peinture a été déversée sur de nombreux murs, sols et plafonds, du mobilier et du matériel scolaire ont été dégradés et des ordinateurs dérobés. Les écoles maternelle et primaire, ainsi que le gymnase du groupe scolaire Nicolas Jacques Conté, situé non loin du centre commercial Evry 2, ont été dégradés entre les lundis 22 et 28 décembre. "Beaucoup de tables et d'armoires ont été renversées, il y a des inscriptions de toute nature sur certains tableaux, et de la peinture a été renversée, mais il y a très peu de casse", a indiqué le député-maire (PS) d'Evry, Manuel Valls, contacté par l'AFP. "Nous allons porter plainte. L'école reste quelque chose de sacré, s'y attaquer est toujours un acte grave", a-t-il ajouté. Le député-maire a également précisé que l'école pourrait accueillir les élèves le 4 janvier, au retour des vacances scolaires.
AFP, 01/02/2010 | Mise à jour : 20:00
Le parquet de Versailles a ouvert aujourd'hui une enquête préliminaire sur un très gros dégât des eaux provoqué par de la colle versée dans le lavabo d'un collège de Croissy-sur-Seine (Yvelines) qui a dû annuler ses cours, a-t-on appris de source judiciaire. L'enquête préliminaire a été ouverte pour "dégradation volontaire en réunion", délit passible de cinq ans d'emprisonnement. Selon les premiers éléments de l'enquête, de la colle a été versée dans un lavabo de l'établissement et le robinet est resté ouvert tout le week-end. Lundi matin, les responsables du collège ont constaté que trois étages de l'établissement avaient subi d'importantes dégradations, selon l'inspection académique des Yvelines, qui privilégie "un acte de malveillance". Les cours ont été annulés lundi et les quelque 560 élèves ont été accueillis dans le gymnase du collège. Les enseignements devaient reprendre mardi.
Les voleurs auraient mis le feu pour effacer leurs traces
PATRICK CAFFIN | 12.07.2010, 07h00
Le feu a entièrement dévasté un appartement du quartier Saint-Jean, hier. Il pourrait s’agir d’un geste des cambrioleurs.
On connaissait les voleurs de voitures qui mettent le feu au véhicule pour effacer toute trace. Mais, hier matin à Beauvais, un palier a été franchi : des cambrioleurs n’auraient pas hésité à incendier l’appartement qu’ils venaient de visiter. Il est un peu plus de 7 h 30 lorsqu’une épaisse fumée s’échappe d’un appartement du 35, rue Sénéfontaine, dans le quartier Saint-Jean.
Les pompiers interviennent peu après, mais le feu fera des dégâts considérables dans l’appartement.
Les premiers témoignages semblent indiquer que ce n’est pas un banal feu d’appartement, mais un incendie criminel. A priori, des cambrioleurs auraient pénétré dans l’appartement et auraient mis le feu pour effacer leurs traces, ADN et empreintes.
« Ce matin (hier), je suis partie travailler à 5 h 15 comme tous les week-ends, raconte la locataire. A 8 h 30, j’avais six messages sur mon portable pour me dire que mon appartement était en feu. Il n’y avait personne chez moi puisque mon fils dormait à l’extérieur. Lorsque je suis arrivée, je n’ai pu que constater les dégâts. Ce sont les policiers qui m’ont dit que l’appartement avait sans doute été cambriolé. A l’arrière, deux fenêtres ont été cassées. » Dans sa chambre, la locataire trouve des affaires éparpillées sur son lit. « Pour moi, c’est la preuve qu’on a fouillé chez moi, assure-t-elle. Quand je suis partie, tout était nickel. Ils devaient me surveiller. Les enquêteurs m’ont expliqué que cette idée de mettre le feu venait des séries télévisées. Pour ne pas être retrouvés par la police scientifique, ils brûlent tout. En attendant, je ne sais pas où je vais dormir ce soir. Les élus m’ont donné un rendez-vous lundi pour un relogement. Mais tous mes papiers sont partis en fumée ! »
Le voisinage et la famille se sont mobilisés pour vider l’appartement. Au 2e étage, une voisine prend des nouvelles et s’alarme : « Si ce sont vraiment des cambrioleurs qui ont mis le feu, c’est irresponsable. C’est la résidence entière qui aurait pu brûler… »
De source http://www.leparisien.fr/oise-60/les-voleurs-auraient-mis-le-feu-pour-effacer-leurs-traces-12-07-2010-997413.php
Extrait de source http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/10/19/01016-20101019ARTFIG00266-un-college-entierement-detruit-par-les-flammes.php
Trois braqueurs à l’origine de l’incendie chez Hilti
Les 3 000 m2 de locaux partis en fumée hier, au sein de la société Hilti à Magny-les-Hameaux, ont pour origine un braquage. Les malfaiteurs ont mis le feu pour effacer leurs traces.
YVES FOSSEY | Publié le 14.03.2011, 07h00
Quatre individus ont été interpellés hier après-midi après le violent incendie survenu hier matin à Magny-les-Hameaux au sein du centre de stockage national de la société Hilti. Ils transportaient du matériel de la marque dans leur véhicule et une remorque. Selon le procureur de la République de Versailles, ils auraient mis le feu afin d’effacer les traces du vol.
Extrait de source http://www.leparisien.fr/magny-les-hameaux-78114/trois-braqueurs-a-l-origine-de-l-incendie-chez-hilti-14-03-2011-1356901.php
En raison de son âge []NDLR: 7 ans], le parquet de Lille a déclaré l'enfant non-responsable et il ne sera pas poursuivi pénalement. Cependant, «un juge des enfants devrait être nommé, et un suivi socio-éducatif et psychologique sera sans doute mis en place», a indiqué la police.
De source http://www.leparisien.fr/lille-59000/nord-un-enfant-de-7-ans-tente-d-incendier-son-ecole-08-04-2011-1399543.php
AFP Publié le 12/09/2011 à 12:12
Deux enfants âgés de 8 et 11 ans ont été interpellés hier, puis remis à leurs parents, après la découverte du saccage d'une école primaire à Soyaux (Charente), près d'Angoulême, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la police.
Selon les policiers du commissariat d'Angoulême, des "dégâts très très importants" ont été constatés au sein de l'école Jean-Monnet de Soyaux, implantée dans un quartier sensible de la ville de 10.000 habitants, située dans l'agglomération angoumoisine. Une quarantaine de vitres ont été brisées, des meubles et des ordinateurs ont été vandalisés et de la peinture répandue sur les murs de l'établissement, a-t-on précisé de même source.
Entendus hier soir par les policiers qui les ont interpellés en flagrant délit, les deux enfants, dont le plus jeune est scolarisé dans l'école, ont reconnus les faits. Remis à leur famille, ils devaient être réentendus aujourd'hui en fin de matinée pour tenter de déterminer s'ils ont agi seuls, selon la même source. Une conférence de presse doit se tenir ce soir à 18 heures à la mairie de Soyaux en présence du maire, des enquêteurs et d'un représentant du parquet.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/12/97001-20110912FILWWW00447-ecole-saccagee-2-enfants-interpelles.php
Entendus hier soir par les policiers qui les ont interpellés en flagrant délit, les deux enfants, dont le plus jeune est scolarisé dans l'école, ont reconnu les faits.
"Le plus jeune a fait l'objet d'un placement immédiat dans une structure éducative du département", le second, âgé de 11 ans, "déjà placé dans une famille d'accueil et qui rendait visite à sa famille biologique à Soyaux a vu ses droits de visite suspendus", a indiqué Cyril Vidalie, vice-procureur d'Angoulême.
Selon Cédric Esson, le directeur départemental de la sécurité publique, "ils ne mesurent pas complètement la portée de leurs actes", les enfants ne donnent "pas d'explications vraiment rationnelles, pas vraiment structurées pour justifier leurs agissements". L'enquête devra maintenant déterminer si ces deux enfants, au regard de la gravité des dégradations, ont agi seuls.
Des travaux jusqu'à la Toussaint
Les 90 élèves qui étudiaient dans la partie de l'école vandalisée, sur les 165 élèves que compte l'établissement, seront prochainement accueillis dans un centre de loisirs de la commune et le chantier de remise en état des locaux pourrait durer jusqu'au vacances de la Toussaint, selon le maire de la commune.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/12/97001-20110912FILWWW00628-ecole-saccagee-deux-enfants-interpelles.php
Lefigaro.fr Mis à jour le 17/01/2012 à 12:01 | publié le 17/01/2012 à 11:49
D'après des informations rapportées par Le Parisien, l'école maternelle "République", dans les Hauts-de-Seine (à Suresnes), a été détruite dans la nuit, après qu'un individu y ait mis le feu vers 4h du matin.
Prévenus rapidement, cinquante sapeurs-pompiers sont arrivés sur les lieux et ont réussi à contrôler l'incendie. Puis, la brigade a été appelée pour un autre départ de feu, à Puteaux. Une fausse alerte.
Entre temps, le malfaiteur en a profité pour incendier trois poubelles autour de l'école "République", avant d'en jeter une sur une baie vitrée. Le feu est reparti et les dégâts sont immenses.
Conséquence: l'établissement, d'après la mairie, ne devrait pas accueillir d'enfants avant la rentrée, en septembre. En attendant, ils feront classe dans un centre de loisirs du Mont Valérien.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/01/17/97001-20120117FILWWW00411-une-maternelle-detruite-par-un-feu-criminel.php
mercredi 22 février 2012
Le crime était presque parfait.
Je vais tuer. Je descends les escaliers comme si j'allais tuer. Il est minuit. L'heure du crime sur Canal Plus. La chaîne est cryptée. On n'a pas encore de décodeur. A cette époque, le cryptage de Canal Plus transmute n'importe quelle image en tableau peint par Seurat un soir d'épilepsie. Un tableau vivant, qui tangue, respire, un pointillisme nerveux qui froisse la toile.
Les marches grincent comme à chaque fois qu'on essaie de ne pas les faire grincer. ...
La suite: http://apeupresrien.blogspot.com/2012/02/le-crime-etait-presque-parfait.html
Un zoo attaqué en Australie
AFP Publié le 04/08/2012 à 09:20
Des vandales se sont attaqués à un zoo australien et ont tué neuf oiseaux rares et ouvert les cages de nombreux animaux, dont une soixantaine n'avaient toujours pas été repris aujourd'hui en fin de journée. Cinq quolls, un félin carnivore australien, et trois perroquets d'espèces menacées figurent parmi les animaux échappés de ce zoo de Tasmanie spécialisé dans la protection des espèces en voie de disparition.
Hier matin en ouvrant le zoo, son directeur Dick Warren a trouvé les neuf oiseaux tués, dont la tête avait été soit écrasée, soit arrachée, et "cage après cage ouverte, et oiseaux et animaux échappés", a-t-il expliqué à la télévision ABC. "Nous avons perdu une bonne partie de notre programme d'élevage d'espèces en voie de disparition", a-t-il ajouté, se félicitant toutefois que les vandales, qui ont utilisé des scies électriques volées dans le zoo, n'aient pas eu le temps de s'attaquer aux cages des diables de Tasmanie.
Cette espèce est maintenant quasiment éteinte dans la nature, décimée par une épidémie. "Si les diables avaient été relâchés comme l'ont été les oiseaux, cela revenait à les condamner à mort car ils auraient probablement contracté la maladie", a ajouté M. Warren.
De source http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/04/97001-20120804FILWWW00268-un-zoo-attaque-en-australie.php